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[Défi] Quand la chose la plus chère à vos yeux disparait...
ϟ this is the road to ruins, and we're starting at the end, say yes, let's be alone together.
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Message Posté Lun 19 Sep - 23:19.
a step in a nightmare




STATUT DU SUJET : Privé
NOM DES PARTICIPANTS : Anastasyia et Scarlett
DATE : Mi-Avril
HEURE : Un peu avant midi
METEO : Ciel couvert, sombre, mais température douce
NUMERO ET TITRE DE L'INTRIGUE GLOBALE EN COURS : 008
NUMERO ET TITRE DE L'INTRIGUE DU FORUM EN COURS : 007
INTERVENTION DE DOMINUS TENEBRAE : Pas nécessaire

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Message Posté Lun 19 Sep - 23:42.
L'université. Endroit redouté, effrayant, repoussant même pour certains étudiants. Et la bibliothèque, immense condensé de pages, de livres, dictionnaires et autres ouvrages inintéressants, là aussi pour certains étudiants. Mais pas pour Ana, elle, elle appréciait venir ici, elle aimait sentir la douceur odeur des feuilles jaunies par le temps, toucher les reliures de cuir, explorer les univers infinis qu'abritaient toutes ces lignes, savourer les instants que décrivaient ces quelques mots. Oui, Ana aimait être ici, en plus, ça lui arrondissait ses fins de mois. Ce jour là, rien à signaler, dans cette immense bibliothèque, seuls deux ou trois personnes s'étaient donné la peine de se déplacer pour venir y travailler. Pendant qu'eux travaillaient leur études de runes avancée ou autre matière ennuyeuse, elle, rangeait des livres, beaucoup de livre. Il paraissait qu'il y avait beaucoup d'examens en Mars pour les 3 et 4e année de l'université alors ils étaient tous venus emprunté tel ou tel livre que jamais ils n'auront touché si ce n'était pas au programme. Dès l'examen terminé, un affut de livres déchirés, cornés, aux pages froissées ou jaunies par le café revenait d'entre les mains des étudiants, toujours sous l’œil attentif et sévère de la belle Anastasyia. D'ailleurs, on le lui disait souvent. Trop souvent. Et inlassablement, elle leur lançait un regard dont elle seule avait le secret pour leur signifier que leurs louanges sont inutiles et fatiguant. Les plus prétentieux continuaient tout de même leur monologue irréfléchi, alors Ana se levait, et s'en allait, sans même jeter un regard en arrière. Normal. Foutue malédiction. Foutue malédiction!

Elle était prisonnière de ces paroles comme un détenu était enfermé à Azkaban. Elle n'en pouvait plus, elle ne respirait plus. Cet amour, cet inceste était malsain, anormal, elle ne le voulait pas. Pourtant, elle le désirait d'un feu brulant, passionnel, comme si toute sa vie n'avait été faite que pour ça. Comme si elle était née pour l'aimer. Au fil de ses pensées, elle se perdue dans les rayons, elle tomba sur des étagères qu'elle n'avait jamais vues auparavant. Avec avidité, elle commença à regarder les livres, les ouvrir avant de les refermer. Puis elle tomba sur ce grimoire à la reliure rouge, avec de fins traits d'or véritable à l'apparence vieillot et usé. Elle le saisit délicatement et constata que la tranche avec été abîmée. Non, une reliure ne restait jamais déchirée avec Ana. Elle avait presque un don pour prendre soin des livres. Elle attrapa sa baguette d'une main distraite et prononça la formule adéquate avant d'écrire repared à côté du nom de ce fameux livre. Elle l'attrapa pour le ranger mais c'est avec étonnement qu'elle découvrit que le livre n'avait pas changé, et que sa reliure, normalement si belle, était toujours fendue en deux (elle soupçonnait fortement un bouledogue pour ce massacre). Avec appréhension, elle recommença. Une nouvelle fois, c'était sans succès. Elle regarda tour à tour le livre, puis elle-même, puis la baguette. Ne marchait-elle plus? Elle ne lui avait jamais fait faux bon avant. Peut-être était-ce son premier caprice? Elle pointa la baguette sur le parchemin et prononça la formule de lévitation. Toujours rien. Que lui arrivait-il? Elle regarda autour d'elle. Heureusement que personne ne pouvait voir qu'elle avait un petit soucis...

Ce n'était pas possible de toute manière. Elle avait toujours été sorcière, elle l'était de la tête aux pieds et dans aucun manuel qu'elle avait lu elle n'avait entendu de... perte de pouvoir. Elle sentit son cœur se serrer. Comment ça plus de pouvoirs? Impossible se disait-elle. Surtout pas pour elle, si douée dans l'art de pratiquer la sorcellerie. Mais... et si c'était vrai?
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Message Posté Mer 21 Sep - 15:42.
    Les devoirs n'avaient jamais été une véritable corvée pour moi, mais je ne dirais pas non plus que je les fais un sourire aux lèvres, heureuse. Non c'est juste une obligation, un devoir n'est-ce pas, nécessaire lors d'une vie étudiante. Il faut passer par-là, on n'a pas le choix. Malgré tout, il y a avait tout de même une consolation à être sorcier car les devoirs moldus étaient bien plus ennuyants que le sont ceux sorciers. Les mathématiques par exemple (chose inutile pour les sorciers, amen.), où comment passer des heures devant une feuille à plancher sur une suite infinie de nombres qui n'ont aucun sens mais qui pourtant doivent se conclure par quelque chose de précis à la fin, m'avaient toujours insupporté. Et encore, je n'ai connu que les rudiments des mathématiques, passant heureusement à 11 ans à l'enseignement sorcier. Soit, ce jour-là était un de ces jours démunis de cours mais donc consacré à l'étude et au travail.

    Je devais faire une recherche sur les civilisations précolombiennes en Amérique du Sud. Il était étonnant de voir comment le monde sorcier et celui moldu était proche à cet instant-là. Ce que les moldus considèrent aujourd'hui comme du chamanisme, où-je-ne-sais-quel-autre-terme, était une forme de sorcellerie rudimentaire. Passionnant. Vraiment ! C'est donc plutôt intriguée et intéressée que je me rendais à la bibliothèque, endroit sacré détenteur de savoir. Le contraste entre la rue bruyante du centre-ville londonien et de l'intérieur de la bibliothèque de l'université, calme et studieuse, était enchanteur. Je me sentais parfaitement dans mon élément entre ses murs savants. L'endroit était quasi vide, malgré quelques élèves assis, penchés sur d'énormes bouquins, des lunettes énormes tombant sur le bout de leur nez. Et malheureusement, d'autres, formant un petit groupe, qui discutaient à voix basses, et n'arrivaient pas à réprimer quelques rires follement agaçants. Je pensai directement que s'ils continuaient ainsi alors que je me serais mise au travail, j'irai leur dire ma manière de penser. Une bibliothèque se doit d'être silencieuse. C'est sa définition seconde ! Mais j'avais d'autre chose à faire, en premier lieu.

    Comme d'habitude, j'avais fait mes recherches sur les livres à trouver, à lire, à décrypter etc., avant de venir à la bibliothèque, trouvant que le fait de flâner pour chercher quelque chose qui pourrait être intéressant, n'était qu'une grosse perte de temps. Je sortis donc ma liste de ma grosse sacoche et me dirigeai directement vers les longues rangées de livres. Alors, il me fallait un livre de Newgear. N, n ... J'étais proche, j'en étais aux livres dont le nom de famille de l’auteur commençait par « m ». Ah, voilà, j'avais trouvé la longue rangée des « n » et plus précisément, tous les livres de Newgear. Mes doigts effleurèrent doucement le dos de ces livres imposants, cherchant celui que je voulais. Zut, il était tout en bas. Et il semblait énorme ! Je m'abaissai de mauvaise grâce et fis tomber l'énorme bouquin entre mes bras. Oulah, trop lourd. Vraiment trop lourd ! Avec ma mauvaise santé comme excuse, je reposai le bouquin par terre et sortit ma baguette.

    - Wingardium Leviosa !

    Rien. Absolument rien. Le livre me narguait et restait définitivement à terre alors qu'il devait s'élever dans les airs. Agacée, je remis ma mèche de cheveux en place, pointai le livre clairement, le fixai, et répétai à nouveau la formule, en m'appliquant pour faire le mouvement associé parfaitement. Et à nouveau, en vain. Ça commençait vraiment à m'énerver. Je savais bien que le lancement de sort n'avait jamais été ma matière de prédilection, mais de là à rater deux fois un sort affreusement basique de 1er année, il ne fallait exagérer. Je recommençai inlassablement une bonne douzaine de fois avant d'abaisser ma baguette, franchement en colère.

    La bibliothèque avait dû mettre de la protection contre la magie. Quelle idée ! Qui allait voler des livres ancestraux sur des runes anciennes et incompréhensibles, ou comme le mien, sur les civilisations précolombiennes ? Que de sécurité pour rien. De toute manière, j'avais décidé de ne pas porter ce livre et je ne le porterai pas, non. Je me décidai d'aller à la recherche d'un employé de la bibliothèque pour qu'il m'aide et pour que je lui dise que ce je pensais de cette nouvelle mesure affreusement stupide. Ne pouvant laisser un si beau livre à terre, je le remis tout de même à sa place (difficilement, je l’admets) avant de partir entre les rayons de livre.

    Je repérai rapidement une jeune fille, que j'avais déjà vu plusieurs fois ici, en train de ranger les livres. Une employée. Parfait, elle allait pouvoir me rendre service. Elle n'avait pas l'air de passer une bonne journée non plus, tant pis pour elle, ça n'allait pas s'arranger. Comme on dit, le client est roi, après tout.

    - Bonjour, dis-je sur le ton le plus neutre possible. J'ai un problème et j’espère que vous allez m'aider. Je dois prendre un livre bien trop volumineux pour mes faibles bras, et je ne peux même pas me servir de ma baguette. Alors passons un discours barbant sur ce que je pense que de vos mesures anti-magies inutiles, (elles sont vraiment inutiles, ne pas pouvoir lancer un simple wingardium leviosa !), et venez m'aider à le porter. S'il vous plaît.

    Ces derniers mots fut quelque peu durs à dire, vu mon état énervement conséquent, mais un minimum de politesse reste obligatoire dans la vie. Pourtant, la jeune chargée de la bibliothèque ne semblait pas enclin à bouger alors que j'avais déjà fait deux pas en avant, vers mon Newgear. Je toussai ostensiblement et dis :

    - Alors, vous venez ?
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