VULNERA SAMENTO FERME SES PORTES ▲
Merci à tous pour avoir pris part à cette formidable aventure.

en savoir plus
Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

Frères de sang ou Frères de mort ♦ AVEC ARCTURUS
ϟ this is the road to ruins, and we're starting at the end, say yes, let's be alone together.
Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



Frères de sang ou Frères de mort ♦ AVEC ARCTURUS  Empty
Message Posté Mer 6 Juil - 17:43.
Frères de sang ou Frères de mort ♦ AVEC ARCTURUS  Tumblr_lmle96HEzK1qzvhq4o1_500

CHAPITRE I : La Splendeur d'une renaissance.
L'eau ruisselait contre les murs froids de sa cellule à Azkaban. Joseph Blackstone, le corps droit comme un i, regardait à travers la minuscule fenêtre de sa cage. Le soleil se couchait et demain, il pourrait fêter ses dix années de captivités, mais ici ce n'était pas les bulles du champagne qui pouvait nous accompagner. Ce n'était que de la simple eau. Le poing de l'homme serra fortement l'un des barreau de sa fenêtre. Dix foutues années de perdues, il lui en restait cinq maintenant, plus que cinq ans et bientôt il pourrait reprendre ses activités, s'amuser de nouveau et surtout se venger. Arcturus son cher demi-frère qu'il avait piégé avec son autre demi-frère, le jumeau d'Arcturus, il était sorti. Erandor mort, la vérité se devait d'être rétablie. Joseph n'avait encore jamais rencontré cet idiot, mais bientôt ses souhaits se réaliseront et il pourrait avoir le père et le rejeton. Ensuite, il aurait la fortune des Blackstone, rien que pour lui. Après tout, il l'a mérité. Lui-même était un Blackstone, il ne voyait pas pourquoi, il n'aurait pas sa part du butin. Si sa mère était encore en vie, Joseph n'hésiterait pas à cracher sa gloire à la figure de cette catin, il l'avait déjà fait par le passé et il se pourrait même que sa propre haine avait causé la mort de sa génitrice. Pourtant, il s'en moquait, la catin morte, il n'avait plus à se soucier d'une quelconque famille. Quand il sortirait de cette cage, il fera très attention de ne pas recroiser un jour sa femme ou encore sa fille, le pire serait son frère, lui avec sa bonne parole, il lui donnait envie de vomir.
Pourtant autrefois, Joseph les avait aimé, chéri et protégé, mais son autre lui, le gentil employer du Ministère était mort, il avait bien pris garde à se faire haïr, ainsi plus personne ne voudrait de lui. C'était mieux ainsi, comme ça, il les protégeait tous de son âme malfaisante.

« Blackstone, t'es libéré, le dirlo t'attend dans son bureau. »

Le regard clair de Joseph percuta celui du gardien. Pourquoi sortait-il donc ? Dans quelques minutes, il apprendrait que c'était pour bonne conduite, on avait donc épongé sa peine et Joseph Blackstone retrouva sa liberté quelques heures plus tard. Enfin. Il allait enfin pouvoir reprendre sa vie. C'est en jetant un regard plein de vengeance à la grande forteresse, qu'il quitta la prison d'Azkaban, comme son demi-frère l'avait fait, un an plus tôt.

*

Un mois. Il s'en était passé des choses pendant ce laps de temps. Joseph Blackstone se trouvait en ce moment même dans les rues de Londres. Un sourire narquois plantait sur les lèvres, il marchait, vêtue très élégamment, d'une chemise blanche et d'un jean noir. L'homme avait abandonné l'habitude de se vêtir en sorcier, après tout on le reconnaîtrait moins ainsi et il avait bien moins de chance de croiser un membre de sa famille. C'est avec un pas de conquérant que l'homme entra dans le Chaudron Baveur, une auberge dont il connaissait les moindres recoins pour l'avoir fréquenté avant son incarcération. Son visage devait être oublié depuis dix ans. En effet, le barman ne l'avait pas reconnu, pourtant il avait de nombreuses fois étaient jeté dehors en compagnie d'Erandor. Il entra donc, sans saluer les autres personnes se trouvant dans le bar, puis il se dirigea vers l'arrière cour. Joseph sortît sa baguette, celle dont il avait été privé pendant si longtemps, quelle bonheur, cela avait été de la retrouver. Il tapota plusieurs fois sur les briques du mur, puis le passage s'ouvrît à lui. En cette soirée, le Chemin de Traverse était plutôt calme, on y retrouvait que quelques hommes et femmes qui devaient sûrement se rendre à deux rendez-vous. L'ancien prisonnier continua son chemin et quand il vît deux belles brunes adossaient contre un mur, il n'hésita pas une fois et c'est avec un sourire ravageur, qu'il s'approcha de ces demoiselles. La conversation dura peu de temps et comme il s'en doutait, les deux belles créatures étaient tout de suite sous son charme, il les emmena donc avec lui dans un bar du Chemin de Traverse. Ce lieu n'existait pas avant son incarcération et c'est avec joie qu'il passait ses soirées de débauche en compagnie de ses anciens collaborateurs. Ces derniers se trouvaient déjà sur une banquette, le champagne coulait déjà à flot. Joseph se tourna vers les deux jeunes femmes et il leur susurra.

« Mesdemoiselles, que la fête commence. » dit-il en les entraînant avec lui.
« Ahah Joseph tu ne perds décidément pas ton temps. » remarqua un homme en costume noir, que l'ancien taulard traitait avec beaucoup d'hypocrisie.
« Je ne perds jamais mon temps Artie après tout, j'ai dix longues années à rattraper. »

Sans prévenir, il embrassa fougueusement l'une des jeunes femmes, non sans la tripoter au passage, puis il s'installa sur l'une des banquettes, une femme se trouvant à chacun de ses côtés. Joseph Blackstone attrapa une coupe de champagne et la vida d'un trait. La fête commença ainsi, dans le champagne et en parlant affaire, les filles à ses côtés s'ennuyaient, mais Joseph n'était pas prêt de les laisser tranquille, cette nuit, elles étaient à lui et à lui seule. Il semblerait que ses collaborateurs l'avaient compris, puisqu'ils se débrouillèrent pour ramener leurs propres conquêtes. Si le bâtard Blackstone se trouvait ici, c'est bien à cause de ce cher Artie, cet homme travaillant au Ministère était sa clé de survie, il avait déjà commencé à lui soustraire de l'argent, soit disant pour l'investir dans une prodigieuse affaire. Artie était naïf et Joseph un grand manipulateur, le petit agneau n'avait donc pas fait long feu en compagnie du grand méchant loup. Bientôt Artie serait à point et Joseph pourrait le dévorer. Pour mieux préparer sa proie, Joseph appela une jolie blonde de sa connaissance et il lui demanda de s'occuper gentiment du pigeon. Comme la fille lui devait une faveur, elle accepta tout de suite le marché, mais ce qui finît par la convaincre c'est les quelques Gallions que l'ancien taulard lui glissa. Le brun se mît à sourire, les catins marchaient toujours que par l'argent et si celle-ci était bien gentille avec ce cher Artie, il pourrait bientôt avoir ce qu'il voulait.
Le champagne fût remplacé par le Whisky Pur Feu et Joseph s'était totalement désintéressé des autres, maintenant ce qui l'intéressait, c'était l'alcool et les deux belles créatures à ses côtés. Pourtant, sa petite soirée allait bientôt être gâchée et rien que pour cela Joseph sera prêt à riposter.


Dernière édition par Joseph P. Blackstone le Dim 31 Juil - 23:34, édité 1 fois
Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



Frères de sang ou Frères de mort ♦ AVEC ARCTURUS  Empty
Message Posté Mer 6 Juil - 21:49.

L'air s'engouffra dans mon manteau virevoltant et je sentis mes poumons se vider d'oxygène. Je renversais ma tête en arrière pour essayer de respirer, mais rien n'y fit. J'étais comme coincé dans un tunnel lumineux. Je ne pouvais plus bouger ou faire quoique ce soit. Heureusement que cette sensation ne dura que quelques secondes. L'effet s'arrêta net et mes pieds touchèrent violemment le sol crasseux de la rue. Je titubais un moment et m'appuyais sur le mur d'une maison pour reprendre tous mes sens. Ceci fait, je remis en place mon manteau léger et ma baguette. Voilà... j'avais tout d'un homme respectable.

Je me trouvais en face du Chaudron Baveur et plusieurs sorciers y entraient déjà pour boire un petit verre ou manger quelque chose avant de rentrer chez eux ou, pour certains, de partir travailler. Heureusement que je n'étais pas de garde au Ministère la nuit ! Quel boulot épuisant avec l'Organisation et tout le tralala. Mais j'aimais beaucoup ce métier, car je me rendais utile à la population, quelle soit sorcière et moldue. En sorte, j'essayais d'aider les gens et ça me plait. Bref, je ne pouvais pas me plaindre ce soir. Je rentrais dans la taverne et je regardais, en passant, les sorciers à table. Je reconnus un ancien ami que j'avais vu depuis mon relâchement et qui m'avais assez soutenu. Je lui accordais un mouvement de tête et lui souhaita tout haut le bonjour. Puis, je détournais la tête vers les ivrognes abonnés au Chaudron Baveur. Je soupirais... cela me rappelait que trop de souvenir et d'histoires...

Mon frère jumeau, Erandor, m'a escroqué il y a 19 ans. Je m'en souviens encore et la scène restera graver dans ma mémoire. Jamais je ne l’oublierai. A Azkaban, je m'y accrochais sans cesse lorsque tout me paraissait affreux et injustes. Je m'imaginais en train de me venger. Pourquoi mon propre frère m'a-t-il fait cela, à moi ? Je n'en ai aucune idée. Je ne sais pas si quelqu'un l'a entrainé dans un piège ou s'il a agit par lui-même. En tout cas, il est mort depuis un ans. Cette nouvelle a été le début de ma liberté, car le Ministère m'a relâché. Il avait trouvé leur criminel et s'était rendu compte de la duperie d'Erandor. Cependant, j'aurais bien voulu le juger de mes propres mains, le voir se consumer sous mon regard, l'entendre vendre son pardon. Le pardon pour ce qu'il avait endurer à mon fils et ma défunte femme, pour ce qu'il m'avait fait et ce qui m'arrive aujourd'hui. Maintenant, mon fils croit en un père ivrogne et mort. C'est tout ce qu'il me reste à présent : mon fils, Alexander.

Je continuais d'avancer vers le mur de briques, plongé dans mes funèbres pensées. Puis, je dus m'activer, car il se faisait tard et je voulais rentrer chez moi le plus vite possible. Mon appartement se trouvais dans le Chemin de Traverse, en face d'un bar. D'ailleurs, je songeais aller y faire une petite exécution rien que pour me détendre un peu. Je longeais l'avenue et arrivais devant le pub aux vitres floutées. Je pouvais entendre des rires, des gloussements et des exclamations de part où je me trouvais. La lumière jaune qui se filtrait des fenêtres me parvenait et m'embaumait d'une chaleur. C'était un endroit très convivial. Pourquoi ne pas profiter de ce qu'on a ?

Je me décidais donc à entrer. Je poussais lentement la porte de bois afin de paraitre discret. Je n'aime pas lorsque je me fais remarquer. Le bruit et la lumière tourbillonnèrent autour de moi. Je me sentais comme transporter par la musique et les rires gais. Je souriais inconsciemment et mis une main dans mes cheveux. Je me sentais si bien que je ne regardais même pas les gens du bar. J'allais vers un serveur et lui demandais un verre d'hydromel. Puis, je m'asseyais tranquillement sur une grande chaise et m'accoudais au buffet. Je repassais une main dans mes cheveux noirs et, en attendant ma boisson, j'osais enfin fixer mes voisins. Rien d'étonnant... à part un homme qui semblait très absorber par deux jeunes créatures de la nuit. Pffff... si c'était pas malheureux. Je détestais voir des filles se vendre comme ça.
Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



Frères de sang ou Frères de mort ♦ AVEC ARCTURUS  Empty
Message Posté Ven 8 Juil - 22:31.
Frères de sang ou Frères de mort ♦ AVEC ARCTURUS  Tumblr_lmle96HEzK1qzvhq4o1_500

CHAPITRE II : Accroches toi petit agneau, dans mes filets.

« Alors Artie, tu t'amuses bien ? » dit-il avec un sourire sarcastique aux lèvres.

Joseph Blackstone porta son verre de Whisky Pur Feu, tout en regardant la catin blonde s'occuper avec joie de ce cher Artie. Sa nouvelle victime était à point et bientôt, elle pourra faire tout ce qu'il désire. Ce que Joseph savait, c'était que ce pigeon d'Artie était marié à une très belle femme, mais cette épouse était aussi la personne qui possédait la fortune de cet homme. Quel malheur cela serait, si cette pauvre épouse apprenait que son mari la trompait avec une vulgaire catin ! Joseph avait bien l'intention d'utiliser ce précieux moyen de pression, si Artie venait à se montrer récalcitrant. L'homme qui semblait être dans un autre univers, lui répondit : «  Je me sens même très bien Joseph, toi au moins tu sais t'amuser. » Fortement éméché, il retourna à sa campagne de la nuit, cette dernière faisait sa tâche sans rechigner, après tout, elle était bien payée et Artie n'était pas monsieur tout le monde.
Joseph Blackstone était heureux de ses petites mises en scène, même si à Azkaban, il avait recourt à de sombres manipulations, ces dernières n'avaient rien à voir avec celles qu'ils pouvaient faire maintenant, mais elles lui avaient permises de ne pas perdre la main. Les autres hommes qui étaient présents à sa table étaient tous occupés eux aussi avec des créatures de la nuit. La roue commençait à tourner et l'ancien taulard commençait à sortir de sa déchéance. Bientôt, il allait pouvoir de nouveau briller, peut-être pas au Ministère, mais ici sur le Chemin de Traverse ou l'Allée des Embrumes en arnaquant les plus grosses têtes de ce pays.
Cette scène lui rappelait, celle qu'il avait vécu plusieurs années plus tôt, il se trouvait dans sa cellule et un homme avait rejoint la cellule voisine de sienne. Cette personne avait été condamné pour tentative de cambriolage à Gringott. Un fou, comme l'avait pensé Joseph, mais le bâtard des Blackstone avait tout de suite trouvé utile la présence de cet homme à ses côtés. Lors des heures de sorties, Joseph avait commencé à lui parler, ce manège avait duré quelques semaines. Juste après, le fou s'était mis à s'attaquer à d'autres prisonniers, pour le plus grand divertissement de Joseph. Ce qui c'était passé, c'est que le fils Blackstone avait manipulé le fou en le montant contre tout le monde et en lui disant que tous les autres prisonniers voulaient sa mort. On emmenant le fou en isolement et Joseph ne le revît plus jamais. Ce qui n'était pas pour lui déplaire.
Il avait toujours été ainsi, cruel, manipulateur, sauf peut-être quand il épousa Hélène, sa douce femme, celle qu'il avait abandonné pour la protéger de lui-même. Que ferait-elle si elle le voyait ainsi ? Elle en serait sûrement malheureuse. Même si Joseph aimait toujours cette femme, il espérait que pendant ses dix années de prison, elle était passée à autre chose. La faire souffrir, n'avait jamais été ce qu'il voulait. En fait, il n'aurait peut-être jamais du se marier avec elle. Maintenant il était trop tard, il avait une femme et une fille quelque part et l'ancien prisonnier n'avait pas l'intention de les retrouver un jour.
Alors qu'il s'occupait depuis quelques minutes de ses deux compagnes, Joseph vît un homme près du bar, une silhouette qui lui disait vaguement quelque chose et un visage très familier. Ce visage ne pouvait qu'appartenir à son demi-frère, non pas Henry et sûrement pas Erandor puisqu'il était mort, mais a Arcturus, le frère qu'il n'avait encore jamais vu, celui qu'il avait envoyé pendant dix-huit années en prison. C'est avec curiosité que Joseph regarda son frère, celui-ci semblait avoir récupéré depuis sa sortie de prison. L'ancien taulard se demandait bien quelle tête son frère avait bien pu faire, quand, on lui a annoncé qu'il pouvait enfin sortir de prison. Que cela a du être difficile pour lui de découvrir que sa femme était morte et son fils si loin. Intérieurement, Joseph ricanait. Il aimait voir avec un plaisir cruel la déchéance et les malheurs de son frère. De plus, dès qu'il le pourrait, le brun était près à accentuer ses malheurs et peut-être même que ça allait commencé ce soir. « Hey Blackstone, tu rêvasses ? ». Ca c'était son voisin de droite qui venait de le sortir de ses sombres pensées. A l'entente de ce nom, Arcturus se retourna de suite et les deux frères ennemis se contemplèrent. Joseph ne lâcha pas le regard, le soutenant même et le provoquant. Les yeux dans les yeux, les deux frères se tuèrent du regard. Liés par le sang, mais non par l'âme, ils étaient le jour et la nuit. Joseph détestait son frère pour sa naïveté et sa gentillesse, il le détestait aussi pour avoir eut un père et non lui. Il le haïssait pour sa naissance heureuse et sa richesse, alors que lui, il avait vécu dans un sordide appartement en compagnie de son autre frère et de sa catin de mère. Les yeux bleus de Joseph fusillèrent son frère, puis soudain avec beaucoup de provocation, il leva son verre vers son frère, ce qui signifiait pour lui « A ta santé cher frère » et il le porta à ses lèvres avec un sourire provocateur aux lèvres.


Dernière édition par Joseph P. Blackstone le Dim 31 Juil - 23:38, édité 1 fois
Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



Frères de sang ou Frères de mort ♦ AVEC ARCTURUS  Empty
Message Posté Dim 17 Juil - 19:27.

Un café aurait été la bienvenue, mais je ne savais pas si les sorciers en étaient consommateurs. Après tout, les moldus avaient découvert ce breuvage si intense. J'en avais aimé le goût, ou plutôt l'effet que cela produisait en moi. Je le buvais le soir ou l'après-midi, ainsi la nuit que je passais était plutôt agité. Je n'arrivais pas à dormir tranquillement, donc je travaillais encore plus. Le café est sans doute la potion la plus efficace pour ne pas s'endormir. J'en étais baba lorsque j'ai goûté à ce truc.
Je regardais l'étagère pour espérer y apercevoir le nom de la boisson. Je parcourais du regard chaque bouteille. Aucun résultat. Mince. Bon, qu'allais-je prendre pour remplacer mon tonique quotidien ? Du whisky pur-feu ? Oui... pourquoi pas. L'alcool n'était pas mon fort, car je devenais sobre assez rapidement, si je puis le dire. Je n'en avais jamais bu en grande quantité, même après mon relâchement (car, enfin, j'étais libre de faire ce que je voulais et je voulais profiter de la vie). Peut-être que cela me rappelais mon frère, Erandor. Il avait du en boire des bouteille, lui. Des litres et des litres, car il avait tué et je savais qu'il n'était pas né tueur. Il avait du oublier les morts dans l'alcool. Ce que je ne comprenais pas, c'est comment Erandor avait-il pu faire tant de choses malles. Comment avait-il pu détruire ma vie ? La mienne ! Enfin, j'étais son frère quoi ! Cette histoire était incompréhensible. Je savais qu'il manquait quelque chose au puzzle. Mon frère n'avait pas été seul. Ce Joseph Blackstone avait du l'entrainer dans ses chaînes. Ce demi-frère que je n'avais jamais connu. J'en étais sûr. Il avait un rapport avec Erandor.

- Un Whisky pur-feu s'il vous plait.

Le serveur me sourit bizarrement, comme s'il voulait me montrer qu'il comprenait ma décision. Je fis les gros yeux. Non, je n'avais aucun problème. Je regardais à nouveau le bar pour m'assurer si je ne m'étais pas trompé d'adresse. Je vis pour la deuxième fois le mec avec les deux filles. Je haussais les yeux au ciel. Le serveur s'inventait vraiment une vie. Je détournais le regard à la scène. J'étais assez gêné de ce qu'il se passait sous mes yeux, mais je ne pouvais rien y faire. Je remerciais le serveur qui m'apportais à boire et portais à mes lèvres le Whisky. Je pris une gorgée.

- Hey Blackstone, tu rêvasses ?

Je me retournais vivement, du whisky dans ma bouche. Je faillis m'étrangler et en cracher sur le sol. Je rêvais le gars avec une fille venait de m'appeler. J'avalais rapidement ma boisson en bouche et je toussais, car j'avais avaler de travers. Je déposais sur le bar mon verre et regardais l'inconnu qui avait mentionné nom. Bizarrement, le gars ne me fixait pas. Ses yeux était rivé sur l'homme aux deux filles qui, lui, ne me quittait pas des yeux. Je crus rêvé. Je ne savais plus quoi dire. J'étais dans un bar avec LUI, le demi-frère qui m'inquiétait. Les yeux dans les yeux, je ne pouvais me défaire de ce regard. J'étais noyé dans ses iris. Ils semblaient briller de cruauté, de malice et de danger. Alors, c'était lui ? Soudain, je me rendis compte que cela ne m'inquiétait pas, que ça ne m'impressionnait, ni me surprenait. Il faut dire que je l'avais imaginer tellement de fois dans ma tête que ce regard malicieux ne me fit pas tressaillir. Je m'y attendais en quelque sorte.

Mes pensées divergèrent lorsque Joseph me salua de sa coupe avec un sourire ravageur. Il avait de la classe, du caractère, je ne pouvais le nier. Je revenais à la réalité. Je fronçais les sourcils et durcissait mon regard. Le calme avant la tempête. J'étais parfaitement d'accord avec cette citation de je-ne-sais-pas-qui. Je me levais doucement, pris mon verre et rejoignit la table où mon demi-frère demeurait. Je regardais son entourage. Il n'y avait plus de place pour moi. Ma main serrait mon verre tellement la colère et le dégoût montait en moi. L'adrénaline faisait le nécessaire. Je me tournais vers les filles de Joseph.

- Vous. Allez-vous-en. J'ai quelque chose à régler avec Blackstone.

Elles ne bougeaient pas. Je commençais à perdre patience. Ce n'était pas deux créatures de la nuit qui allaient m'écarter de mon désir le plus cher. Je n'avais pas moisis 18 ans à Azkaban pour m'énerver avec ça.

- J'ai dis : dégagez.

Je ne cillais pas, car je savais que je devais jouer le cinéma sinon je ne serais pas convaincant. Après tout, si elles étaient intelligentes, elles auraient fait le rapprochement entre son Joseph et moi de part notre physique et nos réactions.
Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



Frères de sang ou Frères de mort ♦ AVEC ARCTURUS  Empty
Message Posté Mar 19 Juil - 23:30.
Frères de sang ou Frères de mort ♦ AVEC ARCTURUS  Tumblr_lmle96HEzK1qzvhq4o1_500

CHAPITRE III : Quand le loup appâte sa proie.
Le liquide chaud du Whisky Pur Feu lui traversa tout le corps, lui donnant ainsi une chaleur dévastatrice. Même si Joseph paraissait calme, la haine qui portait à son frère, était grande, beaucoup trop grande pour qu'il n'agisse pas. Pourtant, il le sentait bientôt il aurait sa vengeance. Si dix-huit années de prison n'avaient pas suffit à son cher demi-frère, ce dernier allait enfin gouter à la vraie nature de Joseph Blackstone. Maintenant que son frangin était là, il devait s'occuper d'Artie vite fait bien fait. Il l'appela alors que la belle blonde bécotée, l'autre idiot et lui présenta un document, que le pigeon devait signer. Sous les effluves du plaisir et de l'alcool, Artie ne comprît rien et signa, le bâtard Blackstone lui reprît le document et lui demanda son stylo. Joseph signa le papier et un sourire machiavélique apparût sur ses lèvres, ce cher Artie était maintenant à sa merci. Oubliant les convenances, Blackstone ne rendît pas le stylo et il le rangea dans l'une de ses poches.
Joseph était un homme rusé et il calculait toujours tout à l'avance. Très vite, il avait compris qu'on pouvait tout obtenir d'un homme, si ce dernier avait une femme auprès de lui, bonne à écarter les cuisses. Avec les femmes, on pouvait manipuler, ruiner et briser un homme. Cette règle était la seule chose qu'il avait compris en vivant auprès de sa mère, cette catin en avait manipulé des hommes, mais Joseph, son propre fils avait été beaucoup plus fort, rabaissant cette femme plus bas que terre et la conduisant prématurément à la mort. Pour elle, Joseph n'avait été qu'une source d'argent, un moyen de faire pression, mais ce qu'elle n'avait pas compris, c'était que son fils allait devenir sa propre Faucheuse.
« Vous. Allez-vous-en. J'ai quelque chose à régler avec Blackstone. » Grr le frangin savait donc grogner et bien, il n'était peut-être pas si inutile pour les Auror. Joseph envoya à son cher frère un sourire sarcastique tout en ancrant son regard dans le sien.

« Mais dis donc, ce n'est pas poli cher frère de chasser ainsi mes invitées, si tu veux l'une de ses créatures, il te suffit de le demander, elles seront ravies de s'occuper de toi, n'est-ce pas les filles ? » dit-il en éclatant de rire.

Les deux créatures de la nuit éclatèrent de rire et se serrèrent bien plus contre le charismatique Joseph Blackstone. Ce dernier d'ailleurs vida à nouveau son verre de Whisky, il en remplît un autre et avec un sort, il fît léviter le verre, vers son frère.

« Bois, je suis sûr que ça te déridera. Dix-huit ans de prison, cela ne t'a pas réussi on dirait. » dit Joseph, en le provoquant à nouveau.

Arcturus sembla perdre patience et Joseph en était heureux, Une nouvelle fois, il demanda aux créatures de partir et Joseph leurs murmura quelque chose à l'oreille, qui les fît ricaner et les deux femmes quittèrent la table. Le plus jeune des Blackstone se tourna alors vers ses autres invités et il leur demanda poliment de partir, tout en souhaitant au passage une très bonne nuit à Artie.
Joseph ne considérait pas sa soirée comme perdue. Son frère, il ne restera pas bien longtemps à ses côtés et bientôt il pourrait retourner et ses deux compagnes de soirée, pour goûter aux plaisirs de la luxure.
Blackstone attendît que ses invités quittent le café, avant de faire signe à son frère de venir s'installer en face de lui. Autant se comporter en gentleman, après tout, Joseph n'avait vraiment pas envie de retourner en prison pour une simple bagarre de café. Il avait encore tellement de choses à faire et même si il se savait surveillé par Arcturus et bientôt par son autre frère Henry, il accomplirait ses choses.

« Je me rends compte vraiment maintenant, que cela a été très facile de te faire passer pour Erandor, vous vous ressembliez tellement, mais pas de caractère... Dommage qu'il ait passé l'arme à gauche, on ne s'ennuyait pas avec lui : commença Joseph tout en fixant son regard sur le liquide ambré de son verre. Que fais-tu là Arcturus ? Tu viens régler tes comptes avec moi ? Tu sais très bien que tu ne pourras jamais prouver la vérité, c'est Erandor l'usurpateur, pas moi. »

Il envoya un sourire goguenard à son frère et il posa son verre sur la table, il avait bien assez bu pour ce soir et la nuit risquerait d'être longue, il se devait d'être en forme.
Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



Frères de sang ou Frères de mort ♦ AVEC ARCTURUS  Empty
Message Posté Mer 20 Juil - 22:28.

J'avais trop chaud dans ce manteau, mais tant pis. Je ne devais en aucun cas me laisser trahir. Ma proie était là, devant moi, bien réelle. Oui, je n'avais qu'à sortir ma baguette et... tout serait fini. Ma vengeance assouvie, je m'en retournerais chez moi, me préparant à la rencontre avec Alexander, mon fils que je n'avais encore jamais vu. Pourquoi avais-je été séparé de lui ? He bien, tout simplement par la faute de l'homme qui se tenait sur une chaise en face de moi et qui goûtait goulument aux plaisirs de la vie. Il devait bien être dérangé dans sa tête pour avoir exécuter une telle chose. Je le regardais pour apercevoir une trace de folie chez ce demi-frère. Son sourire sarcastique et malicieux qui me fixait encore, se plongeait encore dans mes yeux bruns, en fut pour ma part une démonstration. Il était fou, c'était indéniable. On ne pouvait pas le ramener à la raison, personne ne le pouvait.

Je ne cassais pas le lien créé entre nos yeux. Je continuais de la fixer, froid et dégoûté de faire face à un meurtrier, un fouteur de merde toujours en liberté. Je crus que mes yeux allaient se révulser tellement je me concentrais sur tous ces mouvements. Car Joseph était prêt à tout, je le savais. Il était dangereux. A la vue des filles accrochés à lui, la haine m'envahit, car j'avais pensé à ma femme. L'avait-il donner à Erandor pour la traiter ainsi, pareillement à ces deux créatures ? J'essayais d'abandonner ces images de mon cerveau pour ne pas éclater... en sanglot ou de colère. En fait, je ne savais pas trop ce que je ressentais tellement toutes les émotions étaient mélangées. J'avais à l'égard de Joseph un concentré d'émotion. C'était bizarre, car je ne l'avais ressenti qu'une fois : lorsqu'on m'avait tout expliqué à la sortie de prison.

J'avais dit aux filles de dégager, mais Blackstone avait décidé de s'en mêlé. C'est dire à quel point les femmes lui avaient manqués. Je me demandais alors s'il avait une épouse, une famille. Je repoussais cette idée qui me semblait totalement absurde. Comment cet homme pouvait aimer quelqu'un. Non, il n'aimait personne. Il n'avait pas de coeur, sinon il ne m'aurait pas fait, à moi et à mon fils. La colère coula de plus belle dans mes veines. Je la sentais se réunir dans chaque partie de mon corps. Elle affluait plus rapidement que je n'aurais pu l'imaginer.

Joseph se mit à me taquiner, mais en plus méchamment. Tous rirent en éclat, mais moi, je restais de marbre. Je continuais de la fixer comme si j'allais le tuer de mes propres mains. Je m'imaginais le contact de la peau de son cou sur mes mains et l'effet de les serrer bien fort autour de cette nuque. Je divaguais. Il ne fallait pas y penser, car sinon je ne pourrais plus voir mon fils à Azkaban et mon rêve serait à nouveau détruit. Je laissais tomber ce désir qui me torturait l'esprit. A chaque réplique de Joseph, je serrais les points de plus en plus forts. Au bout d'un moment, mes doigts craquèrent tellement la pression était gigantesque. Je décidais de ne pas faire attention aux commentaires désobligeants de ce demi-frère. Puis, il congédia ses comparses ailleurs. Ses questions piquèrent mon attention.

- Que fais-tu là Arcturus ? Tu viens régler tes comptes avec moi ? Tu sais très bien que tu ne pourras jamais prouver la vérité, c'est Erandor l'usurpateur, pas moi.

Quelles questions ! Mais, ne comprenait-il vraiment pas la gravité de ses crimes ? Ne comprenait-il pas ce qui me poussait en ce moment à aller le voir ? J'étais satisfait de la mort d'Erandor. Il ne restait plus que lui... Je pris le verre proposé qui se balançait dans l'air. Je le mis à hauteur des yeux pour savourer du regard la substance. Puis, je reposais le verre sur la table de bois et l'expédiait loin devant moi. Le verre s'arrêta au bord du précipice qui l'attendait. Je me tournais vers Joseph. Je n'aimais pas l'idée de s'assoir avec lui. Mais, bon, je m'asseyais, ainsi soit-il. Je n'arrêtais pas de le dévisager, car, enfin, je découvrais cet homme.

- On va dire que je suis ici par pur hasard. Si, si... je te l'assure. Malheureusement, tu étais déjà là. C'est fou. A la seconde même où je t'ai vu, j'ai compris. Tu ne sais pas ce que je ressens, tu ne sais pas ce que je vis par ta faute. J'aimerais tant que ceci t'arrive un jour... si seulement tu savais ce que j'ai enduré. Alors, oui. Je viens régler des comptes... personnellement. Je me fiche que la brigade me croit ou pas. Tu n'as donc pas compris. Avant, je t'aurais trainer en justice. Aujourd'hui, j'ai compris que justice n'existait pas, ou presque pas. Je dois me venger seul.

Je souris de dégoût. Et j'ajoutais en chuchotant :

- Mais je ne peux pas te tuer. Et je ne compte pas me faire tuer ce soir, ni aucun autre jour. Je crois que je vais laisser les choses se faire. Sinon, qu'en sera-t-il encore de mon fils si je suis enfermé à Azkaban ? Rien. A la première occasion, je te ferais souffrir, tu peux me croire sur parole.

Je me retenais pour ne pas dégainer ma baguette. J'étais si prêt de lui. Mais, pas question de salir mon honneur d'Auror. Je me devais d'être respectable en public, à ma grande tristesse.

Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



Frères de sang ou Frères de mort ♦ AVEC ARCTURUS  Empty
Message Posté Jeu 21 Juil - 0:26.
Frères de sang ou Frères de mort ♦ AVEC ARCTURUS  Tumblr_lmle96HEzK1qzvhq4o1_500

CHAPITRE IV : TicTac TicTac, le sablier s'écoule déjà.
Une lueur assassine passa dans le regard de Joseph Blackstone, cette lueur était déchirante et si en ce moment même, Arcturus Blackstone aurait croisé le regard de son frère, il aurait compris que la menace qu'il représentait, n'était pas moindre. Derrière son apparence de gentleman décontracté, se cachait un monstre, un monstre de chair et de sang, qui en un clin d’œil pouvait tout détruire sur son passage. On ne se méfiait jamais assez de Joseph Blackstone, dommage, puisque le pot cassé ne pouvait plus être réparé après son passage. Cet homme n'était qu'un fou furieux une fois que la tornade dévastatrice s’emparait de lui. Il pouvait tuer sans ciller ou encore devenir honteux de son geste. Joseph Blackstone n'avait pas honte, tout comme il n'avait pas eu honte d'abandonner sa famille. Rien ne pourrait le dévier de la voie qu'il s'était tracé et personne ne pourrait l'empêcher de continuer ce chemin.

Arcturus Blackstone paraissait calme, mais Joseph comprît tout de suite à travers les gestes et les mots que son cher frère avait attendu depuis très longtemps cette confrontation. Lui-même, il avait attendu patiemment. Pendant de nombreuses années il avait attendu, pour parfaire sa vengeance. Il n'avait pu briser son père et bien il s'attaquerait à ses fils et leur descendance. Pour Erandor, même si il avait été un fidèle compagnon de route, Joseph avait été heureux de le détourner du droit chemin. Oh qu'il avait rît en imaginant le vieux Blackstone découvrir dans sa tombe la déchéance de son fils. Le vieux avait engendré un monstre, lui qui aurait pu être un père parfait pour Joseph, il l'avait laissé dans les bras d'une catin, préférant lui donner de l'argent au lieu de s'occuper de ce fils bâtard. Aujourd'hui, le vieux pouvait enfin voir de l'au-delà, ce qu'il avait pu faire de ce fils, en le reniant, sa descendance récoltait la haine de l'enfant non désiré. Joseph le savait, bientôt il se débarrasserait enfin d'Arcturus, il ne savait pas encore quand, ni comment, mais bientôt il le ferait et après il ne lui restera plus qu'une seule victime, le fils d'Arcturus : Alexander. Oh non, il ne tuerait pas le môme, le jeu serait bien moins amusant, il ferait juste en sorte de lui pourrir sa maudite existence en lui rappelant chaque jour son bon souvenir. Peut-être que dans le meilleur des cas, il pourrait pousser le môme à la folie. Oh oui, quelle plaisante vengeance, cela serait. Intérieurement, Joseph exultait de sa haine, mais extérieurement, il paraissait être l'homme le plus calme du monde. On ne pouvait même pas dire qu'il se trouvait en présence de son frère ennemi.
Hasard, ainsi donc, le destin avait choisi de placer ce soir les deux frères, face à face. Que le destin semblait être bon pour Joseph, la chance était avec lui, à moins que cela soit des forces machiavéliques, qui poussaient la vengeance de l'homme à s'accomplir au plus vite. Oh non, Joseph était le seul maître de sa destinée et il avait bien décidé que ce soir, ce n'était pas l'heure de son frère. Ce soir, il irait s’enivrer en compagnie de deux charmantes prostituées et il se laisserait bercer dans les bras de la luxure.

« Quel joyeux hasard alors ! Mais dis moi Arcturus, ne crois-tu pas que j'ai connu moi-même ton sort, rappelles toi que j'ai passé dix années derrière les barreaux. Mais ce n'est qu'un détail, comparaît à toi, la prison a été une expérience des plus enrichissantes pour moi, dit Joseph mystérieusement, son ton paraissait inquiétant, mais avant que son frère ne reprenne la parole, il continua. Pauvre petit Arcturus, qui n'a pu avoir la justice avec lui, la justice est pourrie jusqu'à la moelle, il est si facile de la berner. Mais dis moi Arcturus, je me demandais, qu'est-ce que cela fait d'imaginer son propre frère, dans le lit de sa femme ? »

La cruauté de Joseph n'était pas sans pareille et sa provocation sans limite. Tout ce qu'il désirait, c'était, toucher son frère, là où il fallait et là où ça pouvait faire mal. Pauvre Arcturus, lui qui n'avait pas pu récupérer sa pauvre petite femme avant de pouvoir revenir à la liberté. Joseph, lui savait que sa douce Hélène était toujours dehors, mais il ne voulait pas la voir, tout ce qu'il voulait, c'était qu'elle l'oublie et qu'elle ne le revoit jamais. Joseph était mauvais, mauvais pour lui-même et son entourage. Aucune vie de famille ne lui était possible maintenant.

« Ton fils, tu penses encore à ton marmot, mais Arcturus, il ne te connait pas, c'est Erandor qui a été son père. Peut-être que tu pourras reprendre un jour ton rôle, qui sait, mais saches que je suis heureux de voir toutes les années que tu as perdu. Oh oui j'exulte cher Arcturus et tu ne peux pas savoir à quel point. Tu crois pouvoir me faire souffrir ? Vas y mon frère, je suis là, à ta merci, pourtant, je suis beaucoup plus fort que toi, jamais tu ne pourras m'atteindre. Jamais. Ranges ta vengeance et profites de ta minable existence. »

Joseph Blackstone se trouvait toujours dans un calme olympien, ses yeux fixaient au loin, il ne semblait pas s'intéresser à son frère, mais il en était tout autre. Arcturus était en ce moment même son seul sujet de préoccupation et cela le resterait jusqu'à ce que l'un d'eux périssent et pour cela l'homme en était sûr, ce n'était pas lui qui tomberait le premier.
Anonymous
Invité
this is the wizzarding world of
Invité
informations



Frères de sang ou Frères de mort ♦ AVEC ARCTURUS  Empty
Message Posté Sam 17 Sep - 12:42.
J'archive et je te mets les points Joseph (préviens pour la fin des RP la prochaine fois)
Contenu sponsorisé
this is the wizzarding world of
informations



Frères de sang ou Frères de mort ♦ AVEC ARCTURUS  Empty
Message Posté .

Frères de sang ou Frères de mort ♦ AVEC ARCTURUS

T H E R E . I S . N O T H I N G . L I K E . L O N D O N :: Season one :: RPS

Sujets similaires

-
» Quand retrouvailles riment avec la mort du retrouvé. [Joseph, Arcturus & Alex]
» ♣ Panique au Ministère ; Arcturus & William
» Priez pour nous pauvre pécheurs, aujourd'hui et à l'heure de notre mort, amen.
» espèce de scrout mouillé (défi avec Matvei)
» [PM] Kill the target (avec Vera, RP dans le passé)

Réponse rapide

pour répondre plus vite que le vent, t'as vu !

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Sauter vers: