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[PM] Further down the river ; Arya
ϟ this is the road to ruins, and we're starting at the end, say yes, let's be alone together.
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Message Posté Dim 11 Mar - 16:46.
Further down the river




STATUT DU SUJET : Privé
NOM DES PARTICIPANTS : Arya P. Livingstone, John M. Hemingway
DATE : fin mai 2056
HEURE : Fin d'après-midi, aux alentours de 18h
METEO : Nuageux
NUMERO ET TITRE DE L'INTRIGUE GLOBALE EN COURS : 010, Revanche
NUMERO ET TITRE DE L'INTRIGUE DU FORUM EN COURS : 009, Viva la revolucion.
INTERVENTION DE DOMINUS TENEBRAE : Nope.


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Message Posté Dim 11 Mar - 16:50.
    Les rues étaient si calme. John ne se souvenait plus la dernière fois qu’il avait vu une famille unie avec leurs enfants courant et jouant non loin de la sphère parentale. Aujourd’hui, tout le monde avait peur, tout le monde se cachait. Le moindre sorcier que l’on pouvait rencontrer au croisement d’une ruelle est suspect. John l’était également. Il se disait à l’instant qu’il ne devait pas être très rassurant avec son long trench coat ouvert qui avait comme double fonction celle d’une cape, ses cheveux ébouriffés et sa barbe de trois jours qu’il avait depuis des mois. Bien qu’on fût en fin d’après-midi, certains commerçants étaient déjà fermés. John n’était plus étonné, le contexte actuel ne donnait pas envie de travailler de huit heure du matin non-stop jusqu’à dix-huit heures …

    Sans s’arrêter, surtout pas, et sans regard en arrière, John avançait d’un pas décidé. Il avait un but bien précis. Sortant des bureaux de la Gazette, il marchait depuis une bonne dizaine de minutes maintenant vers la librairie de Chemin de Traverse appelé plus communément Fleury et Bott. Rien de plus banal pour un journaliste me direz-vous, il est de son devoir de se cultiver le bougre. En apparence, c’est ce qu’Hemingway aimerait qu’on pense de lui. Or son but est tout autre. Il avait l’intention d’aller dans cette boutique car il savait qu’une personne y serait, Arya Livingstone. Sa « protégée », celle qu’il doit surveiller. Depuis un petit bout de temps, il avait remarqué qu’elle faisait beaucoup de recherche. Elle allait très souvent à la bibliothèque, encore plus que d’habitude, elle lisait énormément, et bizarrement, il ne se sentait pas très à l’aise vis-à-vis de tout ça. John avait un mauvais pressentiment. Il était bizarrement plus inquiet que d’habitude. Inquiet à l’idée de se faire prendre.

    Après avoir été regardé intensément par deux ou trois sorciers, une petite fille et un chien errant (arrive un moment où on voit le mal partout) John arrivait chez Fleury et Bott. A quelques mètres de la porte, il jeta un rapide coup d’œil derrière son épaule. Personne ne semblait l’avoir suivi. Après une dernière vérification, il poussa la porte de la boutique. Le magasin était calme. Pas de chance pour John, il avait plus de chance de se faire repérer s’il n’y avait pas de sorcier partout dans la boutique à réclamer l’attention des commerçants. Commerçants qui semblaient s’ennuyer à mourir derrière leur comptoir. Après un rapide mouvement de la tête en guise de salutation, John se dirigea plus en profondeur dans la librairie. Arya n’était heureusement pas encore arrivée, mais il ne voulait surtout pas se faire repérer. Surtout qu’en ce moment, leur relation s’était plus au moins détériorée, surtout plus en fait, au plus grand malheur de John. Mais même si le fait d’être face à face était devenu gênant, il se devait de faire son devoir, quoiqu’il arrive.
    John se dirigea vers le rayon des livres pour les étudiants en première année d’étude. Il y avait toutes sortes de livre sur les potions, les sorts et enchantements et autres. Endroit où l’on avait rien à faire si on était pas étudiant ou parents d’élèves. Mais vu le peu de personne en ces lieux, les habitudes de la maison, on s’en foutait pas mal. Qui plus est, cette section était assez éloignée de la caisse. Mais si on savait bien se placer et qu’on avait perfectionné une ouïe ultra-développée que le silence de la boutique aidait grandement, on pourrait entendre le titre du livre qu’Arya avait commandé. Ou peut-être juste jeter un rapide coup d’œil. Non, John n’était pas un voyeur, nuance, mais la pression qu’il ressentait depuis quelques jours avait besoin d’une réponse pour se détendre.
    Soudainement, John fut attiré par la couverture d’un bordeaux très foncé. Il était très épais et paraissait extrêmement vieux. Sur la couverture était écrit « Contes, Légendes et Mythologies, de l’Antiquité à nos jours » Nom d’une acromentula pétrifiée … Et si Arya faisait des recherches sur la boite de Pandore ? Si elle faisait des recherches sur qui elle était réellement ? Non, elle ne peut pas le savoir, c’était impossible. Et puis il n’y a rien de tel dans les livres, n’est-ce-pas ? Pris d’un doute fulgurant qui l’agaçait plus qu’autre chose, il prit le livre d’un geste rapide et lit la table des matières dans l’espoir infime de ne rien trouver, absolument rien qui puisse aider Arya à trouver qui elle était réellement ainsi que ses sœurs, ou pire, qui était réellement John. Il ne voulait cependant pas être pris par surprise lorsqu’elle arrivera. Il se mit dos à l’entrée, dos à une poutre, tout en ayant les oreilles grandes ouvertes ainsi que les yeux dont les pupilles se dilatèrent à l’instant où il venait de lire dans la table des matières « La boîte de Pandore et ses conséquences sur le monde d’aujourd’hui ». La prophétie était bien présente, partout. Le monde des sorciers était seulement trop occupé à combattre une guerre dévastatrice et terrifiante pour s’en soucier.
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Message Posté Lun 12 Mar - 21:59.
[PM] Further down the river ; Arya  Jzi2s

1, 2, 3, 4, 5! Pas prête, j’y vais! Suite à ces dernières paroles, je m’étais mise à courir partout dans ma demeure, je la cherchais, mais la vilaine s’était vraiment très bien cachée! Cet enfant était venu à moi pendant la nuit, elle s’ennuyait et désirait se trouver une amie afin de pouvoir jouer à cache-cache. Ayant une bonne âme, je lui ai gentiment proposé de devenir son amie, ce qu’elle a précipitamment accepté, heureusement! Je ne crois pas que j’aurais aimé de me faire rejeter par un enfant qui n’a même pas encore une décennie devant elle. J’ai donc cherché cette ombre durant une bonne partie de la nuit, me privant d'un sommeil qui m’aurait probablement aidée à reprendre des forces. Après quelques minutes, j’avais compris que je ne la trouverais pas de si tôt et c’est pour cette raison que j’avais décidé de lui tendre un piège, c’est-à-dire : Me faire un bol de céréales en forme de dragons et hippogriffes! Aucun enfant ne peut refuser ce genre de déjeuner. Je me suis donc assise sagement à la cuisine et j’ai savouré oralement cet oh combien délicieux déjeuner. Malheureusement, rien. Il ne s’est rien passé et cette petite fille n’est même pas sortie de sa cachette pour venir savourer ce bol de céréales avec moi.

Ne voulant point perdre mon temps, sachant que j’étais sur une forte piste pour découvrir quel était cette fameuse prophétie qui me concernait, j’avais pris la décision d’ignorer cet enfant et c’est pour cela que j’avais entrepris mon rituel du matin, qui est : Déjeuné, douche, brossage de dents et habillement. Bref, le genre de truc que moldus et sorciers font, mais dans un ordre différent. Au final, j’étais fin prête à partir vers ma deuxième maison qui est la librairie de Londres.

Il fessait nuageux dans les rues de Londres et je dois avouer que j’aime bien cette température, le soleil ne nous aveugle pas les yeux et comme la pluie n’est pas au rendez-vous, aucun risque d’attraper le rhume. Bref, c’était la perfection et c’est pourquoi je gambadais dans les rues de Londres. Je savais qu’actuellement c’était la guerre un peu partout dans le monde magique, mais pour être franche avec vous, je m’en fou royalement! Les seuls détails que je connais à propos de cette guerre, c’est ce que j’entends d’elle au ministère et encore, c’est très rare que j’écoute ce que racontent ces gens. Après une quinzaine de minutes, je voyais enfin la grosse affiche inscrite : « Fleury et Bott ».

Je venais tout juste de pénétrer à l’intérieur et je savais déjà vers où je me dirigeais puisqu’hier soir, j’avais découvert un livre qui semblait contenir de fortes informations concernant la prophétie, j’avais eu le temps de le feuilleter et de découvrir d’étranges choses comme quoi les personnes reliées cette prophétie avaient des gardiens pour les empêcher ou encore les protéger de quelque chose. Je n’en connais pas plus et j’aurais bien aimé amener ce bouquin avec moi, mais malheureusement, cette vieille bibliothécaire était pressée de fermer sa boutique alors elle m’a renvoyé à coup de balai, sympathique la madame. Enfin, tout ça pour dire que durant la soirée j’avais songé à cette découverte que j'avais faite, qui pourrait être un gardien? Quelqu’un qui prendrait soin de moi? Quelqu’un que j’aurais toujours connu? Une seule personne me semblait assez évidente, John M. Hemingway, mais le fait qu’il met embrassé lors d’une soirée à Noël me mettait dans le doute… S’il était réellement un gardien, il n’aurait pas embrassé quelqu’un qui est censé surveiller. En tout cas, ce n’est pas très professionnel à mon simple avis.

Je m’étais donc dirigée vers où que j’avais laissé ce livre nommé la boîte de Pandore et ses conséquences sur le monde d’aujourd’hui, hier soir et avec la ferme intention de le dévorer en quelques heures. Ceci dit, j’ai vite remarqué qu’il avait disparu de l’endroit où je l’avais laissé. D’un pas calme, mais non sans retenir quelques gouttes de sueur, je m’étais sagement dirigée vers cette vieille bibliothécaire quand tout à coup, j’avais aperçu dans mon angle mort un être qui m’était familier ou plus tôt, très familier, c’était John! Cette situation était très étrange, je ne savais pas si je devais me diriger vers lui, suite aux réflexions ainsi qu’au baisé qui me hantaient à son sujet. Toutefois, la curiosité m’avait emparé et c’est pourquoi mes pieds avaient soudainement changés de direction, marchants dorénavant vers cette colonne ou John, le potentiel gardien, était accoté.
Une fois près de lui, j’étais de glace. Cela fessait longtemps que l’on ne s’était pas adressé la parole et je craignais ce moment. C’est donc avec une voix glaciale que j’avais déclaré :

Tu fais quoi ici?

Mes yeux regardaient uniquement les siens lorsque soudain, mon regard avait été attiré par ce qu’il tenait entre ses mains. Certes, c’était un livre, mais je ne pouvais voir le titre de celui-ci, car l'une de ses mains le cachait.

Depuis quand t’intéresses-tu à la lecture? Je peux voir?

Sans même attendre une réaction de sa part, j’avais levé mes mains vers lui, attendant qu’il me le remette entre mes mains. Je le sais et je suis certaine que lui aussi le savait, mais j’essayais de le provoquer, je voulais percer cette carapace et découvrir s’il pouvait réellement être un gardien, un gardien qui franchement fait très mal son travail…
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Message Posté Sam 17 Mar - 15:59.
    Citation :
    « L’épisode mythologique de la boîte de Pandore marque la fin de la période que les poètes ont appelé l’âge d’or. Pandore fut envoyée sur la Terre pour punir les hommes qui ont accepté le feu que leur a offert Prométhée qu’il a lui-même volé aux dieux. Elle fut façonnée par Vulcain à la demande de Jupiter. Elle possédait en elle toutes les qualités et vertus des dieux (d’où son appellation « Celle qui est le don de tous » ou « Celle qui a tous les dons ») […] »


    John Hemingway avait entamé la lecture du livre sur le chapitre qui parlait de la boîte de Pandore. Jusque-là, le journaliste n’apprenait rien de nouveau. La mythologie était une de ses spécialités. Certains sont doués en cuisine ou savent reconnaître toutes les créatures magiques reconnues, John lui connaissait la plupart des mythes gréco-romains. Mais n’importe quelle autre information pouvait être primordiale. Alors il lisait, pour se rassurer d’avoir les connaissances nécessaires à sa mission. Soudainement, John entendit la porte s’ouvrir. Non, pas déjà, elle ne pouvait pas déjà être arrivée … Malheureusement, un simple regard au coin de l’œil affirmait John que c’était bel et bien le cas. Il dut soudainement faire face à une pensée qu’il ne lui était pas venu jusque-là : comment lui parler. Fatalement, ils allaient se rencontrer, se croiser, bref, se parler. Cependant, cela faisait un bon bout de temps que les deux jeunes gens n’avaient pas échangé une discussion. Fallait-il le rappeler, mais John en était le responsable. S’il ne l’avait pas embrassé lors du bal de Noël, leur relation serait restée amicale. Mais il fallait croire que cela ne suffisait plus à John Hemingway qui avait succombé à ses sentiments.

    John n’eut pas le temps de réfléchir à tout ça en vérité car à peine entrée, il s’aperçut qu’Arya se dirigeait droit vers l’endroit où il se trouvait. Grosse blague. John resta le dos collé à sa colonne quand il remarqua qu’elle sembla se diriger cette fois-ci vers la bibliothécaire. Ses pensées s’accélérèrent, mais il resta calme. Il ne paniquait pas, jamais. Ou presque. Il posa le livre qu’il venait de lire sur une énorme pile, en prenant bien soin de couvrir la couverture par un autre livre à la couverture marron uni. John entendit des pas se rapprocher. Ses yeux se posèrent sur l’étagère de livre en face de lui. Sans prendre le temps de lire quoique ce soit, il en prit un, l’ouvrit en plein milieu et faisait mine d’être méthodiquement absorbé par sa lecture quand tout d’un coup il entendit cette voix si familière qui semblait sans nul doute s’adresser à lui avec un glacial « Tu fais quoi ici ». John leva les yeux et son regard croisa les yeux noisette d’Arya Livingstone. Depuis des mois qu’il ne lui avait parlé, il lui semblait pourtant que leur dernière conversation remontait à quelques jours. John répondit le plus naturellement du monde.

    « Aux dernières nouvelles, nous sommes dans une librairie. Dans une librairie, on achète des livres. »
    « Depuis quand t’intéresses-tu à la lecture? Je peux voir? »
    « Je suis journaliste je te rappelle, bien sûr que je m’intéresse à la lecture. Faut bien que j’me cultive. »

    John faisait mine d’ignorer sa dernière question qui consistait à jeter un œil sur le livre que John lisait. De toute manière, il ne le pouvait pas car Arya attendait expressément qu’il lui remette en main le livre qu’il tenait dans les siennes. S’il s’agissait d’un jour « normal », il lui aurait tendu le livre qu’il lisait sans aucune hésitation car lors d’un jour « normal », il saurait ce qu’il était en train de lire. Or, il avait changé de livre quelques secondes avant qu’elle n’arrive vers lui et avait pris le premier bouquin qu’il avait en vue. Il n’avait eu le temps de lire que quelques lignes et il lui semblait avoir lu quelque chose du genre « Verna attendit que James plante ses crocs dans sa nuque blanchâtre afin qu’ils soient réunis à jamais » Bah oui, c’était un roman pour adolescentes pré-pubères qu’il avait pris, difficile d’être crédible avec ça. Mais quand on avait devant soit deux secondes pour agir, on n’avait pas vraiment le temps de se la couler douce tout en pensant « quel livre je vais choisir pour paraître le plus intelligent possible ». Avec une petite mine désinvolte, il rangea le livre qu’il avait encore dans les mains.

    « Bof, ça va pas t’intéresser, c’est pour … un article. »

    Quand l’excuse du boulot peut vous sauver la vie … Ou du moins vous faire gagner du temps. Il la regarda ensuite plus attentivement. Elle semblait étrangement … froide. Toute cette histoire entre eux avait dû la déstabiliser. En fait, il ne savait pas vraiment ce qu’elle pensait. Il était d’ailleurs inquiet à ce sujet. Mais ce n’était pas son devoir de faire en sorte qu’elle partage ses sentiments, alors il s’était tu. Peut-être dans l’espoir que tout cela soit oublié, même si cela risque d’être dur, voire impossible.

    « Ça fait un bail, hein … J’imagine que t’es pas ici pour adopter un dragon. »

    « Je m’présente, John Hemingway, je fais des blagues pas drôle quand je suis mal à l’aise »
    pourrait être parfait sur sa carte d’identité de sorcier. Il était certes un peu mal à l’aise, mais cela ne se voyait pas. Cela ne se voit que très rarement car avec le temps, John avait appris à cacher tout sentiment qui pourrait le désavantager, en tant qu’homme mais surtout en tant que gardien. John savait, ou plutôt il sentait, qu'Arya se doutait de quelque chose maintenant. A qui la faute ? Personne à part John, bien sûr. Jamais il ne se le pardonnerait s'il lui arrivait quelque chose tout simplement parce qu'elle sait la vérité sur son identité. Dans le cas des quatre sœurs de la prophétie, pour le moment, l'ignorance est ce qu'il y a de mieux. Il faut donc s'en tenir. Et John doit à tout prix rattraper les pots cassés.
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[PM] Further down the river ; Arya

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