Charline &Hope
Quoi de plus important que la famille?

Cher dieu…
Merci de prendre soin de ma cousine Charline,
Vous savez, elle ne sait pas vraiment ce qu'elle fait... Elle est jeune et elle n'a pas eu beaucoup de chance en sa jeunesse. Veillez encore un peu sur elle et donnait moi la force de l'aider.
Merci pour cette immense joie de nos retrouvailles, et pardonnez moi de mes emportements.


Plus une minute à moi... Je ne savais plus ou donner de la tête, c’était infernal ! Euh... Non voyons, c’était... Très agité comme vie, pleine de surprise et de rebondissement en tout genre. En parlant de rebondissement, je recevais ce matin une lettre de ma cousine Charline me signalant sa visite ici, à Londres. Je souriais bêtement devant la lettre... Ah Charline... Ma chère cousine russe, un pays terrible. Le froid la bas, comment pouvait-elle y vivre ? Supporter ce froid ? Elle avait bien raison de venir par ici ! Se réchauffer un peu, cela faisait bien un an que je n’avais pas vu ma cousine et j’étais bien contente d’avoir enfin l’occasion de la revoir, peut-être avait ‘elle changé, je douté qu’elle soit à nouveau brune, mais elle devait avoir bien grandie ! J’avais hâte de voir l’évolution de ma cousine bien que nous nous sommes envoyer de nombreuses lettres ce n’était pas pareil que le contact humain ! Je me préparé pour notre rencontre à quatorze heures après avoir passé la mâtiné au bureau, puis je sortirais prendre mon déjeuné en compagnie du futur marié pour gouter le menu et se mettre d’accord, quand tout à coup je me souvenais que je devais accompagner la future mariée chez tissard et brodette pour l’essayage de plusieurs robes de mariées que j’avais sélectionné pour elle. Le magasin était fermé en ce jour, mais j’avais pu obtenir les clés pour l’essayage, j’envoyais une lettre avec précipitation réservant un peu de café dessus par maladresse, je poussais un juron puis levais les yeux au ciel avant d’envoyer cette lettre.

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URGENT
TO CHARLINE WILDE

Charline,

Rejoins moi à 14h chez Tissard & Brodette,
J’avais complètement oublié mon rendez-vous pour sélectionner une robe de mariée, je t’y attendrais avec une petite surprise.

A tout à l’heure
Hope.

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Finalement le futur époux et moi même, option pour de petit toast de caviar russe, une entrée sobre de légume frais et de la noix de saint jacques, en plat principal un Magret de Canard avec de la sauce aux Cèpes et en désert, une délicieuse et traditionnelle pièce monté accompagner de nougat glacé sur coulis de fraises. Nous débâtions longtemps sur les champagnes et les vins blancs pour se mettre d’accord sur un champagne français et un vin blanc allemand, sans oublier le vin rouge château Margaux. Il me laissait seule régler les affaires avec le traiteur… Il était treize heure et demi quand je sortais enfin de là, je transplannais rapidement, puis j’entrais dans la boutique après avoir déposé un ceinte empaqueté derrière les robes de mariée, je soupirais en m’affalant dans un canapé, épuisé… Je n’arrêtais jamais, pas une pause… Comme si mon travail me dévorait là vie, c’était un peu ça… Plus le temps de sortir, de consacré une après midi rien qu’a ma cousine, je m’en voulais tellement mais ce n’était pas totalement de ma faute j’avais travaillé dur pour en être là ou j’en étais… J’aimais mon travail, je n’avais pas le temps à consacrer aux hommes, je le savais, déjà que j’avais toujours eu du mal… Appart m’occuper des mariages des autres je n’étais bonne à rien… Mais mon bonheur n’était pas le sujet du jour, j’avais entendu dire que ma cousine sortait avec ce grand joueur de Quidditch, quelle belle prise ! J’étais fière d’elle, il avait tout à fait l’air d’un jeune homme respectable c’était tout ce que je souhaité pour elle, évidement ce n’était pas le même style que ce jeune Tristan, mais j’étais heureuse qu’elle se remette de cette histoire, très heureuse pour lui, dieu lui avait donné la grâce d’avancer, il lui avait donné la force, j’étais si heureuse, merci. Mais je n’eus pas le temps de me laisser aller à mes pensées bien longtemps, la jeune femme venait d’arriver, je lui faisais essayer sa première robe sans tarder : une robe blanche sirène au décolleté en forme de V. Alors qu’elle entrait dans la cabine d’essayage j’apercevais la silhouette de ma cousine s’approcher vers moi, j’ouvrai la porte avec un large sourire, ouvrant grand mes bras pour la réceptionner la joie dans le regard… Que c’était bon de la retrouver… Ma petite Charline, tu m’avais tellement manqué…

-Charline ! Je suis si heureuse de te voir ! Tu es… Mais…

Je prenais le visage de la jeune russe entre mes mains pour la planter devant moi, sa peau était pâle comme un linge, le contraste avec la mienne était immense, on n’aurait jamais pu songer que nos soyons de la même famille… Je lui souriais toujours, fixant son visage sur lequel régnait un sourire affecté, j’arquais les sourcils l’observant d’un air suspicieux

-Tu as l’air bien pensive pour une fille qui prends des vacances à Londres et qui est en couple avec un jeune homme célèbre… Et ne me dit pas que non : les yeux sont les fenêtres de l’âme. Racontes moi tout. Et ne me dit pas qu’il ta plaqué ou je vais l’étriper.

Oui, étriper. J’en étais bien capable de mes mains délicates quand il s’agissait de la famille et des gens que j’aime, Charline le savait, elle se mit à sourire, je lui tapotais la joue avec un sourire amusé, j’étais toujours rayonnante de joie alors que je n’en avais aucune raison, mais je ne me sentais jamais triste, non, chaque jour était une bénédiction et je respirais encore, je n’allais pas gâcher le moindre souffle que le ciel me donnait…

Londres, enfin. Mais ce n’était pas des vacances, elle était ici dans un but précis. Mais bon, elle ne pouvait être ici sans voir sa cousine et son oncle, c’est pour qu’elle informa cette dernière de son arriver. A cet instant précis, elle buvait un thé dans la cuisine d’Icario. Se reposant un peu tout en répondant à la lettre d’Adrian. C’était la merde tout ça quand même. Mais elle souriait tout de même, la vie est belle en dépit de ses rêves brisées et des épreuves. Pourtant Charline n’avait pas spécialement la foi. A vrai dire, rien en ce bat monde ne lui avait donné envie de croire en autre chose que ce qu’elle voyait. Elle n’avait pas fait de miracle ni rien… Jésus n’avait pas sauvé Tristan et ne l’aidait pas à ouvrir le cœur fermé d’Adrian. Elle passa une main molle dans ses cheveux, non, le pseudo Seigneur ne l’avait jamais aidé, ce qu’elle accomplissait, elle ne le devait qu’à elle. Pourtant Hope avait la foi… Elle respectait son choix, elle la comprenait, après tout on est libre non ? Mais parfois elle ne savait pas ce qui poussait la jeune femme à croire en quelque chose d’aussi fantasque… Elle savait qu’elle devait sans nul doute prier quotidiennement pour elle, ça touchait Charline, mais de toute évidence les prières d’Hope devaient se perdre quelque part entre ciel et terre.
Elle confia la lettre à son hibou, et traina ses pied jusqu’à la chambre qu’elle partageait avec son petit ami. Icario, il était si gentil avec elle, tellement adorable, un véritable amour. Pourtant… non, elle ne devait plus penser, seulement agir, le présent… pas de passer ni d’avenir, que le présent. Mais comment mettre son cerveau en mode off quand on en a un hyper actif ? Rah stop, tant pis si elle ne pouvait pas s’empêcher de penser, elle pouvait toujours faire du trie et ne pas par exemple s’attarder sur Adrian, sur les mecs quoi en gros.
Un hibou express entra alors qu’elle admirait ses fringues. Ok, Hope lui donnait rendez-vous… dans une boutique de robe de marié. Galère… Bon elle pourrait toujours bavé sur les superbes tenues… Elle savait que le rêve de sa cousine était d’organiser son mariage… mais Charline ne voulait pas se marier… Comment se marier de toute manière alors que le seul homme que vous voulez vous rejette, que de toute manière vous savez que dans une robes de mariée vous aurez l’air conne comme un balais. Pourtant, pendant un instant, elle imagina la scène. Elle voyait ça en pleine nature, elle voyait une cascade, des roses blanches, des nénuphars, une haie d’honneur, des visages souriant et elle… avançant vers… vers… Non, elle devait oublier… Le cœur humain meurt de chaque espoir déçus, de chaques espoir qui quitte le cœur comme les feuilles quittent l’arbre à l’automne. Oublier, un mot si simple mais tellement irréalisable.
Aller, elle n’était pas rebelle pour rien, non ? Elle prit un de ses vieux jean, son préféré, qui été troué aux genoux, mais qui lui faisait de ses fesses… bref, et en haut, elle prit un t-shirt manche longue vivienne Westwood, elle mit une paire d’escarpin et le tour en était joué. Pour une fois il faisait beau en Angleterre, elle sortie de sa poche ses ray-ban aviateur et transplana car… des sales journalistes faisaient le pied de grue en espérant voir la petite amie du célèbre joueur de quidditch sortir.
Enfin dehors, dans une petite rue inconnue, elle se dirigea vers la boutique où Hope lui avait demandé de venir. Une surprise… Charline avait un peu peur… Tout à coup elle se découvrir une foi insoupçonné et se mit à demander au bon dieu que la wedding planner ne lui demande pas d’enfiler une robe de marier. La dernière lettre d’Adrian dans le sac avec la fameuse rose jaune… Elle lui avait jeté un sortilège pour que jamais elle ne s’abime. Ses cheveux bruns flottaient au vent. Elle qui était blonde au naturelle… Ca faisaient bien 6 ans qu’Hope ne l’avait pas vu avec sa chevelure dorée. Pourquoi devenir brune d’ailleurs ? Tout simplement parce que c’était le reflet de son passé, de sa douceur et de cette pureté qui lui colle à la peau, de son âme qu’elle ne parvient pas à salir en dépit de ses tentatives. Redevenir blonde ça serait accepter pleinement ce qu’elle est et faire tomber définitivement son masque. Et ça, elle ne l’était pas encore prête, même si depuis quelque temps en présence d’une certaine personne et baissé le glaive et le bouclier… mais non, elle ne pouvait pas raccrocher maintenant et aussi vite.
Tissard & Brodette, voilà le lieu du rendez-vous convenu. Elle ouvrit la porte et respire cet air chargé de l’odeur des tissus. Le mariage, un rêve, une chimère. Et pourtant, un cours instant son esprit vagabonda à nouveau, oui, elle avancé vers lui, dans cette robe là, une bustier oui, et elle serait blanc perle pour illuminer sa peau d’albâtre, elle aurait un chignon relevé avec quelque mèche qui tomberaient avec nonchalance dans sa nuque… Non stop. Elle secoua son minois de chaton et releva ses yeux sur la scène. Elle voyait cette belle métisse. Hope. Elle avait toujours complexé par rapport à sa cousine qu’elle trouvait sublime avec des formes de rêve… alors qu’elle, Charline, donnait un coté plus… frêle, tellement plus fragile que la bonne santé évidente d’Hope. Charline on la protégeait, on la ménageait alors qu’une femme comme Hope on la désirait.
Elle avança à pas feutré vers sa cousine dont le visage s’illumina à ca vu. Hope, bizarre comme tout à coup elle avait peur. Bien sur elle savait pour Icario… mais pas du tout pour les conneries faite à Durmstrang… Et étrangement elle sentait qu’elle ferait mieux de ne pas parler d’Adrian… de son viol… de la deuxième fois qui fut bien mieux… qu’elle a faillit le tuer… qu’elle l’aimait si fort… tellement fort et que loin de lui… elle avait l’impression de crever. En effet, loin de lui, sa peau était encore plus pâle, ses yeux ternes. Cependant, elle sourit en voyant le visage lumineux d’Hope, elle la trouvait si belle. La voyant ouvrir grand ses bras, elle courut vers elle et se jeta dans ses bras. Elle aimait sa cousine qui semblait être une des rare de sa famille à la comprendre un minima. Elle releva son visage, prit entre les mains de la métisse, oops, décidément l’esprit d’enquête et de déduction c’était de famille. Charline fit un sourire, celui qu’elle fait quand elle a fait une bêtise et qu’elle a depuis l’enfance. Un sourire qui dit clairement « Hey ! j’ai eut une idée lumineuse super brillantissimes géniale, le seul petit truc tout riquiqui c’est que ça a foutu un bordel monstre » bref vous voyez le truc cher lecteur. Elle lui tapota sa joue, oui ça elle savait qu’Hope et la famille c’était le cas de le dire, c’était sacré…
Charline dégloutis, punaise… dans quoi c’était-elle embarquée…

« Non, ne t’en fait pas, il ne m’a pas plaqué, c’est juste que… que… »

Non elle ne pouvait pas lui parler d’Adrian… A coup sur elle allait le tuer…

« Que je suis ici aussi pour mes affaires et que par moment l’entreprise s’avère plus tordu et c’est un peu stressant. »

Les affaires de Charline. Hope savait qu’il s’agissait de ses enquêtes… des enquêtes qui l’avaient déjà plus d’une fois mené à l’hôpital, mais tout le monde savait que c’était peine perdu de tenter de la raisonner. Elle se droguait au risque, elle adorait cette adrénaline qu’on récent quand on est sur le fils entre le monde des vivant et des morts. Quand on ne sait ce qu’on va devenir l’instant d’après, quand on ne sait pas si dans cinq minutes on sera encore vivant.

« Alors dis-moi ! C’est quoi cette surprise ? Je te préviens avec Icario on n’a pas prévu de se marier ! »

Dit-elle en souriant. Non ils n’avaient pas prévu de se marier et… rien que de penser à ça lui donner envie de vomir… envie de vomir… vomir… hm non c’était passé fausse alerte. Alerte… Deux minutes… elle réfléchit un cours instant… hm, non rien ne lui vint à l’esprit… pourtant elle avait la sensation d’avoir oublié quelque chose… bof, si c’était si important que ça elle s’en rappellera.

Charline &Hope
Quoi de plus important que la famille?

Je n’aimais pas le rire qu’elle fit, mais alors pas du tout... Seigneur, donné moi la force d’être indulgente... « Il ne m’a pas plaqué » Ouf... Bon et bien ses parties intimes étaient sauves à celui là... Euh ! Je voulais dire ! Euh ! Il avait sauvé son salut, et sa place au ciel, il n’aurait pas de cornes lui pousseront sur la crâne. Oui, les affaires de Charline, je n’étais pas vraiment d’accord avec ça, mais je savais qu’il était inutile de s’opposé à la volonté de Charline, dieu lui avait donné une détermination que peu de monde avait, il en fallait, elle devait savoir que j’étais là pour elle, pour la protéger. Je n’étais pas une faiblarde, dieu m’avait donné la force de la lionne, Charline était fragile et en mauvaise santé, mais elle m’avait et je serais toujours là à ses cotés... Grand-mère m’avait toujours dit, que la famille c’était tout ce qu’il y avait d’important. Oui, pourtant mon père n’avait jamais voulu me rencontrer, je ne lui en voulais pas, je priais pour qu’un jour je puisse le rencontrer et lui demander pourquoi, qu’il te demande pardon, ô maman qui repose au ciel épuisé d’avoir bien trop cherché après cet homme... Ma cousine réclamait sa surprise, je lui souriais à pleine dents alors qu’elle me disait ne pas avoir l’intention de se marier avec lui, je l’observais avec un œil suspicieux, alors pourquoi trainer avec lui si ce n’était pas pour finir avec lui devant l’autel... Oh non, je n’aimais pas du tout les magouilles de ma cousine... La jeune femme me réclamait sa surprise, elle était toujours impatiente et elle savait que j’aimais la couvrir de cadeau... J’entendais quelque grognement dans la cabine d’essayage, je fis signe la Charline que je revenais pour aller aider la jeune femme

-Madame... Vous ne mettez pas du 36... Vous avez menti... Vous savez c’est très mal de mentir, surtout que c’est une idiotie car maintenant je n’ai aucune robe à vous faire essayer à votre taille... Déclarais-je sur un ton de reproche assez sympathique malgré tout. Bon rhabillez vous, ce n’est pas grave... Reviens demain je m’arrangerai avec le propriétaire.... Finissais-je par ajouter le sourire aux lèvres.

Je sortais au travers du rideau et affichais un sourire à l’adresse de ma cousine, le ciel l’avais gâté d’une beauté douce et sincère, j’étais heureuse de la voir si belle bien que pas si rayonnante que je l’avais espéré... C’était vrai après tout, c’était ma petite cousine et j’aimais la protéger des vilainie de se monde qu’engendre le mauvais œil... Je me rapprochais de ma cousine pour la recoiffer mes doigts ornait d’ongles interminables, il le fallait, allait-on confier un mariage à une femme qui n’a pas de gout pour s’habiller elle-même ? Certainement pas... Je regrettais ses cheveux blonds, quand nous étions enfants et qu’elle venait me rendre visite chez grand-mère, on passait du stabilo sur ses cheveux pour lui faire des mèches de toutes les couleur et sa mère faisait un bond jusqu’au plafond en voyant sa fille avait une tête fluorescente, en y repensant j’avais bien envie de rire, et à chaque fois je me retentissais d’avoir causé la colère de sa mère, et toujours grand-mère me disait que dieux aimé les couleurs et que ce n’était pas très grave. Alors nous recommencions à chaque fois, jusqu’au jour où nous étions trop grandes pour ses puérilité de ce genre... Je lui disais d’une voix douce et amicale

- J’espère que tu as bien entendu... C’est très mal de mentir, donc tu vas pouvoir me dire toute la vérité jeune fille. Je ne pense pas que se sont tes affaires qui te donnent une mine aussi abattue...

Ecoutez, je travaille avec de jeune couple, je prépare leur mariage, j’ai vu des couples heureux qui s’aime, solide comme la roche. Et j’ai vu des couples bien trop fragile et frêle comme le temps. Je pouvais prévenir à l’avenir l’issu de leur mariage et j’avais rarement tort à leur sujet. Alors, vu comme je connaissais très bien ma cousine, il était évident qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas, à moins que je me fasse des idées bien que j’en doutais sincèrement...

La jeune femme émergea de la cabine d’essayage, je prenais rendez vous avec elle le lendemain pendant midi, tant pis pour le repas, les affaires d’abord, je pourrais avaler un fruit en catastrophe et cela sera amplement suffisant... Je lui souhaité bon retour après avoir pris sa taille qui s’avérais être du 40, le lui souriait et l’accompagnait à la porte, je refermais la porte derrière mon dos dans un soupir à moitié soulagé, le travail m’épuisé, mais les hommes sont faits pour travailler, si dieu les a battis avec deux mains c’était pour qu’ils s’en servent à des fins bénéfiques. Je souriais à ma chère Charline

- Mon petit cadeau te sera utile uniquement en Russie, je ne veux pas que tu ai froid la bas et je ne veux pas que tu perdes de ta beauté avec un énorme anorak d’Inuits. Non, non, non... Tiens prends donc ça...

Déclarais-je en déposant dans ses bras un cintre emballé que je venais d’apporter, il y avait à l’intérieur un grand manteau en vison roux, évidement c’était une imitation de luxe, me refusant à porter des vêtements à partir d’animaux que l’on tué pour l’occasion dans d’atroces souffrance. Appliqué dans la lutte contre la pauvreté, le racisme et la maltraitance des animaux, il était évident que JAMAIS au grand JAMAIS je ne porterais de vêtement de se genre. Je lui adressais un immense sourire l’observant allonger le paquet sur la table pour l’ouvrir avec délicatesse, j’avais hâte de voir sa réaction !

-J’espère qu’après ça tu seras ouvertes à me parler de tes problèmes... Ne nous sommes nous pas toujours tout confier ? Aller ouvres donc !