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[PM] Sucreries et discrétion • Ariel
ϟ this is the road to ruins, and we're starting at the end, say yes, let's be alone together.
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Message Posté Mar 27 Déc - 23:06.
sucreries et discrétion




STATUT DU SUJET : privé.
NOM DES PARTICIPANTS : Ariel Augustin et Dean Bowers.
DATE : Début d’année 2056.
HEURE : Début d'après-midi.
METEO : Un beau soleil, sans faire chaud.
NUMERO ET TITRE DE L'INTRIGUE GLOBALE EN COURS : Intrigue 009, Défaillance.
NUMERO ET TITRE DE L'INTRIGUE DU FORUM EN COURS : Intrigue 008..
INTERVENTION DE DOMINUS TENEBRAE : Non.

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Message Posté Mar 27 Déc - 23:27.
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candies shop


A cette époque, on venait de voir le Tower Bridge s’effondrer. L’Organisation Secrète venait de mener sa première vraie action. Parallèlement, la Première Tâche s’était déroulée sans accro. L’école française avait gagné contre les Russes et les Britanniques. De mon côté, je continuais de gérer ma boutique de bonbons dans une rue adjacente au Chemin de Traverse. Les affaires allaient biens. Je n’avais pas de quoi me plaindre. Quoique…


Un rire malicieux dans un boutique vide. Ce rire, Dean pouvait le reconnaitre entre mille. Il l’avait déjà entendu des centaines de fois depuis ces cinq dernières années. Celui de sa fille. Dans la réserve à l’arrière de sa boutique, il ne pouvait pas voir ce qu’elle faisait – il la jugeait assez grande pour la laisser toute seule au milieu des bonbons – mais il se doutait qu’elle lui préparait une surprise. Quelle surprise, cela restait à découvrir. D’un coup de baguette, il ordonna à une pile de cartons de se soulever dans les airs et il les mena ainsi jusqu’à la boutique. Il s’arrêta net en voyant sa fille. Erin avait… disons dévaliser le magasin. On pouvait presque douter qu’il reste encore des bonbons sur les présentoirs car son visage en était tartiné. En particulier autour de ses lèvres. Par Merlin. Les cartons en tombèrent sur le sol. « Erin ! » « Nooon papa, regarde pas ! Ferme les yeuuux ! » Il poussa un soupir. Il savait qu’il n’aurait pas dû la laisser seule. Elle avait beau avoir cinq ans, elle n’en restait pas jeune… et gourmande. « Mais qu’est-ce que tu as fait ? » Il contourna les cartons, passe devant le comptoir et rejoignit la fillette. C’était sa seule famille. Une simple petite fille. Il lui arrivait de ne même pas la disputer pour ses bêtises parce qu’elle restait une enfant et qu’elle représentait sa seule bouée mais parfois, il ne pouvait s’en empêcher. Comme là. Il l’avait prévenue : elle ne devait pas toucher aux bonbons de la boutique, si elle en voulait, elle pouvait en avoir autant qu’elle voulait dans la réserve. De sa poche, il extirpa un mouchoir en papier et commença à essuyer le contour de ses lèvres. « Tu m’en veux ? » Père et fille croisèrent leur regard. Bien sûr que non, il ne pouvait lui en tenir rigueur. Un petit visage angélique, des petits yeux en amande. Elle était le portrait craché de sa mère. Elle passa ses bras autour de son cou. « Je suis désolée papa, je ne recommencerai plus. » « Très bien, petit monstre. Va te débarbouiller ! » « Et je pourrai faire des dessins, après ? » « Oui ! »

₪ ₪ ₪ ₪ ₪

Tête posée sur la main, coude appuyé sur le comptoir, cheveux blonds tombant sur son visage, crayon grattant le papier. Aux côtés de l’enfant-artiste, le père déchargeait des cartons de marchandises. Le calme était revenu dans la boutique. Dehors, l’effervescence. Les badauds circulaient dans la ruelle et dans le Chemin de Traverse. Cela avait un goût de frustration pour Dean qui voyait aucun client entrer dans son bâtiment. Peut-être que les bonbons n’avaient plus la côte. Dans tous les cas, il trouvait en sa fille le réconfort. S’il ne pouvait pas passer son temps au contact des clients, il pouvait au moins profiter d’Erin. Alors qu’il tournait le dos à l’entrée pour disposer des pots de confiserie sur des étagères, la porte s’ouvrit sur un DIIING. « Woaaah, la madame, elle est trop belle, p’pa ! » Remarque qui fit sourire l’interpellé. Il se retourna pour constater de lui-même mais aussi afin de la saluer. En effet, l’adolescente avait quelque chose de féérique. Et quelque chose de familier. Ne serait-ce pas la Championne française ? Pas qu’il suivait cette compétition, juste qu’il était obligé de savoir qui c’était avec toutes les Unes à son sujet. « HAN MAIS PAPA ! C’est Ariel Augustin ! » Il baissa son regard vers la fillette. Oui, c’était Ariel. Qu’est-ce qu’elle fichait ici ? N’avait-elle pas des Champions à affronter, un entrainement à exercer, des autographes à signer ? Ou même pire, sa vie à sauver. « Bonjour. Que me vaux le plaisir de votre visite ? » Non, il ne l’appréciait pas. En fait, il n’aimait pas tout ce qui touchait ce Tournoi. En tant que père, il ne pouvait concevoir que son enfant aille risquer sa vie dans des épreuves idiotes, censées prouver sa valeur. En plus, sa fille adorait cet évènement. Elle suivait chaque nouveauté. Elle rêvait d’assister à l’une des Tâches ou de devenir une Championne quand elle irait à Poudlard. Vraiment, il ne supportait pas ce jeu mortel.
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Message Posté Ven 30 Déc - 11:37.
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Depuis le succès de la Première Tâche, je ne cessais d'être demandée. Pour des photos, des unes de journaux, des articles de magazine, des séances d'autographes, des rendez-vous avec de grands couturiers, des marques qui voudraient faire de moi leur effigie ... C'était très pesant mais je ne pouvais pas m'en plaindre, participer au Tournoi était un choix, pas une fatalité. Tout cela me dépasse totalement ... Pourtant, les critiques ne manquaient pas de fuser, en effet, j'avais bien remporté la première tâche aux yeux du jury, je n'en avais pas pour autant trouvé le bon animal ... et j'étais bien la seule à ne pas avoir rapporté le bon animal. Un lapin au lieu d'un chat ... Cette victoire avait un arrière-goût amer en réalité. Aussi je m'étais promis de faire beaucoup plus attention lors des prochaines épreuves, avec un entraînement intensifié. Fort heureusement, j'avais tout de même pu récupéré le dit chat, qui semblait être un indice quant à la prochaine tâche du tournoi. Ainsi, on pourrait se demander ce que je fais à Londres au lieu de me préparer pour la prochaine épreuve du tournoi des trois sorciers. Vous certainement tous entendu parler de l'attaque de Beauxbâtons lors du Bal de Noël ? Ca a du faire la une des jounaux du monde magique entier ! Personne ne semble encore savoir qui ou quoi était derrière tout ça, ou alors c'est ce que l'on veut nous faire croire. J'ai vu l'auror, Isobel Harper s'effondrer devant mes yeux, devant nos yeux à toutes les trois championnes. Elle s'est sacrifiée pour nous, en voulant nous protéger, et a pris de plein fouet le sortilège impardonnable. Savoir que quelqu'un en voulait à notre vie, qu'il avait réussit à s'introduire dans l'Académie et qu'il n'avait pas peur de faire usage de sortilèges impardonnables, était très traumatisant ... Mais quelque-chose l'était encore plus et m'enfonçait dans la tombe. Margaret. Ma petite soeur. Disparue, envolée, volatilisée. Personne n'a réussit à remettre la main sur elle depuis le Bal de Noël. Il paraît que d'autres invités ont disparus. Elle n'a pas pu fuguer, je la connais bien, c'est moi qui l'ai élevé puisque les parents n'étaient jamais là, elle ne ferait jamais une chose pareille, d'ailleurs elle n'aurait aucune raison de le faire. C'est un joli bout-en-train ma soeur, elle est très vive, pétillante, croque la vie à pleine dent, toujours positive, enjouée, et fêtarde. Ce n'est pas pour rien qu'elle est à l'écurie Dionysos. Elle était certes déçu de ne pas pouvoir participer au Tournoi, mais ça m'étonnerait beaucoup qu'elle se soit enfuit pour ça. Non, on la enlevé, j'en suis sûre. Certaine même. Et c'est probablement ceux qui nous ont attaqué lors du bal. Comme ils n'avaient pas réussit à atteindre les championnes, ils m'ont pris Margaret. Peut-être même que des proches de Zazy-Timy et Paula ont disparus eux aussi. Jusqu'à présent, aucune trace de Margaret, ni même de rançon ... Je ne sais pas ce qu'ils attendent, à quoi pourrait-elle bient leur servir ... C'est là toute la raison de ma visite à Londres. Margaret. J'avais rendez-vous au Ministère ce matin même. Je suis venue demander des réponses. Booster les recherches. Gueuler un grand coup quoi. Crier mon désespoir. J'ai l'impression que personne ne s'occupe de cette affaire et que le Ministère croule de non-dit, comme si on savait des choses mais qu'on ne voulait pas me les dire. Et même si certains je le sais, pense qu'il est inutile de continuer les recherches, je n'admettrais jamais d'imaginer Margaret m... ! On dit que quand quelqu'un que l'on aime meurt, on le sent parce qu'une part de notre coeur meurt aussi. L’entrevue au Ministère avait été vaine. On m'avait accueillit froidement, j'avais attendues de longues heures avant qu'on veuille bien me recevoir pour quelques minutes à peine. J'avais l'impression de les déranger plus qu'autre chose, de passer pour une fouineuse. La rue était totalement différente. Tout comme en France, les gens affluaient autour de moi, certains fidèles à leur championne anglaise pour m'injurier, d'autres pour me questionner, me serrer la main, me demander un autographe, ou tout simplement m'approcher, me voir, en vrai. J'avais les larmes aux yeux au sortir du Ministère, de n'avoir toujours aucune réponse et d'avoir l'impression que personne ne me prenait au sérieux. Ils devaient avoir des affaires plus urgentes, mais la vie de ma soeur était peut-être en danger ! J'étais révoltée, aussi je du me contenir avec tout le calme et la maîtrise de soi que j'avais apprise à Beauxbâtons pour ne pas rejeter violemment toute cette horde de fans et de moins fans. Fuir était la meilleure chose à faire, fuir la grande rue du Chemin de Traverse, trouver un petit coin tranquille, courir, les semer au détour d'une ruelle. Soudain, j'apercevais la devanture d'une boutique quasiment dévalisée, un regard au travers des vitres, le magasin était désert. J'avais peut-être une chance. Un regard derrière moi, personne, mais je voyais d'ores et déjà des ombres affluer. Bientôt il serait trop tard, je décider de pousser la porte en espérant que le magasin soit ouvert. La sonnette retentis, et la porte s'ouvrit. J'étais sauvée. « Woaaah, la madame, elle est trop belle, p’pa ! » entendis-je alors, repoussant ma chevelure blonde, je tournais la tête et apercevais un adorable petit ange, qui dessinait sagement sur le comptoir. « HAN MAIS PAPA ! C’est Ariel Augustin ! » Je ne pu m'empêcher de sourire. « Bonjour toi ! Comment tu t'appelles ? » commençais-je en m'avancer vers la figure angélique, sans remarquer le père et gérant. « Bonjour. Que me vaux le plaisir de votre visite ? » Je me retournais vivement, la vue d'une adorable petite fille avait réussie à adoucir mes traits. « C'est votre fille ? Elle est charmante ! Et si sage, on dirait un ange ! Oh et bien ... » que dire ? Mentir en assurant avoir fait le voyage pour la renommer de sa boutique de bonbons ? Non. « Vous avez été cambriolé ? Ou vous fermez boutique peut-être ? » demandais-je en remarquant les étalages presque vides et le gérant qui ôter des confitures d'une étagère ou les mettait, elle ne savait pas trop. « J'aimerais vous dire que je suis ici pour la renommée de votre boutique, vraiment je vous assure, mais c'est le seul endroit salutaire que j'ai trouvé pour échapper à la foule... » avouais-je. « Vous n'auriez pas par hasard un bonbon qui change temporairement la couleur des cheveux ? Histoire que je puisse sortir incognito ? » demandais-je timidement. Après tout j'étais peut-être bien tombée, ça devait sûrement exister ce genre de sucrerie magique non ? Il y en a bien qui vous rallonge la langue... « Ca ne va pas ? Je peux partir si vous voulez, il suffit de me le dire, je ne veux pas de problèmes. » annonçais-je alors devant l'air réticent du gérant. J'étais habituée à ce que les gens ne m'apprécient pas, en particulier les Anglais et les Russes mais aussi les Français qui voulaient ma place.
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Message Posté Mer 4 Jan - 18:04.
« Bonjour toi ! Comment tu t'appelles ? » « Je m'appelle Erin mais papa m'appelle Petit Monstre. Hein que c'est pas beau ? » « Erin! » s'exclama-t-il. Autant pour protester de la critique du surnom que pour l'empêcher de discuter avec son héroïne. Il n'était pas question que la fillette s'attache encore plus à la Championne. Dans quel état serait-elle si Ariel était blessée pendant les épreuves ? Elle passerait des heures à pleurer sur son sort et à attendre les nouvelles concernant l'état de la participante. Devant l'air ébahi de sa fille, Dean ne put retenir un soupir. C'était bizarre. Il avait l'impression qu'elle devenait grande. Elle se mettait à adorer des célébrités, à aduler des personnalités publiques. Elle en devenait presque idiote. Et elle n'avait que six ans ! Qu'est-ce que ça serait à douze, voire à quinze ans ? Il en avait déjà des frissons dans le dos. Dans cette affaire, c'était probablement l'addiction de sa fille au Tournoi qui l'embêtait le plus et qui lui donnait de l'urticaire. Dans une autre situation, probablement qu'il s'en serait foutu même si cela allait à l'encontre de ses principes. « C'est votre fille ? Elle est charmante ! Et si sage, on dirait un ange ! Oh et bien... » Sage, hein ? Cela se voyait que ce n'était pas elle qui se réveillait avec des gribouillis partout sur le corps ou qui devait la forcer à rester dans son lit alors qu'elle ne rêvait que de jouer toute la nuit. Évidemment, le jour, elle enfilait son masque de petit ange parfait. Bon, Dean était de mauvaise foi mais en réalité, il n'avait pas à se faire de soucis pour Erin. C'était une enfant espiègle et adorable. Parfois, elle avait juste un caractère de cochon, comme tout le monde.

« Vous avez été cambriolé ? Ou vous fermez boutique, peut-être ? » Ah oui, ça... Il n'avait pas eu le temps de remplir les étalages. C'était probablement la raison de la désertion totale de sa boutique. Ou le fait que les affaires ne marchaient plus vraiment. Avec la crise et les récents attentats de l'Organisation Secrète, les sorciers n'osaient plus sortir. Le chiffre d'affaires en pâtissait largement. Il désigna du doigt sa petite fille. « C'est l'œuvre de l'ange. Je ne sais même pas comment elle fait pour manger autant de bonbons. » Comme quoi, l'ange n'était peut-être pas aussi angélique qu'il n'y paraissait. Ne jamais se fier aux apparences, surtout quand il s'agissait d'enfants. Ils pouvaient vous cacher bien des choses et vous ne vous en rendiez compte que lorsque que cela vous tombait dessus. Bon, c'était bien beau que mademoiselle la Championne daigne entrer dans sa boutique mais Dean voulait savoir pourquoi. Il pouvait parfois être bourru et manquer de tact. Aujourd'hui, ce fut le cas. « J'aimerais vous dire que je suis ici pour la renommée de votre boutique, vraiment je vous assure, mais c'est le seul endroit salutaire que j'ai trouvé pour échapper à la foule... » Sympa. Qu'est-ce que ça voulait dire ? Il n'y avait personne donc elle avait opté pour le magasin de bonbons ? Au moins, elle était franche. De toute manière, c'était la vérité. Tout le monde passait devant sa porte sans jamais s'arrêter ne serait-ce que pour regarder. C'était le cas pour tous les commerces, à part peut-être la maison de joie au bout de la rue.

« Vous n'auriez pas par hasard un bonbon qui change temporairement la couleur des cheveux ? Histoire que je puisse sortir incognito ? » Ah ben finalement, elle était venue pour acheter des bonbons. Il avait raisonné trop vite et trop mal. Il avait probablement ce qu'elle souhaitait, quelque part dans sa réserve ou peut-être encore dans sa boutique. Avant qu'il ne puisse bouger (une cliente reste une cliente, même si c'était une Championne), Ariel intervenait de nouveau. « Ça ne va pas ? Je peux partir si vous voulez, il suffit de me le dire, je ne veux pas de problèmes. » Cela se voyait tant que ça ? Il était contre le Tournoi. De tout son être. Toutes ses cellules criaient haut et fort qu'elles haïssaient le Tournoi pour ce qu'il représentait et ce qu'il faisait subir. Il n'avait jamais compris le concept. Mettre trois élèves dans une arène et les faire s'affronter. On était revenu au temps des gladiateurs ! Il ne comprenait pas non plus comment des élèves pouvaient se proposer au poste de Champion. Il fallait être suicidaire et très courageux. Ariel devait rassembler ces deux caractéristiques. Sauf qu'elle ne semblait pas proche de la mort. Elle semblait plutôt stable. Alors pourquoi vouloir mourir ? Malgré son mépris pour cet événement étrange, Dean ne pouvait s'empêcher de se dire qu'Ariel pourrait être sa fille. Erin pouvait, un jour, être à sa place. Comment ses parents réagissaient à cela ? Étaient-ils insensibles, morts de peur ou fières ? « Je.. non, reste. Je m'excuse de mon comportement, ce n'est pas bien. » « Papa n'aime pas le Tournoi. » intervint Erin. Dean se tourna vers elle pour protester. A se demander lequel des deux était le parent. « C'est faux enfin... pas totalement. Suis-moi, je vais te montrer ce qu'on a. » Heureusement pour Ariel, la fillette n'avait pas tout mangé ou pris pour elle. Il restait une grande partie des confiseries située au fond du bâtiment. Pile celles qu'il fallait pour la Championne.

Pendant qu'il la dirigeait dans les allées du magasin, il lui posa des questions précises, destinée à lui trouver le bonbon le plus adapté. « Admettons, tu n'es pas une Championne mais une grande voleuse recherchée mondialement. Quel camouflage ou couverture choisirais-tu pour te fondre dans la masse ? » Virage à gauche, puis tout droit. Ils passèrent devant des rayons à demi-vides de chocogrenouilles, de Fizzbuzz et autres produits. Nouveau virage à gauche, puis à droite. Dean l'emmenait tout fond, là où il rangeait les bonbons de camouflages. Il y en avait assez pour trouver le bonbon adapté. « Si tu devais être une couleur, laquelle serais-tu ? Et quel est ton animal préféré ? » Parfois, il se faisait l'impression d'être un vendeur de vêtement, questionnant les goûts de ses clients pour cibler au mieux leur style vestimentaire et ainsi, mieux les orienté. A par que Dean était vendeur de confiseries. C'était tout un art et toute une connaissance. « Ah ! Et l'odeur que tu aimes sentir ? Ou le parfum, comme tu veux. » Ces moments de réflexion et d'apprentissage de l'autre étaient ses préférés. Pendant ces quelques minutes, il apprenait de nombreuses choses – certes, inutiles – sur son client. Une fois toutes les informations regroupées, il commençait son travail de penseur et se mettait à réfléchir à la confiserie parfaite ou presque pour son client. Un vrai boulot.
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