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ϟ this is the road to ruins, and we're starting at the end, say yes, let's be alone together.
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Message Posté Mer 29 Fév - 12:14.
 
such a great family



now, it is our time to fight against tyranny


STATUT DU SUJET : groupe privé
NOM DES PARTICIPANTS : tous les mafieux de Londres, bouyah.
DATE : mai 2056, ça fait quatre jours que la guerre civile a éclaté
HEURE : dix heures du soir, alors que les combats continuent encore dans certains quartiers chauds de la ville.
METEO : Qu'importe le temps, l'atmosphère est à l'orage.
NUMERO ET TITRE DE L'INTRIGUE GLOBALE EN COURS : 10
NUMERO ET TITRE DE L'INTRIGUE DU FORUM EN COURS : 9, viva la revolucion
INTERVENTION DE DOMINUS TENEBRAE : ça ira, normalement les Mafieux peuvent se débrouiller tous seuls.

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Message Posté Mer 29 Fév - 12:30.
choose your side

Le Parrain apparut à ses employés dans un manteau sombre. Son visage était grave, ses yeux durs, ses traits tirés. Il avait passé une journée compliquée à préparer un plan sans doute crucial. Son bras droit et consigliere, Alberon Windschaffel entra dans la salle en claquant la porte derrière lui. Coup d'œil échangé entre les deux hommes, tout le monde était là. Maverick Graymalkin s'éclaircit la voix et s'approcha du bord de l'estrade, vers ses employés. Il reconnaissait des visages, saluait d'un sourire bref des capitaines plus au courant que les simples soldats. Et il finit par parler.

« Mes chers amis, je ne sais pas si vous vous en êtes rendu compte, mais la guerre civile bat son plein au dehors. Quelques rires dans l'assemblée. Comme s'ils ne s'en étaient pas encore rendus compte. Je me souviens d'un des derniers discours que je vous ai tenu, il y a de cela plus d'un mois. La neutralité dans ce conflit entre le Ministère et l'Organisation. Si vous ne vous en souvenez pas, c'est que vous dormiez, alors ne vous faites pas remarquez. »

Il claqua des doigts et derrière lui se déroula une carte de Londres, animée, qui montrait à la fois les quartiers Moldus et les quartiers Sorciers.

« Ceci, commença-t-il en désignant le plan. est notre belle Albion. Maintenant que vous avez tous réussi à repérer votre maison et le O'Maley's, vous pouvez me regarder de nouveau. »

Curieusement, le Parrain avait l'air détendu. Pas l'air d'un homme qui s'était battu au côté de son ennemie de toujours sur les pelouses de l'Université, non, non. Pas l'air d'un homme qui avait failli perdre sa mère, son fils et ses petits-enfants le jour de la Troisième Tâche, rien de tout cela.

« Nous avions deux choix devant nous. Deux choix. Soit nous continuons à rester dans l'ombre des conflits et à en profiter pour faire nos petites affaires ; soit nous prenons part aux batailles et nous nous élevons contre l'Organisation. Vous vous doutez, au regard des derniers événements, de ce que je préconise. Cependant, nous ne pouvons pas agir entièrement à découvert. »

La Mafia allait tirer parti de cette guerre civile, d'une façon formidable, du moins était-ce l'idée du Parrain, conseillé par Windschaffel d'une façon admirable.

« Dès demain matin, mes chers enfants, vous êtes autorisés à combattre les membres de l'Organisation. Ceux qui ne le souhaitent pas, par peur ou par calcul, ou même par conviction, sont autorisés à ne pas prendre part aux combats : en contrepartie, je compte sur ces derniers pour assurer à la Mafia des rentrées d'argent considérables. C'est le moment où jamais pour tirer profit de ce bordel. Alberon vous expliquera les détails. »

Maverick retourna s'asseoir sur son fauteuil tandis que le consigliere prenait la suite et appelait finalement à la décision :

« Que ceux qui tiennent à se battre se rangent face à moi, à ma gauche ; que ceux qui veulent profiter de la crise pour faire fleurir toutes les actions de la Mafia se rangent à ma droite. Faites vite, comme ça on vous donnera de plus amples informations. »


Citation :
Précisions • Il fallait bien que je relance Maverick pour le season finale, et qu'il se sorte de sa situation de neutralité dans le bordel. Postez une seule fois à la suite de ce RP, pour qu'on sache où se situe votre perso, et qu'on puisse avoir une certaine cohérence such a great family [PM] (mafieux) 156512
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Message Posté Mer 29 Fév - 23:39.
Tu fixes l'estrade, l'air maussade. Tu as été convoqué par ton père quelques heures auparavant, comme tout les autres mafieux, et ça t'avait surpris. Les réunions étaient assez rares en ce moment. La dernière fois que vous aviez été réunis, c'était pour bien faire comprendre à tout le monde que la Mafia n'entrerait pas en guerre. Ordre auquel tu avais totalement désobéi lorsque ta famille avait été en danger. Tu n'avais d'ailleurs pas parlé à ton père depuis que tu avais ramené tes enfants à Londres. Tu craignais un peu le sujet de cette réunion, sans mentir. Tout ce que tu savais, c'était que ça avait un rapport avec la guerre civile en cours. Rien de très joyeux, en somme. Tu aurais bien passé ton tour d'ailleurs, mais on ne pouvait pas ne pas venir aux réunions de la Mafia. Surtout quand son père en était le chef, et qu'on était capitaine. Tes proches avaient compris, même s'ils étaient inquiets. Tout le monde était inquiet en ce moment.
Tu es appuyé contre un mur, loin de ces pauvres petits soldats, si novices dans l'entreprise. Tu attends ton père. Tu as hâte de savoir ce qu'il ne t'a pas dit. Et puis, tu le vois apparaître, suivit de près par Windschaffel, et de loin par Butler. Tu aurais bien voulu que ta sœur soit là, ne serait-ce que pour voir la tête de votre père. Il a presque l'air d'avoir vécut cent ans, avec son regard noir, et ses traits tirés. Ou tout simplement d'avoir eu une mauvaise journée, ce qui est très probable. Il te sourit un peu à toi et ton collège capitaine, sourire auquel tu réponds un peu, avant de sortir les mains de tes poches, et de croiser les bras, en avançant de quelques pas. C'est maintenant que l'amusement va commencer.


« Mes chers amis, je ne sais pas si vous vous en êtes rendu compte, mais la guerre civile bat son plein au dehors. »

Quelques idiots rient, et tu te mords l'intérieur de la joue pour ne pas leur lancer un Doloris bien placé. Bande de petits cons.

« Je me souviens d'un des derniers discours que je vous ai tenu, il y a de cela plus d'un mois. La neutralité dans ce conflit entre le Ministère et l'Organisation. Si vous ne vous en souvenez pas, c'est que vous dormiez, alors ne vous faites pas remarquez. »

Tu vois que personne ne bouge. C'est bien. Tu souris un peu, soulagé de voir que tes soldats ne sont pas idiots à ce point.
Ton père claque des doigts, et une carte animée apparaît derrière lui. C'est tout Londres que tu vois. Ta maison, les quartiers moldus, le Chemin de Traverse, même le O'Maley's apparait.

« Ceci, est notre belle Albion. Maintenant que vous avez tous réussi à repérer votre maison et le O'Maley's, vous pouvez me regarder de nouveau. »

Hm.

« Nous avions deux choix devant nous. Deux choix. Soit nous continuons à rester dans l'ombre des conflits et à en profiter pour faire nos petites affaires ; soit nous prenons part aux batailles et nous nous élevons contre l'Organisation. Vous vous doutez, au regard des derniers événements, de ce que je préconise. Cependant, nous ne pouvons pas agir entièrement à découvert. »

Ton pouls s'accélèrent un peu sous l'effet de l'adrénaline qui parcours ton corps. Si ton père pensait à ce que tu penses...

« Dès demain matin, mes chers enfants, vous êtes autorisés à combattre les membres de l'Organisation. Ceux qui ne le souhaitent pas, par peur ou par calcul, ou même par conviction, sont autorisés à ne pas prendre part aux combats : en contrepartie, je compte sur ces derniers pour assurer à la Mafia des rentrées d'argent considérables. C'est le moment où jamais pour tirer profit de ce bordel. Alberon vous expliquera les détails. »

Tu décroises tes bras sous l'effet de ce discours. Et il n'avait pas pu te le dire plus tôt, de façon à ce que tu ne culpabilise pas d'avoir participé contre son avis ? Hrmph. Tu l'aurais détesté s'il n'avait pas été aussi brillant. Windschaffel vous demande ensuite de vous ranger selon votre choix. Tu n'as même pas besoin de réfléchir, et te retrouve en première place sur sa gauche. Tu lui jettes un coup d'oeil entendu, ce à quoi il répond par un hochement de tête.
Comme si tu allais rester tranquille à ton bureau alors que ces salopards avaient menacé la vie de ta famille. Quelle idée. Tu jettes un coup d'oeil sévère aux soldats qui semblent hésiter derrière toi. S'ils ne se décident pas rapidement, tu vas les aider à choisir, et ça ne sera pas joli. Ce n'était pas ce qu'on pouvait appeler un choix cornélien après tout, non mais.

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Message Posté Jeu 1 Mar - 17:00.
L'ambiance apparaissait au moins autant solennelle que détendue, du moins c'était ainsi que Jarvey le ressentait. Les affres de l'Organisation n'avaient pas tant effleuré sa morale que ses préoccupations, après tout le jeune homme jurant tel un charretier ne s'était jamais vraiment soucié des aléas qui secouaient le monde magique : tant qu'on lui fourguait sous la main de la barbaque à attendrir, peu de choses importaient au final. Toisant la salle d'un air mutin et joueur, Louis glissa distraitement ses mains dans les poches ; presque frustré de ne pas avoir de cigarette à glisser entre ses doigts oblongs, de baguette à faire tournoyer promptement, ni même de pomme à faire rouler dans le creux de ses mains habituellement toujours occupées. Trop énergique pour attendre sagement debout à toiser les corps inertes et droits de ses camarades disciplinés, il laissa un long et radieux soupir s'échapper de ses lèvres lasses tandis qu'il pointa ses yeux espiègles au plafond : sait-on jamais, s'il y avait quelque chose d'intéressant à y observer. Essuyant quelques oeillades appuyées de certains de ses comparses le trouvant trop impatient voire irrespectueux, Louis fit fi des réactions de ces lèches-bottes et braqua ses pupilles métalliques sur le boss lorsque ce dernier fit enfin son entrée. Une main passée dans ses cheveux en bataille acheva de convaincre tous les mafieux des lieux que Louis Harmmon souffrait d'une certaine forme d'hyper activité : peut-être était-ce là le secret de l'énergie qu'il mettait lorsqu'il s'agissait d'être innovant et créatif en matière de tortures.

Blablabla. Des entrelacs de discours concis, clairs et excitants que Louis suivait avec attention, son regard sérieux épinglant le boss avec intérêt mais qui ne demeuraient toujours que des discours. L'homme d'action qu'il était attendait la chute avec impatience, un rictus amusé s'affichant nettement sur ses lèvres lorsqu'enfin tomba le verdict tel un couperet affûté : « Nous avions deux choix devant nous. Deux choix. Soit nous continuons à rester dans l'ombre des conflits et à en profiter pour faire nos petites affaires ; soit nous prenons part aux batailles et nous nous élevons contre l'Organisation. Vous vous doutez, au regard des derniers événements, de ce que je préconise. Cependant, nous ne pouvons pas agir entièrement à découvert. » Et tandis que le discours s'annonçait de plus en plus palpitant, l'intérêt espiègle et enfantin de Louis s'éveillait doucement, piqué par ce désir d'adrénaline et l'envie de tester sa dernière lubie de tortionnaire qu'il souhaitait mettre en pratique : l'arrachage de dents par la tenaille moldue. Considérant néanmoins les deux propositions, Jarvey hésita un instant avant de se ranger face à Windschaffel : butter des enculés de première, ou s'enrichir sur le dos des têtes de cons... Le dilemme s'avérait cornélien, pour autant Louis jugea que sa part de créativité prenait le pas sur sa vénalité : il se rangea donc à gauche d'un pas insouciant et détaché, avisa un instant l'assemblée et finit par sortir une clope qu'il alluma au coin de ses lèvres. Basta.
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Message Posté Jeu 1 Mar - 20:57.
    Assis sur un des fauteuils au fond de la salle de conférence, Eowyn sur les genoux, Niels n'écoutait pour ainsi dire pas du tout ce qui se passait. Il venait toujours aux réunions, histoire de ne pas se faire arracher la tête par ses supérieurs, mais lui demander de porter une totale attention à ce qui se passait... c'était lui demander un peu trop de sa personne, là. Surtout quand il avait Eowyn sur les genoux et qu'il était infiniment occupé à l'embrasser langoureusement, sans se soucier des possibles yeux chastes des autres présents. Yeux chastes, tss. Et puis, pour quelques baisers, ils pouvaient bien les supporter encore quelques minutes... Il glissa sa main sur la cuisse de la jeune femme, la tournant pour qu'elle soit carrément à califourchon sur lui. Ça lui permettait de pouvoir caresser ses fesses sans trop se compliquer la vie, hm, et de cacher un peu qu'il s'en venait un peu trop excité pour continuer d'être en public. Damnée Eowyn bien trop attirante. Un soupir excédé de Il Dottore le fit ricaner intérieurement. Quelle idée d'être dans la Mafia et ne pas pouvoir supporter des trucs aussi naturels que deux personnes qui veulent conclure sur un canapé... surtout quand on savait que Il Dottore traînait beaucoup au Red Lantern, dans ses temps libres. J'ai envie de toi, chérie. Après cette réunion, t'as un peu de temps à m'accorder ? Sans doute. Il espérait.

    Un mouvement dans la foule arracha son attention des courbes alléchantes d'Eowyn pour reporter le tout sur la salle. Hein ? Pourquoi les gens se séparaient ? Il avait sûrement raté un truc important.

    « À gauche ceux qui veulent se battre, à droite ceux qui veulent faire du fric. Si t'écoutais un peu, Mockingbird, au lieu de te commettre aussi vulgairement en public, tu saurais quoi faire. »

    C'était Captain qui avait parlé, d'une voix sèche et sans équivoque, avant de partir du côté gauche du Parrain, affirmant ainsi son opinion, accompagnée de son mari. Comme s'il y avait lieu de se fâcher ainsi... bande de petits joueurs. Le brun se leva, tenant Eowyn à ses hanches, puis la reposa au sol avec un dernier baiser. De son pas nonchalant, le mafioso se dirigea à la droite du Parrain, premier des exécutants à affirmer silencieusement que la guerre ne l'intéressait pas et qu'il pensait avant tout à l'argent à faire dans toute cette histoire. Il était parti du terrain de bataille de l'université, ce n'était pas pour rien... Il attrapa la cigarette de Jarvey, pour en tirer une bouffée au passage, avant de revenir à sa place à droite et de dire laconiquement, sortant une cigarette de son propre paquet :

    « Macha n'a pas pu venir, elle avait un client à exécuter. Elle et Black Bird seront avec moi. »

    Immédiatement, Gia sortit des rangs et alla se placer à ses côtés. Un sourire à l'Italienne, le claquement de son briquet et la fumée de sa cigarette qui se mêle à celle de Jarvey. Les jeux sont faits.
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Message Posté Ven 2 Mar - 18:38.

Qu’est ce qu’il faisait là déjà ? Il cessa de regarder par la fenêtre un instant pour regarder dans la salle. Des gens, plein de gens. Il desserra un peu son col de chemise pour pouvoir respirer un peu plus. Il n’aimait définitivement pas la foule. Bon, ça disait pas ce qu’il faisait là. Il vit jarvey dans un coin, le parrain au milieu. Ah, oui, la mafia. Encore une réunion pour se demander quoi faire. Le portugais retourna à la contemplation silencieuse de la rue. On avait pas besoin de lui pour décider de trucs qu’on ferait au final jamais non ? Si ? Bof, il était pas là pour donner son avis à voix haute, vu que tout le monde savait qu’il s’en moquait comme de sa première caisse de cocaïne. Depuis quand Augurey le monstre, le sociopathe, le déviant, a un avis sur quelque chose ? Ridicule. Alors il laissa de nouveau ses pensées se fixer sur un point imaginaire que lui seul connaissait et pouvait comprendre.
Dehors, il y avait la lumière des réverbères qui éclairaient à peine la rue sombre. Le dealer aimait mieux Londres la nuit. Pas à cause de la beauté de la lune sur la tamise, non. Il aimait mieux Londres la nuit parce qu’on en voit moins la crasse, la misère, la dépression sourde qui étaient tapies au fond de chaque égout et ne demandaient qu’à en sortir. Il contemplait un chat famélique tourner autour d’une poubelle, puis sauter dessus pour en tirer de quoi subsister. Il le regardait farfouiller les ordures à la recherche de quelque chose à manger. Ça aurait paru triste à n’importe qui d’autre qu’à lui. Non, lui il trouvait juste ça intriguant. C’était une donnée du problème, une pièce du puzzle. La détresse, la faim, n’étaient pour lui que des composantes de la maladie qui rongeait la ville, et même l’Europe pour ce qu’il en savait. Elles allaient de pair avec la suspicion et la traitrise, la colère et les batailles, l’appât du gain. Tout ça, c’était la lutte pour la survie instaurée par la crise et le terrorisme. Mais ça allait changer. Le vent soufflait déjà dans l’autre sens, du moins le croyaient-ils tous. Peut-être que c’était le cas. Augurey était sceptique, pas devin. C’était son truc d’être pessimiste.
Il releva la tête quand quelqu’un parla de faire du fric. C’était le bras droit du patron. Son nom importait peu à Augurey. Ce qu’il disait en revanche apportait un élément nouveau sur lequel il comptait se pencher. Se battre ou faire du fric. Pour lui, le choix était tout fait. Jouer à la guerre était pas du tout dans son genre de trip. Il n’avait jamais été doué pour ça, fuyait les conflits ouverts depuis toujours, ne supportait pas les bruits et lumières des combats. Alors que l’argent … vénal dealer qu’il était, l’argent l’attirait. L’argent ne fait pas tout, c’est indéniable, et il n’aurait pas prétendu le contraire. Mais la somme de ce que l’on peut faire elle, était infinie. Ajouté à l’idée de profiter sur le dos de ces crétins du ministère, et peut être même de notables sorciers dans le genre de son père ou de ses amis … alléchant. Il se leva avec ce paradoxal mélange d’élégance et de gaucherie qui le caractérisaient, fit quelques pas, et allât se placer à côté de mockingbird. Le fric.
Il cligna lentement des paupières et chercha jarvey du regard. Pas qu’il attendait l’accord de son vieux camarade, mais il se demandait toujours ce que celui-ci pensait des choses. Il scrutait le groupe des mafieux, puis ses yeux le trouvèrent à son opposé. Il avait choisi l’autre camp. Intéressant. Il savait l’intérêt de Harmmon pour les différentes façons de torturer, sa créativité dans ce domaine. Il n’était pas surpris. Il esquissa juste un haussement de sourcils face à l’étrangeté de voir l’une des personnes les plus proches de lui avoir un avis opposé au sien. Ça fait toujours un effet bizarre, même pour un grand albatros comme Augurey.
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Message Posté Jeu 8 Mar - 1:42.
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    Posant ton coude contre ton menton, tu sondes la salle de ton regard aiguisé, à la recherche de la moindre source de distraction qui serait possiblement à ta disposition. Tu te sens étrangère à cette réunion, mais forcée à y participer, tu t'étais astreinte à fouiller ton armoire dans la ferme intention de dénicher la tenue qui rendrait ta sortie utile. Souriante, tu étais entrée dans cette salle pour n'y trouver que des visages fermés et tu t'étais contentée de t'asseoir, bien que blasée par ce manque d’enthousiasme de tes confrères. On te répondait généralement que l'on était pas là pour faire des sentiments et tu t'ébrouais. Quiconque ayant un peu de bon sens ferait des sentiments en sachant que tu étais impliquée dans l’événement. Mais peut importe que l'on ne veuille pas te montrer quelques signes de jovialité, tu arrêterais quelques inconnus en sortant et trouverais la joie en leur présence, que cette entrevue soit sanglante ou charnelle. Tu trouvais toujours un moyen de t'amuser, de toute façon. Tu souffles à nouveau, passant tes mains contre tes cuisses pour redescendre ta robe qui remonte un peu trop à ton goût. Puis, telle une automate, tu reposes tes mains contre la table et tu fixes le plafond, en dépit de trouver une meilleure attraction. Décidément, si ce n'était pas pour trouver de l'amusement dans des situations étrangères aux personnes que tu qualifiais de banales, tu n'aurais certainement décidé de rejoindre les rangs de la mafia. Honorer cette pièce morne de ta présence renforçait à chaque fois plus cette sensation qui soutira à tes lèvres un nouveau soupire.

    L'arrivée du parrain te coupa dans ton imperturbable contemplation et en un élégant soubresaut, tu te redresses en pourvoyant tes lèvres de ton sourire habituel. Les premières paroles du parrain tordirent légèrement ta bouche tant elles étaient évidentes. Si c'était pour ce genre d'informations que tu étais venue, tu te lèverais bien pour vaquer à tes occupations ailleurs qu'ici. Néanmoins, la suite de son discours t'intrigua. Où voulait-il en venir ? Tu fronces les sourcils tandis qu'il continue de parler. Une carte. Tu scrutes le papier et tu repères immédiatement les lieux indiqués par la Parrain sur lesquels ton attention s'étaient automatiquement focalisés. Lorsque l'homme expose les deux choix qui s'offrent à vous, tu retrouves ton sourire, cette fois-ci quelque peu victorieux. Passer à l'action, enfin ? Ce même sourire s'amplifia largement lorsque tu entendis le mot « combattre ». C'était bien pour cela que tu étais lieutenant dans la mafia et cette perspective alimentait cette joie qui était inexistante lorsque tu avais passé la porte de l'hôtel. Enfin !

    L'autre homme prit la parole et présenta catégoriquement ce qui allait à présent se passer. Deux groupes. Ceux qui allaient se battre et ceux qui feraient de l'argent. Merveilleux. Tu vois d'ores déjà quelques hommes se lever et rejoindre leur camp et tu baisses les yeux en voyant Jockey se placer à la gauche de Windschaffel. Pendant quelques secondes, tu hésites, mais tu relèves finalement les yeux et avec toute ta grâce, tu empoignes fermement ton sac et te diriges d'un pas élégant au devant ta scène. Accompagnant ton choix d'un large sourire, tu te places toi aussi à gauche et lances un clin d’œil subtil à Jockey, qui ne sera certainement pas très joyeux de te voir à ses côtés. Peu importe. Maintenant, ne restait plus qu'à sortir de cet infâme hôtel, puisque tu pouvais à présent te battre en paix. Ton pied commence à frapper instinctivement le sol tandis que les hommes commencent peu à peu à se lever pour vous rejoindre. Ce n'était pas trop tôt !
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Message Posté Sam 10 Mar - 11:13.
Assise sur les genoux de Niels, tu étais présente sans l’être, comme toujours. La mafia t’avait certes recueillie, tu étais des leurs mais pas question pour autant d’être aussi docile et serviable que ces autres pantins. Si tu étais venue à cette réunion, c’était uniquement pour le plaisir de t’afficher encore un peu plus. Rayonnante d’impudeur et d’immoralité. Tu n’étais pas une tueuse, tu te contentais d’espionner, de voler de temps en temps, mais le sale boulot, ce n’était pas pour toi.
Quelque part, tu te sentais puissante, d’une simple impulsion tu pouvais découvrir tous leurs plus sombres secrets, tu pouvais les faire pleurer en les mettant face à leur peur les plus profondes.
En attendant, c’était plutôt les rumeurs de mécontentement qui parcouraient leurs esprits dont tu profitais.

Désormais assise à califourchon sur Mockingbird, tu captas néanmoins le choix qu’offrait le parrain à sa famille. Se battre ou faire du profit. Le choix était déjà fait dans ta tête, tu ne comprenais pas l’intérêt qu’il y avait à se mêler à cette petite guerre. Tu n’étais pas une guerrière, tu étais plus sournoise que ça et ce n’était pas dans ton intérêt de te retrouver sur un champ de bataille. Je commence mon service dans deux heures, ça devrait nous suffire. Sourire aguicheur, tu adorais prendre ainsi le contrôle sur celui partageait un semblant de ta vie. Quoique si tu lui avais refusé, il aurait probablement trouvé une autre pour partager sa couche. Qu’importe.

Quelques secondes plus tard, tu te retrouvas debout, Niels se dirigeant vers la droite du Parrain affirmant ainsi sa volonté de ne pas se battre, mais surtout son envie de faire du profit. Il affirma que Macha et Black Bird se rangeraient de son côté, et quelques secondes plus tard se fût au tour de Gia de se poster à côté de lui. Très bien.
Nous avions donc d’un côté Jockey, Jarvey, Bonnie. Et de l’autre Mockingbird, Macha, Augury, Gia et Black Bird. D’une démarche lente et gracieuse tu partis à l’opposé de Bonnie, lui lançant un clin d’œil amical. Tu ne voulais pas te battre, c’était désormais officiel. Tu n’avais jamais voulu te battre et malgré ton absence totale de moral dû à ta mort inévitable, tu n’étais pas une tueuse. Tu refusais catégoriquement de retirer la vie à quelqu’un, ce n’était pas toi. Tu étais une artiste, une danseuse, une fille de joie et de plaisir. Te posant aux côtés de Werner, tu lui lanças un sourire éblouissant, ça serait peut-être l’occasion de mettre leurs talents en commun pour rapporter assez de profit à la Mafia.


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Message Posté Jeu 5 Avr - 23:18.
now let's show them who rules the world

Sous les yeux du Parrain et de son consigliere, la foule se rangeait en deux groupes, clairement distincts. Certains parlaient pour les absents, d'autres se contentaient d'ordonner silencieusement, par un regard autoritaire, à leurs sous-fifres de les suivre. Ainsi en fit le fils du Parrain, connu autant sous son pseudonyme Jockey que sous sa véritable identité. Les hommes et les femmes de l'ombre finirent par tous faire leur choix et bientôt, il n'y en eut plus un seul qui restait assis dans un espace médian. Les groupes étaient à peu près équilibrés. Alberon Windschaffel les compta rapidement et hocha finalement la tête. Ils étaient plus nombreux à vouloir faire du fric, mais il comprenait parfaitement cette frilosité. Qu'importe, après tout. De toute façon, il était nécessaire qu'ils profitent de cette occasion pour asseoir un peu plus leur organisation clandestine et hors-la-loi.

« Pour ceux qui souhaitent se battre : vous vous battez sous votre véritable identité, ou sous Polynectar. Vous avez les horaires que vous voulez, vous faites ce que vous voulez de vos adversaires. Si certains en prennent et en rapportent au QG pour des interrogatoires, ça serait pas mal. Oui, quoi, Cowboy ? »

Un homme avait levé la main dans l'assistance. Bourru, la barbe blonde fournie, Sidney Jefferson était un homme craint dans la Mafia :

« Y a besoin d'en tuer certains, des particuliers j'veux dire ? »

Coup d'œil entre le Parrain et le Consigliere. Et puis Alberon répondit tranquillement :

« Le problème avec les Masqués, c'est qu'on ne sait pas qui ils sont. Mais leur identité serait bonne à connaître, bien entendu. Quant aux autres, il se tourna vers ceux qui préféraient faire du fric, Nous sommes en crise, il semblerait. Et en temps de crise, les gens ont tendance à oublier qui ils doivent respecter. Je compte sur vous pour le leur rappeler. Et assurez-vous qu'ils remplissent bien leurs engagements… Qu'ils n'aillent pas payer n'importe qui sous prétexte qu'ils n'avaient plus entendu parler de nous. Et vous faites pas pincer par les Aurors, ça ferait tâche. Allez, au boulot.
- Vous êtes capables de beaucoup. Montrez-nous votre talent. Et assurez notre domination. »

Et sur ces mots, la réunion fut terminée. Le Parrain n'était pas sûr et certain que ses projets seraient menés à bien, mais il avait confiance en ses hommes : il suffisait que l'on fasse miroiter le gain devant leurs yeux pour qu'ils y voient un intérêt inébranlable. Et il avait toujours intérêt à ce que ses employés aient un quelconque intérêt économique qui guide leurs actions, sans cela le système s'effondrait.


Précisions • Vous pouvez encore poster pour signaler où votre perso se situe dans le plan. De toute façon, la saison se finit, donc on reprendra nos conneries la saison prochaine, hein. Hein ? niark Je suis fier de vous, mes larbins, vous avez répondu à l'appel.
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