VULNERA SAMENTO FERME SES PORTES ▲
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everything that kill me makes me feel alive (circée & thadeus)
ϟ this is the road to ruins, and we're starting at the end, say yes, let's be alone together.
Circée P. Whelan
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Message Posté Dim 10 Nov - 22:53.
dreaming about the things that we could be
lately I've been losing sleep


informations particulièrement pas importantes
ϟ dénomination courante des participants ▬ Thadeus Pritchard & Circee Whelan
ϟ  étiologie du statut subjectif ▬  privé.
ϟ  datation approximative du moment exact ▬ début du mois.
ϟ  cadran lunaire appréciable ▬ Vers 18 heures.
ϟ  météorologie sorcièrement acceptable ▬ Temps pluvieux.
ϟ  saison saisissante et palpitante ▬ saison 3
ϟ  intrigue globalement intriguante ▬  Prélude;
ϟ chatiment divin exigible ▬  Non.
Circée P. Whelan
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Message Posté Dim 10 Nov - 23:43.



can't help looking back
no sense oftime, want you to stay, won't keep you inside




« Thank God he's not coming home until friday.    »

La maison était dans un piteux état. Tout était sans dessus dessous. Les coussins avaient été retournés. Les tiroirs étaient tous ouverts, ainsi que les portes de placard. Les vêtements gisaient sur le sol avec les feuilles de parchemin et les bouteilles de potion. Même les cadres, qui trônaient encore sur les murs, étaient de travers. Plus rien n'était à sa place, parce que plus rien n'avait de place, et Circée ne savait plus où donner de la tête. Il pouvait être n'importe où. Au sous sol ou au dernier étage. Dans un tiroir ou dans une armoire. Dans la poche de son manteau ou dans sa trousse de toilette. Il pouvait être partout, mais il n'était nulle part, et elle commençait à perdre patience. Le bracelet auquel elle tenait le plus avait disparu, c'était apparemment un événement assez grave pour déclencher une véritable tempête. Figée, au milieu de sa chambre, au milieu du désordre et du chaos le plus total, elle essayait de trouver une solution. Depuis le début de sa grossesse, elle perdait la maîtrise de son esprit. Sa mémoire ne fonctionnait plus comme avant et sa logique semblait l'avoir abandonnée. Même si elle faisait tout son possible pour se concentrer et reprendre le dessus, elle sentait que rien n'était aussi facile qu'avant, et ça lui faisait peur. Chaque jour qui passait était un jour de moins qu'elle passait seule. Et bientôt, tout serait encore plus différent. Bientôt, elle aurait un enfant à élever et rien que d'y penser, son cœur manqua un battement. Elle avait toujours rêvé d'être mère. Elle s'était toujours imaginée avec une famille nombreuse. Mais au fil du temps, ses priorités avaient changé. Elle avait abandonné le rêve d'un foyer parfait pour l'accession à un pouvoir désiré. Ce qui autrefois était un rêve était devenu une source d'angoisse. Elle avait peur de ne pas être à la hauteur. Peur d'élever son enfant dans un monde qui n'avait pas d'avenir. Peur de son propre fiancé qui n'avait jamais été aussi imprévisible. Elle savait qu'il ne partageait pas ses envies. Elle savait qu'il n'y avait que le pouvoir qui comptait pour lui. Et elle savait qu'il n'arriverait jamais à aimer personne d'autre que lui. Parfois, elle hésitait à s'enfuir avant que tout n'explose. Parfois, elle voulait se sauver et ne plus jamais regarder en arrière. Mais elle savait que ça ne serait jamais aussi simple. Elle savait que si elle voulait se protéger et protéger son enfant, elle allait devoir faire preuve d'intelligence. Et fuir était stupide, parce qu'il la retrouverait toujours. Pourtant, c'était l'occasion rêvée pour le faire. Thadéus avait dû se rendre à Beauxbâtons pour garder un œil sur la politique française. C'était l'affaire de quelques jours, mais c'était assez important pour qu'il soit obligé d'y aller en personne. Comme à chaque fois, elle n'avait posé aucune question et s'était contentée de sourire, tout en se rappelant qu'il lui mentait forcément quelque part. Fatiguée, elle se laissa tomber sur le bord du lit et regarda autour d'elle. La maison était une parfaite représentation de son esprit. Tout était désordonné. Plus rien n'avait de sens. Et ce chaos empirait lorsque Thadéus n'était pas là. Malgré ses craintes, elle n'avait jamais été capable de vivre sans lui. Elle n'avait jamais été capable de le quitter, et elle ne serait probablement jamais capable de s'enfuir avant que tout ne parte en fumée. La vérité, c'est qu'elle l'aimait. Quoi qu'elle fasse, où qu'elle aille, elle se retrouverait toujours à la même place. Parfois, ça la rassurait. Parfois, ça la tuait. Elle se releva et se remit à chercher son bracelet. Puis elle entendit la porte d'entrée claquer. Pensant qu'il s'agissait simplement d'un elfe de maison, elle n'y prêta pas la moindre intention et ouvrit son tiroir d'un coup brusque, bien déterminer à trouver l'objet.


Thadéus P. Pritchard
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Message Posté Lun 11 Nov - 23:42.



« Angel, angel, what have I done ? I've faced the quakes, the wind, the fire, I've conquered country, crown, and throne. »

Je pensais que les rois et les reines ont toujours été plus fort que l'adversité. Que quoi qu'il arrive, ils se battaient pour leur pouvoir. Ils se battaient pour rester ceux qui avaient assez de force pour contrôler leur royaume. J'ai pensé que je pouvais régner tel un monarque sur une société en feu. Je pensais que je pouvais continuer à brûler les cœurs de ceux qui désiraient se battre. Je pensais qu'ils n'étaient que des pauvres fous, destinés à se lancer dans une mission qu'ils ne pourraient jamais finir. Je savais qu'ils n'auraient pas la force de devenir des assassins. Ils ne pourraient jamais se battre avec autant de finesse que je le faisais. Parce que je gagnerais à chaque fois. C'était comme ça, que ça avait été écrit. C'était comme ça que je restais celui assis sur un trône de glace. Celui qui ne possédait pas de cœur. Parce qu'il vivait dans la haine, et parce qu'il vivait dans l'illusion que tout pouvait changer. Parce que j'étais cet homme. J'étais celui qui était sûr que rien ne pouvait le détruire. Je m'étais construit une armée et un royaume intouchable. J'étais rentré dans l'illusion que ce serait eux qui vivraient dans le cauchemar. Je les haïssais parce qu'ils refusaient de reconnaître qu'ils n'avaient aucune chance. Aucun espoir. Ils n'étaient que des minuscules grains de poussière venus se dessiner sur un plan que j'avais prévu depuis des années. Et personne ne pourrait me renverser. Parce que quel que soit le scénario, quel que soit les pertes, je gagnerais. Alors je continuais à gagner. Et rien ne changeait. Parce que je resterais à ma place jusqu'à la fin. Tandis qu'ils finiront par perdre la flamme qui les anime. Je savais qu'une guerre approchait. Et je savais que j'avais la force pour les retenir. Pour les empêcher de penser qu'ils avaient tout les pouvoirs. J'avais le sceptre et la couronne. J'avais le trône et j'avais les disciples. J'avais tout ce dont j'avais besoin pour devenir plus grand que n'importe qui d'autres. Et personne ne me battrait à mon propre jeu. Personne n'a jamais réussi. Et personne n'y arrivera jamais.

Sauf qu'il y a toujours cette faiblesse, ce minuscule pion qui renverse toujours les plans et les prévisions. Cette personne qu'on ne peut ignorer. Cette personne à laquelle on a donné une importance trop grande, parce qu'aujourd'hui elle nous pousse vers le bas. Elle nous pousse à oublier le pouvoir et la cruauté des autres. Elle nous pousse à voir de nouvelles possibilités. Elle nous pousse à imaginer tout ce qui n'était pas clair auparavant. Et on a beau essayer d'oublier cette attache, elle est toujours trop forte, toujours trop présente. Et on ne peut pas l'oublier, on ne peut pas l'ignorer. J'étais à Beauxbâtons, pour une visite, tandis que j'ai reçu une lettre de menace concernant Circée. Et elle était là, ma faiblesse. Celle que je ne pouvais pas ignorer. Celle qui se glissait dans mes veines et qui les rendait plus vivantes. Celle qui forçait le château de sable à s'effondrer. Un empire que j'ai passé des années à perfectionner. Et un empire que j'abandonnais parfois pour son bien-être. Parce que c'était la seule chose qui m'empêchait de devenir fou de pouvoir. La seule chose qui me rappelait d'être juste quand je devenais un tyran. La seule chose qui arrivait parfois à maîtriser tout ce que je faisais. J'ai ouvert la porte du manoir brusquement, et tout ce que je voyais c'était les tiroirs ouverts. Les affaires jetées sur le sol. Les tableaux penchés. Tout ce que je voyais c'était un scénario trop cruel pour être vrai. Parce que je voyais déjà le monde dans un immense brasier. Et j'étais capable de le faire. Capable de créer un monstre bien plus grand qu'il ne l'était déjà. « Circée ? » J'ai poussé les grandes portes ouvrant vers le salon. Et il n'y avait toujours personne. J'ai monté les grands escaliers couvert d'un tapis couleur rouge. Je mentais presque sur tout, à chaque fois. Je créais des mensonges auxquels je finissais par croire parce qu'ils étaient tout ce que j'avais. Parce qu'être un tyran, c'était tout ce que je pouvais croire. C'était tout ce qui a toujours été logique. Palpable. Tout ce qui était réel. Tout ce qui était écrit sur le marbre. « Circée ? » Je l'ai appelée encore une fois, avant de me diriger vers notre chambre. Et je l'ai vu en train d'ouvrir un tiroir. Sans le vouloir, j'ai soupiré de soulagement. Et ça n'était jamais censé arriver. J'aurai dû apprendre à oublier la logique. J'aurai dû apprendre à devenir ce que l'on attendait de moi depuis le départ. Un bourreau. « Circée. » J'ai traversé la pièce en quelques pas avant de la prendre dans mes bras. C'était dans ces rares moments où elle me tuait. Ces rares moments où je comprenais qu'elle me menait à cette perte si vertigineuse que j'en étais terrifié. « Thanks god you are alive. » J'ai laissé ma main caresser ses cheveux. Comme si c'était réel. Comme si tout notre empire fait de ronces et de sang pouvait durer. Comme si tout ce que l'on construisait était encore capable de tenir pour l'éternité. « I received an anonymous threat, about you. I came back as soon as I could. » Après plusieurs secondes, je me suis séparé d'elle avant de déposer une main sur sa joue. J'observais tout le dégât que je créais. J'observais la seule personne qui comptait encore, et je voyais à quel point je la détruisais, à quel point je la poussais vers un puits sans fond, sans pouvoir arrêter sa chute. J'ai déposé une main sur son ventre comme pour la rassurer. Et je l'ai embrassé. Parce que j'avais eu peur. Et parce que ça a toujours été elle. Ça a toujours été à cause d'elle que je ressentais cette peur de tout perdre. Parce que je lui en voulais peut-être moins que je ne m'en voulais à moi. J'ai laissé le moment durer plus longtemps qu'à l'ordinaire parce que je savais que tout serait bientôt perdu. Parce que je savais qu'on se jetait dans un monde où rien n'aurait de sens. Parce que je savais que tout ce qu'on pouvait encore sentir, c'était à quel point la victoire totale serait amère. Parce qu'elle nous a peut-être déjà trop coûtée. Mais je n'ai jamais su m'arrêter. Et au fond, elle n'a jamais su le faire non plus. Parce qu'on est tous affaiblis face au pouvoir. Face à la crainte de perdre le contrôle. Alors on laisse ses lèvres plusieurs secondes de trop. On colle son front sur le sien comme si ça pouvait la sauver de la tempête. Comme si ça pouvait l'empêcher de se brûler sous la force du brasier. « For a moment I thought I lost you. » Même si on sait qu'on ne pourra jamais le faire. Parce qu'il est déjà trop tard pour reculer.
Circée P. Whelan
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Message Posté Sam 7 Déc - 23:05.




say something
I'm giving up on you




« Circée. » Ses sourcils se sont froncés lorsqu'elle a entendu sa voix. Il n'était pas censé être là. Il était censé être en France, en train de gérer les affaires de la République. Il était censé monter au sommet, lui indiquer si la vue était meilleure. Sa présence l'inquiéta. Thadéus n'était pas le genre de personne à qui on manquait. Il était celui qui utilisait les autres dans un sourire, dans des beaux discours. Il n'était pas le genre de personne à écourter son voyage. Et à le faire sans prévenir. Alors, lorsqu'elle s'est retournée pour le voir, elle a imaginé tous les scenarios possibles. Elle se demandait s'ils avaient perdu la France comme si ça aurait été une mauvaise chose. Elle se demandait si la situation avait dégénéré comme si ça aurait changé quelque chose. Elle était si déterminée à trouver ce qui clochait dans le tableau qu'il lui offrait qu'elle n'avait pas remarqué le ton qu'il avait employé. Elle eut à peine le temps d'entrevoir son visage qu'il la prenait déjà dans ses bras. Elle le serra contre elle, en posant sa tête sur son épaule. Ils avaient choisi d'oublier leurs sentiments. Ils avaient choisi d'écouter leur raison, parce que c'était la seule façon de gagner. Mais elle n'avait jamais pu échapper à tout ce qu'elle ressentait pour lui. C'est pour ça qu'elle a esquissé un sourire qu'il ne verrait jamais. « Thanks god you are alive. »  Blottie contre lui, elle sentait sa main dans ses cheveux, elle sentait son souffle se perdre dans son cou, elle sentait l'inquiétude, le soulagement. Elle sentait la peur. Il n'agissait pas comme d'habitude. Quelque chose n'allait pas. Quelque chose de grave. Elle attendait, en silence, le moment où la sentence tomberait. Parce qu'il y en avait toujours une, et qu'elle était toujours plus grande. C'était come s'ils portaient un fardeau trop lourd, et qu'on leur rappelait tous les jours qu'ils croulaient sous les promesses et les rêves sans comprendre que tout était déjà rouillé. Sans comprendre que leurs discours ne sauveraient jamais toutes les choses qu'ils avaient perdu en cours de route. Ils avaient réussi à s'en persuader, cependant. Ils avaient réussi à se convaincre qu'ils pourraient gagner, parce que personne ne veut être le héros d'une tragédie. On veut la gloire, on veut les lauriers, mais on ne veut pas la rançon. On ne veut pas de la colère des dieux. On se persuade qu'on vole jusqu'à ce qu'on touche le sol.  « I received an anonymous threat, about you. I came back as soon as I could. » Il s'est séparé d'elle et, juste comme ça, son monde s'est effondré. Circée n'était pas naïve, elle savait que personne n'était invincible. Elle savait que le pouvoir attirait les convoitises. Elle savait que les hommes étaient naturellement portés à détruire tout ce qu'ils touchaient. Mais elle avait toujours cru, peut-être pour se rassurer, que tant qu'il serait là, rien ne pouvait l'atteindre. Parce qu'il avait toujours été plus fort que les autres, plus fort qu'elle. Elle avait peur. Elle était terrifiée à l'idée de se retrouver en danger. Il avait pris la peine de se déplacer pour des menaces. Des mots sur un parchemin. Ca devait être assez sérieux pour qu'elle se retrouve paralysée par la peur. C'était comme si elle avait le vertige. Quand on monte aussi haut, il est dur de descendre aussi vite. Elle voulait se persuader que tout irait bien, mais elle n'en avait pas la force. Elle n'avait plus la force de se battre contre l'évidence.  Parce qu'à présent, elle n'était plus seule. Elle avait un enfant à protéger. Elle a posé sa main sur celle qui était sur son ventre. Elle a répondu à son baiser avec autant de courage qu'elle le pouvait. Quelque part, c'était comme une promesse, qu'il lui faisait. Un jour, il lui avait promis de lui prouver qu'elle pouvait lui faire confiance. Elle savait que, généralement, lorsque les hommes disaient de telles choses, c'étaient qu'ils s'apprêtaient à dire le plus beau des mensonges. Peut-être que cette fois-ci, il le pensait.  « For a moment I thought I lost you. » Son front contre le sien, elle avait gardé les yeux baissés. Elle essayait encore de comprendre ce qui leur arrivait. Elle voulait savoir si tout était déjà perdu, ou s'ils devaient continuer à se battre. Elle voulait qu'il lui dise si la fêlure allait les briser ou les ressouder. Elle voulait des évidences, mais elle n'avait que des suppositions. Elle n'avait jamais été très douée lorsqu'il s'agissait de faire confiance aux autres. Elle savait que les hommes ne montraient que ce qu'ils voulaient qu'on voit. Elle savait aussi que Thadéus était un expert dans cet art là, celui de montrer et de cacher. Mais lorsqu'elle releva les yeux vers les siens, c'était comme s'il avait oublié de cacher ce qu'il était. Comme s'il avait abandonné son masque, mais pour la première fois, il n'en avait pas revêtu de nouveau. Elle savait mieux que personne combien ces moments étaient rares. Elle savait que c'était à ça qu'elle devait s'accrocher, à la part d'humanité qui resterait toujours derrière ses yeux trop bleus. Elle déposa un baiser sur ses lèvres. Elle recula. « Thank you. For coming back for me. I know how much this meeting meant to you.  » Pour eux, l'amour n'était pas censé être pertinent. C'était un dommage collatéral, quelque chose qui n'avait pas d'importance. Parce que tout ce qui comptait c'était le pouvoir, n'est-ce pas ? Sauf qu'ils avaient été pris à leur propre jeu et que le pouvoir était devenu insuffisant. Ca remettait en cause leurs calculs, ou du moins, les siens. Alors elle baissa les yeux, un instant. Elle essayait de canaliser la peur, de contrôler l'angoisse. Elle essayait de prendre de l'avance sur le temps et de faire durer ces secondes où tout semblait aller encore un peu. Elle releva les yeux vers lui, parce qu'elle n'y arriverait pas toute seule. « Should I be worried ? Because I am. I'm scared.  »


Thadéus P. Pritchard
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Message Posté Sam 14 Déc - 15:10.


« If there's any other way, I'll do anything for you. »

Tous les grands héros ont créés d'encore plus grandes tragédies. Tous les monstres se sont un jour retrouvés à la place du bon, tout comme du mauvais. La vie est une série de choix que l'on se force à faire, avant de se retrouver dans la tombe. On a peur de ce que l'on peut faire, alors qu'il suffit de devenir celui qui maîtrise le jeu. Il suffit de devenir le monstre et le héros. Il suffit d'associer les plus dangereuses qualités pour devenir un parfait tyran. Pour devenir celui qui sera capable de faire les choix suffisants. Il n'y avait pas de grands sentiments, il n'y avait pas de cœur, ni d'explication. Il n'y avait que la destinée. Celle qui a été prévu pour nous. C'était comme si personne ne pouvait s'en débarrasser. Tout ce que l'on a à faire, c'est naître. Devenir le plus grand homme de l'Europe. Créer un empire dont personne ne peut se défaire. Créer des victimes et des tueurs. Et oublier que tous le sang se trouve sur vos mains. C'était ce que je faisais tous les jours. Je prétendais être celui qui était destiné à renverser toute une nation. Parce que c'est ce que j'étais destiné à faire. Parce qu'après tout, c'était la seule chose dont j'étais devenu capable. C'était le seul moyen de se protéger contre la violence de chaque acte, de se sauver de la perte et de la souffrance. On s'accroche à nos propres promesses, et on oublie de prier pour un dieu qui n'a jamais su écouter. Et c'est ce qu'on continue à faire, en espérant être assez fort pour se battre éternellement. Pour admettre que l'on sera toujours seuls. Et parfois, pendant quelques instants, on retrouve cette humanité qu'on pensait disparue à jamais. On retrouve la personne qu'on aurait peut-être pu être si le destin n'en avait pas décidé autrement. Si nos choix étaient différents. Et malheureusement pour nous, on se bat sans bonne raison. Sans aucune capacité de se rattraper. Sans aucune capacité d'oublier qu'il faut toujours avoir peur pour rester humain. Je n'avais jamais peur. Sauf pour elle. Parce que c'était l'humanité qui me restait. Parce que c'était la seule qui me sauvait de ma propre noirceur. De l'obscurité dans laquelle se trouvait ce qui restait de mon âme. Je n'étais plus un homme. J'étais un tueur. Un assassin sans conscience. Je commençais une vengeance qui n'avait aucun sens. Je tuais tous ceux qui se dressaient contre moi, parce que ma rage m'y obligeait.

Elle a déposé un baiser sur mes lèvres. Et peut-être que si on avait pu se sauver l'un l'autre, on aurait pu changer de vie. On aurait pu disparaître de l'enfer pour essayer de retourner au paradis. Mais il n'y avait pas de rédemption. Pas pour moi. Mais peut-être pour elle. Sauf que j'étais incapable de la sauver. Même si au fond je l'aurai voulu. « Thank you. For coming back for me. I know how much this meeting meant to you. » Elle me remerciait parce que pour une fois, j'avais fait la chose à faire. Parce que je l'avais placé devant tout le reste. Parce que j'avais arrêté de mentir. Parce que j'avais oublié mon rôle. Parce que j'enlevais mon masque. Comme si je me rappelais de qui j'étais au fond. Comme si je me rappelais de l'homme que j'aurai pu devenir si rien de tout ça n'était déjà joué à l'avance. Je pensais tout contrôler mais je n'étais qu'un spectateur de plus, en train d'observer ma propre déchéance, parce que c'était la manière dont j'allais tomber. À cause d'elle. Et au fond, grâce à elle. « Should I be worried ? Because I am. I'm scared. » Elle avait peur d'un monstre que j'avais créé. Elle avait peur d'une histoire dont je n'avais pas la fin. Une histoire que je ne pouvais pas arrêter. La machine était lancé. Et rien n'était là pour l'arrêter. Rien à part moi. Et j'imaginais souvent que c'était suffisant. Parce que j'étais Thadéus Pritchard. Parce que je contrôlais le tout. Et parce qu'elle était la seule qui continuait à y croire. Même quand je continuais à la détruire à cause de tous les mots que je n'ai pas su dire. Toutes les promesses que je n'ai pas su tenir. « I could not stay there, knowing that you were in danger here. » J'ai déposé ma main sur sa joue, en espérant que ça serait suffisant. En espérant garder mon humanité encore un peu plus longtemps. Sans remettre le masque. En l'oubliant un peu. En prétendant qu'il n'existait plus. Même si je savais qu'un jour ou l'autre, je serais obligé de la laisser partir pour la protéger de moi-même. « Do not be worried, I will take care of it. Whoever this is, he will pay for what he did. » J'étais en colère contre tout ce que je ne pouvais pas stopper. J'étais en colère parce qu'elle ne méritait pas de tomber avec moi. Elle méritait de s'en sortir. « I am sorry this is happening to you. You do not deserve that. » C'est comme ça que je perdais. En la laissant choisir. Mais je ne pouvais pas m'empêcher de l'aimer. « And nothing bad is going to happen to you. I promise. »
Circée P. Whelan
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Message Posté Mer 1 Jan - 15:00.



home is where your heart is set
and stone is where you'll go


Les promesses, qu'elles soient prononcées ou écrites, viennent toujours avec un élan de confiance. Et le problème, c'était qu'elle avait appris à ne jamais accorder sa confiance. Elle connaissait trop bien les risques que ça impliquait. Et lui, il l'avait déjà trahie une fois. Il l'avait déjà tuée une fois et elle ne pourrait jamais l'oublier, quand bien même elle le voulait. Ce genre de blessure coupe trop profondément. Elle détruit trop brusquement. On peut essayer de s'en remettre, mais dès qu'on les touche, de près ou de loin, elles recommencent à saigner. On se promet qu'on va pardonner, parce que c'est la meilleure chose à faire, mais c'est surtout la plus dure. Le plus difficile des obstacles qu'on doit surmonter. Oublier, et pardonner. « I could not stay there, knowing that you were in danger here. » Il a déposé sa main sur sa joue, et, en regardant dans ses yeux, elle pouvait voir qu'il était sincère. Alors, elle continuait à se noyer dans ses océans. Elle se laissait ensevelir par tout ce qu'il était. Elle en avait marre de se battre. Elle en avait marre d'être en colère. Ca la fatiguait. Elle ne voulait plus être une déesse vengeresse qui triomphait dans la colère la plus sanguinaire. Elle ne voulait plus le regarder et ressentir de la déception. Elle ne voulait plus en faire un ennemi. Mais c'est toujours dur de renoncer à sa propre fierté. C'est toujours dur de sacrifier sa dignité pour quelqu'un. De donner sa confiance tout en sachant qu'il y a un grand risque pour qu'on ne s'en remette pas.  « Do not be worried, I will take care of it. Whoever this is, he will pay for what he did. » Elle le regardait, et elle le croyait. Elle le regardait, et il n'était plus un monstre. Plus tout à fait. Il était l'humain qui se cachait derrière les masques qu'il brandissait au reste du monde. Peut-être que lui aussi, il en avait marre de se battre. Peut-être qu'il se rendait, pour elle. C'est là qu'elle comprit que la confiance marchait dans les deux sens. C'est là qu'elle comprit qu'il lui avait accordé la sienne depuis trop longtemps. C'est là qu'elle comprit qu'elle avait plus de pouvoir qu'elle le croyait. Et quelque part ça la rassura.  « I am sorry this is happening to you. You do not deserve that. »     Alors elle fit la chose qui était la plus difficile à faire. Elle fit la chose qu'elle s'était promise de ne jamais refaire. Elle décida de lui pardonner. Elle décida d'oublier. Et à ce moment-là, ça n'avait pas l'air d'être une erreur. Ca n'avait pas l'air d'être quelque chose qu'elle pourrait regretter. Bien entendu, ils étaient trop fiers pour se dire  ce qu'ils pensaient. Il était trop fier pour lui dire qu'il l'aimait, et elle était trop fière pour lui dire qu'elle lui pardonnait. Mais ça n'avait pas d'importance. Un jour, ils pourraient se dire tout ce qu'ils s'étaient avoués en silence. Un jour, ils pourraient tenir leurs promesses jusqu'au bout.  « And nothing bad is going to happen to you. I promise. » Elle lui a accordé un sourire, parce que pour la première fois depuis longtemps, elle lui faisait confiance, et c'était beaucoup plus reposant que d'essayer de comprendre ce qu'il cachait derrière ses demi-vérités. Pour la première fois, elle pensait qu'ils pourraient avoir un avenir. Un avenir plus glorieux et triomphal que le présent qu'ils étaient forcés de vivre. Parfois, elle aurait aimé accélérer le temps pour arriver directement au moment où ils gagnaient.

On dit que c'est ses choix qui définissent une personne. Le chemin qu'elle prendra, les conséquences qu'elle devra affronter. C'est en faisant des choix qu'on avance sur la bonne ou sur la mauvaise route. Mais en réalité, ce n'est pas tant les choix que la nature de notre engagement à leur égard qui définit ce qu'on est. Quand on choisit de pardonner, de faire confiance, on ne peut jamais vraiment revenir en arrière. Elle le savait. Autrefois, ça lui aurait fait peur. Autrefois, elle aurait imaginé toutes les stratégies pour surmonter l'éventualité de la douleur. Mais aujourd'hui, elle n'en avait pas la force. Et c'était peut-être ça, le pouvoir de l'absolution. C'était plus qu'une promesse, plus qu'un serment, c'était un véritable sacrifice, et cette fois-ci, elle pensait que ça valait le coup.  Alors elle rapprocha son visage du sien. « Really ? Not even for turning this house upside down ?  » Puis elle l'embrassa. Furtivement. Comme si ses lèvres brûlaient trop pour qu'elle s'y attarde. Elle lui accorda un regard complice. Une chance de s'en sortir.  « I believe you, thank you.   » Puis elle se retourna. Elle lança quelques sorts qui arrangèrent un peu la pièce avant de s'asseoir sur son lit. Toute cette histoire l'avait fatiguée. « So, how was France ? Did you bring me a gift, by any chance ?  »




Thadéus P. Pritchard
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Je suis le ministre et je vous zut
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Message Posté Mer 1 Jan - 23:09.
You could be happy and I won't know.


J'aurai voulu l'empêcher de réaliser que j'étais un monstre. J'aurai voulu l'empêcher de réaliser que j'allais la détruire. J'aurai voulu lui montrer que la cruauté des hommes était peut-être trop grande. Qu'il y avait toujours un cauchemar à réaliser. J'aurai voulu la prévenir de tout ce qu'elle risquait, de tout ce qu'elle allait endurer. J'aurai voulu la prévenir de tout ce qu'elle risquait de subir. Et parfois, les souhaits que l'on fait sont trop difficiles à accepter. On voudrait soulager les blessures, arranger toutes les choses que l'on ne peut pas avoir. On voudrait modifier le temps. Et oublier que tout ce qu'on a pu faire. On voudrait changer les choses et imaginer que tout est possible, imaginer que l'éternité est là pour nous, même si c'est pour trop peu de temps. On préfère construire des statuts à notre noms, inventer des excuses auxquelles on ne croit pas réellement. On préfère changer les choses plutôt que d'avancer vers un monde qui se désespère et qui se cache. J'ai toujours pensé que j'étais le héros. Parce que c'était la seule personne que j'ai toujours pu être, la seule personne qui comptait réellement. Parce que quoi qu'il arrive, je continuais à inventer des mensonges que personne ne parvenait à croire, je continuais à changer d'histoire, à modifier toute la logique. Je continuais à être quelqu'un qui ne savait plus avancer. Je continuais à changer le cours du temps, comme si c'était une nouvelle chance de changer le destin. Comme si après tout, je devais apprendre à abandonner. Comme si je devais apprendre à devenir un héros qui serait toujours seul, qui ne pourrait pas réellement s'en sortir. Comme si j'avais plus la possibilité de faire les bons choix. Comme si je devais toujours prendre les mauvaises décisions, et finir par perdre. Comme si les miracles n'étaient que des inventions. Des choses dont on ne pouvait se soucier. Comme s'il n'y avait pas de retour en arrière possible. « Really ? Not even for turning this house upside down ? » J'ai regardé ailleurs, et j'ai ignoré tout ce que je ne pouvais pas comprendre, tout ce que je ne pouvais pas saisir. J'ai ignoré qu'on étaient déjà bannis. Qu'il n'y aurait jamais de solutions, ou de moyens de changer les choses. J'ai ignoré tous les cauchemars qui nous menaçaient déjà. « I believe you, thank you. » C'était ça le soucis, quand on croyait trop. Quand on voyait trop d'espoir là où il n'y avait que des chimères inventées par le destin. « So, how was France ? Did you bring me a gift, by any chance ? »

J'ai souri, tout en posant mes mains dans le creux de ses reins. Le soucis, quand on dirige tout un empire, c'est qu'on oublie parfois qu'on finira toujours par devenir un tyran. Un chef trop grand. Un homme qui décide d'en vouloir trop. Le soucis, quand on dirige tout un empire, c'est que parfois on doit apprendre à abandonner des choses qui semblent logiques. On se soumet au destin, et on finit par apprendre qu'il est toujours trop cruel, trop difficile à supporter. On se soumet au destin et il ne reste rien que des souvenirs, quand on s'en rend bien compte. On se soumet à la peur, et tout est déjà trop faible, tout n'est qu'une illusion en devenir. « Talking about the house, why is it turned upside down ? » Au fond de moi, j'aurai voulu échapper au destin. Au fond de moi, j'aurai voulu être capable de devenir un homme meilleur, parce qu'elle méritait plus. Au fond de moi, j'étais peut-être quelqu'un d'autre, quelqu'un qu'elle ne pourrait jamais réellement connaître. Quelqu'un qui était déjà parti trop loin pour être rattrapé. « As a matter of fact, I did bring you a gift. » Je me suis éloigné, et j'ai utilisé ma baguette pour amener des paquets pour elle. Des vêtements, des bijoux, et de la nourriture. Parce qu'aujourd'hui, tout ce que je pouvais lui offrir serait toujours bien trop peu face à tout ce qu'elle serait obligé de subir, face à tout ce qu'elle devra supporter dans trop peu de temps. « I hope you'll like it. » Je voyais les choses qui se perdaient au loin. Je voyais les miracles que l'on ne comprenait toujours pas. Je voyais tous les mots que l'on ne pourrait jamais dire, ceux qu'elle ne serait jamais capable d'entendre. J'entendais la peur se détruire, j'entendais les peurs hurler que rien ne serait assez, et que tout serait bien trop. J'entendais de vivre sans réellement savoir pourquoi. Sans réellement réaliser que c'était pas pour moi, ce genre de simplicité. J'étais destiné à la grandeur, tout comme j'étais destiné à subir toutes ses conséquences, celles que personne n'aurait jamais pu imaginer, et celles que l'on ne pourrait jamais arranger. « Are you both okay ? »
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