VULNERA SAMENTO FERME SES PORTES ▲
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Hey, hello new life [PM]
ϟ this is the road to ruins, and we're starting at the end, say yes, let's be alone together.
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Message Posté Ven 9 Déc - 11:09.
Installation




STATUT DU SUJET : Privé
NOM DES PARTICIPANTS : Eltan J. Symens & Beth "Nemesis" Rosebury
DATE : 2 Mai 2056
HEURE : Vers 10h30
METEO : Beau temps
009 : Puissance
008 : Émeute
INTERVENTION DE DOMINUS TENEBRAE : Nope Hey, hello new life [PM] 156512

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Message Posté Ven 9 Déc - 12:51.
Comment décrire cette superbe sensation ? Cet air frais passant dans le cou, qui vous murmure à l’oreille et vous apprend ce goût de renouveau. Ce jour où vous savez enfin que vous allez vivre en faisant ce que vous aimez…

J’incérai la clef dans la serrure, la tournai et ouvrai la porte avec mon pied, tentant de ne pas faire tomber les cartons que j’avais dans les bras. D’autres étaient posés derrière moi, et Beth, qui attendait d’entrer, en tenait également. Je fis quelques pas, la tête levée vers le plafond avec des idées déjà de la future décoration de la boutique. Je posai les cartons à terre avant d’aller chercher ceux qui attendaient dehors, aidé par ma jolie brune. Ils étaient nombreux, et tous n’étaient pas encore là ; il était évident que nous ne pouvions pas tout faire dans la journée, les autres étaient restés à l’appartement. Appartement que j’avais bien l’intention de changer si la boutique avait du succès.
Je pris une grande inspiration face à la joie que me procurait de réaliser mon rêve. Surtout avec Beth à mes côtés. Notre futur, s’il ne changeait pas, ne pouvait être que merveilleux.
Les meubles que je voulais avaient été livrés et donc déjà sur place ; je n’avais plus qu’à les disposer à ma convenance, et c’est ce par quoi j’allais commencer. La première pièce était spacieuse, et rectangulaire. Vers le fond, quelques marches menaient à une deuxième pièce un peu plus petite, une pièce annexe qui aurait la même utilité que la première. A sa droite, une porte était ouverte sur laquelle j’indiquerai le chemin de la salle de planétarium. En fond, un autre escalier plus grand montait vers un étage que je réserverai au stockage des objets et à mes bureaux, si je peux dire. Ces derniers n’étaient visibles que si les portes étaient ouvertes, c’est pourquoi l’étage ne me dérangeait pas pour faire monter les gens encore plus haut – l’escalier ne s’arrêtait pas – vers les toits, où un petit observatoire serait mis en place.

Une fois les cartons tous rentrés et la porte refermée, je fis signe à Beth de m’aider à déplacer ce qui me servirait de comptoir ; nous le posâmes vers la porte, pas loin de l’entrée, à un angle de la pièce – en diagonale, donc. Nous glissâmes ensuite les meubles/bibliothèques sur lesquels j’entreposerai les Lunascopes et autre « petits » objets le long des murs. Plus au fond, de chaque côté des marches et dans les angles, nous mîmes les grandes cages spacieuses dans lesquelles les petits animaux seront installés, animaux qui dormaient actuellement. Je plaçai des portiques vers l’entrée de la boutique et demandai à Beth d’en faire autant dans les coins de l’arrière pièce, ainsi qu’à côté de la caisse.
Nous avions encore à monter les chaises longues sur le toit, avant d’enfin installer chaque objet. Et ce ne fut pas une mince affaire dans les escaliers. J’avais encore du mal à me dire que tout ceci était à moi. Normal, non ?

L’installation des meubles nous prit une bonne heure et demie, et nous commencions à avoir faim. Beth se proposa d’aller acheter des sandwichs, et j’acceptai volontiers. Il fallait qu’elle souffle, je la comprenais bien. Je m’attelai alors à déballer les cartons, en commençant par les lunettes, les Lunascopes, les calendriers, et les cartes. Je regroupai chaque type d’objet à un endroit précis, et les disposai selon les tailles, dans les meubles longeant les murs. Je n’avais pas encore fini lorsque Beth revint, me tendant mon repas.

« Tiens, au poulet, je sais que tu aimes »
« C’est ce que je préfère, même »


Je lui fis un clin d’œil en lui faisant signe de me suivre à l’étage où nous avions installé des chaises, les bureaux étant déjà en place. Nous nous assîmes et entamâmes nos sandwichs, après qu’elle m’ait tendu une bouteille de soda.

« Ça fait du bien par où ça passe ! »

Beth rit à cette réplique, et était aussi soulagée que moi de manger enfin. Non pas qu’il était tard, seulement midi, mais déplacer des meubles demandait un certain effort. Nous prîmes notre temps mais une fois le repas terminé, nous ne traînâmes pas pour retourner à notre tâche.
L’objectif de l’après-midi : finir d’au moins placer les objets. A deux, ce fut plus rapide que ce à quoi je m’attendais, et il était à peu près quatorze heure trente quand nous pûmes passer aux télescopes. Télescopes auxquels je réservais l’arrière pièce entière – un bon nombre était volumineux, et presque tous devaient être posés sur le sol. Nous les disposâmes le long des murs de la pièce, avec à leurs pieds les boites dans lesquels ceux achetables étaient rangés. Les autres plus petits étaient posés sur des étagères fixées dans la matinée. Certains étaient relativement lourds, et nous ne finîmes pas avant seize heures trente.

Avec un soupir d’épuisement, je me laissai tomber sur les marches, suivi par Beth qui prit appui sur moi de ses bras. Je levai la tête, contemplant notre œuvre de la journée. Tout était pour le moment comme je l’avais voulu, et ça me redonna le sourire. Je pourrais très bientôt ouvrir la boutique pour de bon.

« Qu’est-ce qu’il reste à faire ? »

Je me tournai vers ma belle brune et lui volai un rapide baiser.

« Les décorations, les animaux, remplir les portiques et les stocks, organiser correctement l’observatoire et faire le tour du planétarium »

Elle sourit face à cette nouvelle journée fatigante en perspective, et je ne compatis que trop bien. Je ne la forçais pas à m’aider, et j’étais extrêmement heureux qu’elle ait volontiers accepté de faire partie de cette aventure.
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Message Posté Mer 14 Déc - 16:17.
Les rayons de l'Astre Solaire commençaient à décliner, nous baignant dans un halo de lumière faiblarde, aux teintes crépusculaires. La journée avait été formidable, bien que très lourde pour mon corps frêle et fragile. Je n'étais pas une chochotte, cela dit, c'est pourquoi j'étais parvenue à rester entière, et lorsque nous étions tous deux trop fatigués pour continuer à déballer les cartons, nous nous reposions sur les chaises longues installées sur le toit en mangeant des friandises ou des sandwich que j'avais préparés. Allongée dans le transat, je repensais à cette journée que nous avions passé. Je ne voulais plus le quitter, jamais. Nous avions agit comme un couple qui serait construit depuis des années alors que ça ne faisait qu'un jour que nous étions à nouveau ensemble. L'on aurait dit que nous nous installions ensemble, et j'avoue que cette idée me plaisait plus qu'elle ne l'aurait dû. J'avais passé une excellente journée et étais encore totalement grisée par tous ces sentiments de bonheur intenses, presque palpables, qui semblaient tourbillonner autour de nous. J'avais de grosses difficultés à laisser mon regard se promener sur autre chose que les beaux yeux de mon aimé.

Nous étions tous deux éreintés par cette journée qui venait de s'achever, et trop fatigués qui plus est pour continuer de ranger les cartons qui restaient. Ils étaient peu nombreux, mais l'épuisement tiraillait mes muscles et leur hurlait de ne surtout pas titiller la douleur plus que nécessaire, et l'agacer encore moins, sous peine qu'elle s'intensifie. Lovée contre le corps chaud et douillet d'Eltan, j'observais les étoiles, savourant nos précieux instants ensemble. Je voulais passer ma vie ainsi. Je l'avais toujours voulu. Avec lui. Mais je me souvenais avec une certaine méfiance de la douleur ressentie lorsqu'il m'avait déclaré qu'il devait partir pour Londres, âgé d'un an de plus que moi. Qu'il ne pouvait pas rester à Poudlard, même s'il ne voulait pas me quitter. C'était moi, qui avait suggéré d'arrêter là. Je ne me voyais pas me languir de ses lettres, me passer de ce contact. Je préférai me dire qu'aucun amour ne nous unissait plus, au lieu de penser que notre union était impossible à cause de cette fichu distance. Nous aurions aussi bien pu attendre la fin cette foutu année pour nous retrouver, mais le temps me semblait trop long, et j'étais persuadée qu'il ne tiendrait sans doute pas. Arriver à Londres, le coeur battant la chamade, un sourire radieux sur les lèvres pour découvrir que l'homme de ma vie était en train de me tromper était une idée qui m'avait maintes fois passé par la tête. Et je me doutais qu'Eltan ne m'avait pas attendu, lorsque nous étions de "simples amis" pour se trouver une jolie demoiselle à bécoter.

Cette pensée m'était douloureuse, mais je savais qu'il y en avait eu d'autres avant moi. J'espérais simplement qu'il n'y en aurait pas d'autres après. Parce qu'il n'y aurait justement pas d'« après ». Il était « à moi ». C'était très égoïste, mais je n'avais jamais vraiment apprécié qu'une fille se languisse d'amour pour lui. Je m'étais toujours montrée assez possessive. Mais juste avec lui. Mes autres petits-amis n'avaient jamais bénéficié d'autant d'attention. Pas même Luka, que je craignais plus que je n'aimais. Mais je balayais ces souvenirs de mon esprit, me concentrant sur l'homme présent à mes côtés. Mes doigts s’enlacèrent aux siens alors que je le regardais, amourachée. Je déclarais les premiers mots qui me passèrent par la tête, c'est à dire un « Tu m'as tant manqué, Eltan... ». J'avais le sentiment que c'était gnangnan, et un peu ridicule, que je me répétais beaucoup aussi, mais je ne me sentais bien et entière qu'en sa présence. Il était mon point de repère, mon centre de gravité. Sans lui, j'étais perdue. Et je me souvenais également de ces jours que nous avions passés à nous chercher mutuellement, à nous voir en nous frôlant, refusant de penser que l'un ou l'autre puisse continuer à avoir des sentiments. Quels idiots nous avions été ! Je m'en mordais un peu les doigts, car je n'aurais sans doute pas été aussi bas si je lui avais avoué, à mon arrivée à Londres, que j'étais toujours raide dingue de lui. Grâce à sa présence, j'avais changé, à Poudlard. J'étais devenue plus assurée, plus rebelle aussi. Plus féminine.

« Que veux-tu faire, maintenant ? Moi, je suis complètement crevée, donc je veux bien voir ce qu'il reste dans les cartons, mais encore un aller-retour et je m'écroule par terre. Et tu n'auras pas d'autre choix que de me porter ! » Je souris, insinuant que j'étais un peu trop volumineuse pour qu'il y arrive, le défi et la taquinerie brillant dans mes prunelles. Depuis que nous nous étions revus, quelques jours auparavant, j'avais vraiment très envie d'être seule avec lui. Quand nous avions été chez Elena, j'avais eu très envie de l'enfermer dans ma chambre et d'y rester pendant la reste de l'éternité, mais j'étais emprunte de la peur de voir la propriétaire débarquer alors que nous serions dans une position compromettante. C'aurait été définitivement trop embarrassant qu'elle dusse nous trouver ainsi. J'étais donc heureuse de me retrouver enfin juste avec lui, dans un endroit où nous ne serions pas dérangés. Je n'avais aucune idée malsaine en tête, simplement, me retrouver sous les étoiles avec lui me paraissait être une chose tellement romantique que... Quelques idées tournaient en boucle dans mon esprit. J'avais adoré voir l'éclat enfantin et le ravissement sans bornes dans les yeux d'Eltan, lorsqu'il m'avait annoncé qu'il allait enfin pouvoir avoir sa boutique et réaliser son rêve. J'avais envie de lui procurer le même bonheur, tout le temps. Mais je ne savais pas du tout comment m'y prendre... Je l'embrassais brièvement, me resserrant encore davantage contre lui, le corps légèrement grelottant. Il commençait à faire un peu froid, dehors ! Après tout, ne dit-on pas "en avril, ne te découvre pas d'un fil ?"
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Message Posté Lun 26 Déc - 16:08.
Comme si c’était inévitable, nous sommes rentrés à mon appartement totalement collés, nos lèvres ne voulant pas se séparer. Il était déjà tard, mais nous avions déjà mangé et n’étions pas fatigués. Nous nous sommes directement dirigés vers ma chambre, moi l’entraînant car elle n’était jamais venue ; et de toute façon, avec les yeux fermés, elle n’était plus à ça près. Je n’avais pas voulu que ce soit aussi… « chaud » d’un coup, mais on ne pouvait plus retarder l’inévitable. Le temps d’arriver à la chambre, nos couches supérieures jonchaient déjà le sol en traçant une bribe de chemin à travers le couloir jusqu’à la pièce désirée.

En deux temps trois mouvements, la couette avait déjà volé dans tous les sens, soucieuse de ce qui allait se passer. Je ne voulais pas non plus aller trop vite, c’est pourquoi mon désir se faisait sentir sans pour autant tout précipiter, tout bousculer, au risque même qu’on se blesse. Nous n’étions pas des animaux, tout de même, et même si j’étais un homme, je n’entretenais pas notre réputation. Je pris soin d’allonger Beth avec douceur tout en caressant son ventre, sa poitrine, qui n’étaient plus couverts par son haut, avant de dégrafer avec soin son soutien-gorge. Une myriade de baisers dans le cou et j’étais à nouveau à réclamer ses lèvres. Mes mains passaient délicatement dans ses cheveux tandis que je sentais les siennes sur mon torse qui montait et descendait un peu trop rapidement à cause de ma respiration saccadée. Je me plaquai contre elle lorsqu’elle fit balader ses lèvres dans mon cou à son tour, provoquant une sensation exquise en moi. Malgré la situation, pour ne pas dire la position, je glissai mes doigts le long de ses flancs, jusqu’à atteindre la limite de son jean, que je commençai à déboutonner après avoir relevé mon bassin pour avoir la place de procéder à la chose.

Je lui susurrai des mots doux à l’oreille, conscient qu’elle aimait particulièrement ça ; je ne m’en souvenais que trop bien. Puis je descendis vers son bassin, couvrant son ventre de baisers ; je continuai mon chemin pour arriver à ses chevilles, où je m’emparais du bas de son jean pour le tirer. Et alors que je m’apprêtai à revenir l’embrasser, elle se redressa et passa ses mains derrière ma nuque pour me retourner et à son tour monter sur moi. Ses caresses et ses coups de langue sur moi me faisaient me tortiller de plaisir ; je n’avais que rarement ressenti ça avec quelqu’un, ou du moins, pas à ce point-là. C’était Beth qu’il m’avait toujours fallut, que j’avais toujours trop aimé, et même mon corps s’en rappelait, et le montrait bien

Elle m’arracha à son tour mon pantalon, qui ne tenait plus à rester sur le lit. Nos corps frétillaient et étaient trop impatients. Et ce fut après un « Je t’aime » glissé contre ses lèvres que la suite ne se fit plus attendre. Bassins relevés, arqués, nous ne fîmes plus qu’un dans un même mouvement généreusement partagés. Ce qui arriva après, ne m’en veuillez pas, mais je garderai les détails pour moi. Tout ce que je peux dire, c’est que nous étions très fatigués, et que nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre, les draps nous couvrant à peine.

En fin de matinée, nous arrivâmes à la boutique les bras à nouveau pleins ; avec les animaux, les cartons restants et un kit de nettoyage. Nous procédâmes tout d’abord à l’installation des petites bêtes après avoir rendu propres leurs grandes cages disposées la veille. Ensuite, il était temps de remplir les présentoirs et portiques des babioles pas chères, regroupant tout ce qui était porte-clefs, cartes, marque-pages, et autres souvenirs à ramener à sa famille. Ça nous pris presque deux heures, en plus de celles que nous avions passé à nous occuper des animaux. Comme la veille, Beth alla nous acheter des sandwichs pendant que je commençais à faire le tour du planétarium : Un nettoyage s’imposait, et il fallait que je me familiarise avec les différentes commandes.

Après la pause de midi (ou plutôt quatorze heures), nous remplîmes les stocks avec ce qui nous restait dans les cartons ; nous montâmes sur le toit où nous disposâmes plus sérieusement les chaises longues et les télescopes de sorte à ce que ça soit prêt pour les visiteurs. Ça ne nous prit pas trop de temps, et nous pûmes nous atteler enfin à la décoration. J’avais amené toutes sortes de guirlandes (non pas de Noël), des planètes à suspendre ainsi qu’un système solaire miniature. Un projecteur était également de la partie, avec pour but de donner une ambiance spéciale à la pièce avec des points blancs et autres étoiles dansant sur les murs. Bref, en clair, la résultat final fut très satisfaisant, et nous étions prêts à ouvrir la boutique. Le soir était arrivé et, plus que fatigués, je fermai la porte et nous nous installâmes sur plusieurs fauteuils du planétarium après que j'ai mis en route une séquence. Nous nous blottîmes l'un contre l'autre et la présence de Beth ainsi me rappela la nuit passée...
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