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"P*ttons ensemble et tous en choeurs !" - Marine & Aedàn [Défi] [PM]
ϟ this is the road to ruins, and we're starting at the end, say yes, let's be alone together.
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Message Posté Lun 16 Avr - 18:54.


Libération intestinale rime avec lévitation ...
Défi en duo ; Les Malades !

★ noms des participants: Marine Baumont & Aedàn Medelwën
★ statut du sujet: Privé, défi.
★ date: Début Septembre.
★ heure: 19 heures.
★ météo: Nous sommes en intérieur alors quelle importance ?
★ saison: Saison 2
★ numéro et titre de l'intrigue globale en cours: Reconstruction
★ numéro et titre de l'intrigue en cours: Prélude
★ intervention de dominus: nOp.
★ récompenses: Ce sujet a-t-il été cité au marathon ? A-t-il gagné un golden globe ?





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Message Posté Lun 16 Avr - 19:23.
Rooh non, mais franchement, pourquoi j'ai toujours des trucs étranges qui m'arrivent ! J'ai pourtant rien fait de mal pour qu'on veuille me punir. J'ai fais quoi aujourd'hui de mal ? Je me suis levé tranquillement jusque là, tout va bien ... Ensuite, je suis allé bosser. Je n'ai pas fait de détour, je suis allé directement au ministère où on m'a chargé d'une mission dans la foret de Dean ... Hann ça se trouve je me suis fait piquer par une créature invisible qui aime les fesses bien dodues ? NOOON. Je veux pas faire ça toute ma vie ... En plus, c'est peu de temps après que tout ce bordel à commencer. Ou alors, j'ai trop fumé ... Enfin ça reste un mystère ...

Je me rappelle que lorsque ça s'est déclenché, j'avais pas l'air con. J'étais assis à mon bureau, je remplissais un dossier quand d'un coup, j'ai senti une force incroyable à l'intérieur de mon corps, qui poussait un vent à sortir de moi ... Oui, vous avez compris ... Je ne vais pas vous faire un dessin, et puis, j'ai voulu me retenir, ce dont chacun est capable, et bah là, pas moyen, c'est parti direct ! La honte. Heureusement que nous ne sommes que trois au bureau en milieu d'après-midi ces jours-ci parce que je ne savais plus où me mettre quoique je me suis mis à rire, j'ai pas pu m'en empêcher surtout que le pire, c'est qu'à la suite de ce ... euh de cette étrange évacuation de vent formidablement mal odorant, j'ai commencé à léviter pendant disons 5 à 10 bonnes minutes. Je riais et pourtant, j'avais honte. J'étais partagé entre les deux sensations, parce que c'est clair qu'on a honte dans ces cas là, mais c'était si ... inattendu ! Mais ça m'a fait rire, parce que c'est le genre de truc qui me fait marrer ! Je pensais que c'était rien, enfin si, mais j'allais pas aller chez le médecin pour ça ... Mais quand ça la refait plusieurs fois ... je me suis décidé.

Et me voilà, réduit à me faire tripoter dans tous les sens, de recevoir toutes sortes de truc étrange, de voir des baguettes autour de moi, puis soudain, qu'on me dise "Nous allons vous garder en observation, car ... je ne veux pas vous inquiéter ... mais nous avons peur que ce soit, car c'est quelque chose de peu commun " Euh maladie peu commune ... Je suis tellement couillon que j'imaginais que c'était normale, que c'était vachement commun moi ... Une des infirmières poussent le lit pour m'emmener jusqu'à ma chambre. Nous pénétrons dans l'une d'elle, et je découvre que je suis dans une chambre où quelqu'un est déjà ... Étrange ! En plus, c'est une femme ... Oui, donc, l'unique avantage, c'est que je vais avoir une jolie damoiselle, belle blonde, pulpeuse, canon, dans ma chambre, mais bon, c'est pas sexy ce dont je souffre, et je peux aucunement lui sortir que j'ai eu cette maladie parce que je suis un héros et que j'ai sauvé un pitiponk coincé dans un piège ... Oh la loose ! De toute manière, personne n'égale Charles alors celle-ci peut me voir comme ça ... On nous explique meme pas pourquoi nous sommes dans la meme chambre, rien. L'infirmière s'en va sans rien dire. Quelle communication ! Chapeau Sainte Mangouste ! J'ai rien contre me trouver avec une jolie fille comme elle, mais ça cache un truc quand même ... C'est assez inhabituel ... Je la regarde. Jai soudain une étrange pensée ; Et si nous avions la même maladie ? Ce serait la raison ... Enfin il disait que ce n'était peu commun ... Je me décide à poser la question :

- Euh ... 'scusez ma jolie ... Vous aussi vous ... Enfin euh .. Vous savez ... Quand vous avez une soudain évacuation de ...

Et là, soudain, je sens que l'apocalypse est à nouveau sur le point de se produire. sensation soudainement étrange parcourant mon corps. Petit vent descendant peu à peu dans mon corps. Éruption volcanique numéro 52 va se produire. Une jolie femme est à mes cotés et je m’apprête surement à faire une de ces choses horribles. La sensation arrive à terme, à son point culminant, c'est le début de la fin, et là, libération immonde de la boule puante numéro 52 en compagnie de la jolie blonde qui partage étrangement ma chambre. Je deviens tout rouge, ce qui ne m'arrive rarement, et là, je m'envole tout doucement de mon lit. Je ne sais plus où me mettre, et cette fois, je rigole plus, car là, mine de rien, c'est super gênant d’être couper dans ces paroles par ce genre de choses. Je sens son regards sur moi, et je l'imagine déjà me dévisageant ... Oh c'est vraiment trop la honte ! Quand je retombe sur mon lit, je ne peux m’empêcher de tenter un sourire gênée et de la regarder. En voyant l'expression de son visage, je ne peux m’empêcher de me mettre à rire comme un abruti ... Je n'y peux rien, c'est comme ça ... Si Niels était là, ce serait la même chose ... Je me tords de rire, même si je sens au fond de moi, que je n'ai pas de quoi être fière, mais franchement vaut mieux en rire qu'en pleurer ... Tout à coup, chose surprenant, je sens que ma collègue de chambre se sent mal ... Que se passe-t-il ? L'aurais-je asphyxié ? Mon dieu, Je pourrais proposer de faire ça dans la mafia ... Tuer les gens à coup de pet ?
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Message Posté Mar 17 Avr - 19:28.
Non non non, pitiééé. Marine retint sa respiration comme si cela allait l'empêcher de... péter. Disons-le comme ça. Au moins, c'était clair et sans détour. Depuis ce matin, elle était prise d'envies fulgurantes de… enfin, vous savez quoi. Andrew l’avait regardé avec des yeux ébahis, comme si elle, ne pouvait pas faire ce genre de chose. Oui bon, Marine ne pouvait pas péter et ensuite se soulever dans les airs jusqu’à toucher le plafond. Ça, ce n’était pas normal. Pourtant, c’était arrivé. Elle avait dû hurler contre son fiancé qui était plié de rire pour qu’il l’aide à retoucher le sol. On ne pouvait vraiment compter sur personne. Avec la journée, elle avait pensé que ça passerait. C’était juste un problème matinal. Rien de bien grave. Sauf que de nouveau, la situation s’était reproduite. Cette fois-ci, elle avait anticipé et s’était enfermée dans les toilettes pour femmes. Par Merlin, elle avait eu de la chance car celui-ci résonna dans la tuyauterie. Très chic, très glamour, tout ça. Elle avait dû se résigner à aller à Sainte-Mangouste. Elle ne pouvait quand même pas continuer la journée dans cet état ! Elle n’était bonne à rien et elle avait…. Honte. Certainement honteuse. Elle n’avait plus cinq ans, l’âge où le moindre bruit suspect était sujet aux gloussements et à la rigolade. Marine avait donc demandé à Vera de pouvoir rentrer chez elle parce qu’elle se sentait mal. Elle ne lui précisa pas qu’elle passait par l’hôpital pour régler un « léger » problème intestinal. Elle qui pensait pouvoir rentrer dans l’heure, elle se mettait le doigt dans l’œil. Ils étaient débordés, à la clinique, et les maladies de ce genre n’étaient pas urgents, visiblement. Marine faillit leur rétorquer que si, ça l’était pour ceux qui en souffraient et devaient durer cela à longueur de journée. Alors elle avait pris son mal en patience.

Prenant son mal en patience, elle s’était allongé dans son lit d’hôpital. Tout allait bien. Elle était toute seule, elle pouvait lâcher tout ce qu’elle avait besoin de lâcher sans craindre le regard de quelqu’un. Elle essayait même de faire une petite sieste. Pour une fois qu’elle pouvait prendre du repos, autant en profiter. Avec un peu de chance, ses « problèmes puants » seront réglés à son réveil. Sauf que non. En ouvrant les yeux, elle voit un sorcier. UN sorcier. Pourquoi est-ce qu’un homme, un patient, entre dans sa chambre ? Il a peut-être oublié quelque chose dans la chambre ou n’est là que pour quelques minutes. Mais malheur, il s’installe et prend ses aises. Bon, elle allait devoir se retenir. Elle allait exploser. Elle le sentait d’avance. Ou elle ferait mieux de râler. Un peu d’intimité, nom d’une chouette ! Rageuse, elle se couche sur le flanc, dos tourné à l’intrus. Elle allait l’ignorer. Ca vaudrait mieux. « Euh ... 'scusez ma jolie ... Vous aussi vous ... Enfin euh .. Vous savez ... Quand vous avez une soudaine évacuation de .. » Elle se retourna en fronçant les sourcils. Qu’est-ce qu’il essayait de lui expliquer, là ? De quel genre d’évacuation parlait-il ? Ce n’était quand même pas…. Pervers ? Finalement, elle comprend. Grâce à plusieurs indices. D’abord l’odeur. Immonde, putride. Elle lui fait penser aux égouts ou pire encore, à de la nourriture en décomposition. Elle serait limite prise de nausées si elle n’avait pas senti pire tout à l’heure, dans les toilettes des femmes de la Gazette. Deuxième indice : l’homme s’élève avec grâce et… odeur jusqu’au plafond. Ce ne serait peut-être pas aussi gênant que cela, finalement. « Qu’est-ce que vous avez mangé ? Faut arrêter le cassoulet ! » Si elle pouvait éviter de révéler qu’elle était dans la même situation, elle le ferait. Hors de question que l’on sache cela. Surtout pas lui. Il se marrait de ses pets ! Il avait quel âge ?

Ses bonnes résolutions furent anéanties en quelques secondes. Un petit Prout lui échappa avant même qu’elle ne le réalise. Mais déjà, elle se sentait partir en hauteur. Elle se cramponna désespérément à son lit. « Hé merde ! » C’était insupportable. Elle lâcha le matelas et rejoignit rapidement l’autre patient. Elle lui jeta un coup d’œil. Et dire qu’elle allait passer le reste dans la journée en sa compagnie et à péter. Génial. Elle n’avait plus qu’à espérer qu’ils ne se croiseraient pas ensuite. « Je crois que tu as ta réponse. » Elle était partie sur le tutoiement. Après tout, ils étaient ‘’intimes’’ maintenant. « Ça dure depuis combien de temps ? » Autant qu’elle sache si elle devait rester ici encore longtemps. Elle avait soudain très envie de partir. Même si elle se résignait à son sort, elle ne tenait pas à passer la nuit à Sainte-Mangouste. Ils passeraient alors une nouvelle étape dans l’intimité de l’autre.
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Message Posté Sam 28 Avr - 17:40.
Oh elle m'avait lâché un de ces regards de malade que vous rêveriez de fuir. Seulement impossible. Vous avez soudain honte, et pourtant vous rigolez encore. Je la regarde à la fois amusé, mais honteux. Soudain, la femme se sent mal. J'ai du lui faire du mal avec mon pet de la mort. Non, mais pourquoi j'ai ça ? Quel manque de classe. Comble de la chose, je vois ma camarade de chambre dans un étrange moment. Son visage a l'air tout aussi gêné, et là, j'entends un petit bruit. Un petit bruit qui ne m'est pas inconnu, et une odeur nauséabonde se dégage, la même que celle précédemment jeté, qui envahissait la pièce. Oui, je ne suis plus seul à avoir ce problème. Alors que deux secondes avant, elle me disait que j'étais en quelque sorte un sans gène dégueulasse, elle se met à son tour à nous délivrer ses horribles pets. Étrange sensation de dégout, et je comprends alors sa réaction, car même si on le fait nous même, c'est réellement insupportable. Alors qu'elle s'est élevé dans les airs, je me remet à rire. Pourquoi dois-je constamment rire ? Je n'en sais rien, mais d'un coté, vaut mieux sinon je vais être méchant, et montrer qui je suis vraiment, ça plait pas généralement, et aujourd'hui, je ne suis pas en position de l’être.

Elle a bien l'air gêné, mais bon, maintenant au moins on peut se dire plus intime. Ok je rigole. Non, mais déjà je me sens moins seul, et puis elle a pas eu besoin de me répondre du coup. Je la regardais me demandant comment c'était arrivé pour elle, et comme par hasard, elle m'a demandé depuis combien de temps, j'étais dans ce cas là. Je ne pus m’empêcher de sourire en l'écoutant parler, ou en regardant les expressions de son visage. Non mais c'était quand même comique d’être dans une situation pareille, même si vachement honteux, et je comptais bien faire un pacte pour qu'on en parle à personne, si elle refusait le Aedàn mafieux sortirait de sa cage, croyez le ! Ce qui m'étonnait, c'était le décalage, elle avait plutôt l'air coincé, enfin c’est un peu fort comme mot, mais elle n'avait pas l'air d’être du genre super sociable, et là directe, elle me tutoyait. C'était surement le fait que d’être dans ce cas là, la rendait moins froide, parce que dès que j'étais rentré dans la chambre, je l'avais déjà catalogué dans "à prendre avec des pincettes !" Je devais lui donner ma réponse concernant l'apparition de cette petite crise de pet. Je regardais l'heure. Oh là, ça devait être au moins il y a 3heures voir beaucoup plus. J'essayais de repenser à l'horloge en face de mon bureau. Je me doutais que je devais être très précis car elle se demandait si c'était un virus ou une chose du genre. Oui, disons 4heures, car j'avais bien mis une bonne heure avant d'oser sortir et venir voir le medicomage. Je la regardais un sourire qui ne cachait que peu mon envie de rire de la situation;

- 5heures environ enfin plutôt 4heures, et vous ... enfin toi ?


Je n'aimais pas ce aedàn, enfin je n'aimais pas me montrer comme ça. Je me montrais sous le aedàn gentil, le petit minet drôle, et même si je l'étais, je n'aimais pas ce coté de moi, mais je ne devrais, et ne voulait pas non plus trop montrer ce coté noir en moi, et de cinglée, enfin c'était dur en plus là, dans cette situation. Si quelqu'un rentrait dans mes pensées, on me ferait surement interné tant je suis compliqué comme gars, mais bon, passons. Je suis là sur mon lit d’hôpital, et je me tourne sans cesse tant le confort est moindre. On dirait un gosse qui ne peut se calmer, mais en fait, la réalité c'est que je suis un fou, et ça, que peu peuvent le comprendre, le voir. Je la regarde à nouveau après avoir tourné vingt fois sur mon lit, et je lui demande :

- Je peux te demander comment ça a commencé ?



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Message Posté Jeu 3 Mai - 20:36.
Elle commençait à avoir mal au cœur, probablement à cause de la hauteur ou des odeurs nauséabondes. Peut-être même un mélange des deux. Marine inspira profondément et regretta presque immédiatement. Mais c’est que ça puait vraiment ici ! Ils étaient deux gros dégueulasses. Il ne valait mieux pas qu’une infirmière entre, elle risquerait l’asphyxie. Ils feraient même mieux d’ouvrir une fenêtre. Pour leur survie et celle des autres. Heureusement son voyage vers le plafond se termina. En quelques secondes, elle atterrissait avec le peu de dignité qui lui restait. Elle se sentait déjà mieux. « Cinq heures environ enfin plutôt quatre heures, et vous ... enfin toi ? » Vous ? Vous ? Est-ce qu’elle avait un visage de grand-mère ? Son sentiment ne se refléta pas sur sa vieille tête mais elle n’en pensait pas moins. Elle devait surtout paraitre coincée à ne pas rire de la situation comme lui le faisait. Il était totalement détendu, heureux de ce qui lui arrivait. Il trouvait ça comique. Marine aurait réagi de la même manière si elle avait été avec un proche. Se lâcher comme elle l’avait fait tout à l’heure devant un inconnu ne lui plaisait pas spécialement. C’était peu glamour. Et pour une première impression, on pouvait repasser. Cette situation ne semblait pas prête de changer. Son voisin de chambre souffrait de cette maladie depuis quatre heures. Ce qui n’était pas le cas de la journaliste. « Ça doit faire une dizaine d’heures heures. Enfin, à peu près. Ce n’est pas comme si je regardais l’heure à chaque fois que je pète. » Elle esquissa un sourire. Elle n’était pas névrosée et ne notait pas toutes les choses qui se passaient dans sa vie. Elle savait seulement que la première bombe puante avait explosé le matin même. C’était infernal, tout de même ! Il était dix-neuf heures et depuis qu’elle était arrivée, rien n’avait été fait. Elle pensait passer sa soirée chez elle, tranquillement. Plus les minutes passaient et plus elle se faisait à l’idée que ce ne serait pas le cas.

Elle croisa les jambes en tailleur. « Je peux te demander comment ça a commencé ? » Bonne question. Elle n’en savait rien. Elle s’était levée et n’avait rien fait de particulier pour attraper cette maladie. C’était tout le problème ! Si elle avait su comment elle avait fait, on l’aurait sûrement soigné et laissé partir. Sauf que ce n’était pas le cas. Elle haussa ses épaules. Elle s’était levée, avait pris son petit-déjeuner et puis s’était lavée. Rien d’autre. Pourtant, c’était dans la salle de bains que ça s’était déclenché. « Je n’en sais rien. J’étais juste dans ma salle de bains… je n’ai rien fait de spécial ! » Elle resta quelques secondes silencieuses. Cette histoire restait un mystère pour elle. Un sourire amusé se dessina sur ses lèvres. « [co-lor=firebrick]C’était même devant mon fiancé, si tu veux savoir. Je crois qu’il ne va plus jamais me regarder de la même manière.[/color] » Elle éclata de rire. Le pauvre, elle lui avait crié dessus le matin-même. Elle n’avait pas trouvé la situation très drôle. Se retrouver en hauteur après avoir lâché un nuage nauséabond ne l’avait pas fait rire sur le moment. Surtout qu’elle s’était cognée à la tête en s'envolant. Elle avait intérêt à se faire pardonner en rentrant. Maintenant que Marine y réfléchissait, elle était heureuse d’avoir été habillée à ce moment-là et non en train de se doucher. Elle aurait été bien plus ridicule.Quant à Andrew, elle pouvait en être sûre, il s’en souviendrait longtemps. Très longtemps.

Elle leva son regard songeur sur son voisin de chambre. Ils avaient pété ensemble et par conséquent, ils étaient devenus plus intimes. Cependant, ils ne se connaissaient pas vraiment. Elle ne savait même pas son prénom. C’était un comble quand on avait dépassé un tel stade de l’intimité ! Elle lui tendit sa main et se présenta. « Sinon, je m’appelle Marine. Je suis journaliste et si jamais tu te poses des questions, d’habitude je ne pète pas autant. » Même si elle commençait à se présenter, elle tenait à ce que tout ce qui se passait ici reste secret. Si jamais ils se rencontraient un jour, ils avaient intérêt à faire comme si ils ne se connaissaient pas et jamais ils n’évoqueraient cette histoire. Ça devait rester secret. De toute manière, ce n’était pas le genre de choses que l’on pouvait glisser subtilement dans la conversation. Par-dessus tout, on évitait de parler de ses problèmes gastriques devant tout un public. Donc en fait, Marine ne devait pas trop s’inquiéter. Il y avait peu de chance que l’histoire soit connue de tous…. N’est-ce pas ?
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Message Posté Dim 13 Mai - 13:27.
Nous avions avancé un peu dans notre temps de connaissance, enfin disons qu'on pouvait largement sauté des étapes après tant d'intimité. En même temps, c'est vrai que c'était pas le top de l'élégance, donc on compatissait pour l'autre, et on ne pouvait que la jouer bonne franquette ! Je n'osais même pas laisser mon nez libre de sentir, car je doutais aucunement que la salle soit des plus nauséabonde. Je regardais la demoiselle qui se trouvait dans le même cas que moi me répondre, je semblais l'avoir vexé en disant vous alors que cela n'était aucunement mon intention, enfin si elle était susceptible, c'était pas ma faute, et tant pis pour elle. Je veux bien être sympa, mais si elle se vexait ... Tant pis. Elle ne pouvait pas le cacher, je le voyais à sa moue que ça l'avait un peu refroidi, mais elle a quand même continué à parler.

Elle m'expliquait donc qu'elle ne comptait pas les heures, en même temps, moi non plus, c'était compréhensible. J'apprenais qu'elle était atteinte de ce petit virus depuis 10 heures soit le double de moi, je ne pus m’empêcher d'avoir un sourire qui tirait au sourire sadique, j'y pouvais rien, mes sourires avaient toujours des petits messages cachés incontrôlés du genre "Bien fait pour toi" ou alors "ah oui je comprends" et là bizarrement, je riais dans le genre "ahahaahaha tu as du souffrir" ... ridicule, un vrai gosse. Quand elle voulut répondre, je pus découvrir sur son visage qu'elle se questionnait encore du pourquoi du comment, et je ne fus pas du tout étonné lorsqu'elle me dit que justement elle ne savait pas comment, mais uniquement que cela avait commencé alors qu’elle était dans la salle de bain. Soudain, elle resta silencieuse, mais je sentais a son regard qu'elle allait sortir autre chose. Un sourire amusé apparaissait sur son beau visage, puis elle m'annonça que son fiancé était là lorsque ça a commencé et que d'après elle, il ne la verrait jamais pareil. J'étais entre mes petites pensées de sadique confirmé, fou allié, pas encore interné, et grand gosse comme d'habitude quoi. Oui, j'étais toujours comme ça. J'étais cinglé qu'on me disait, et on me critiquait souvent pour ça. On me pensait aussi gamin, mais personne ne se doutait que j'étais plus mur que ce qu'on pensait. C'était compliqué en même temps. Je vous dis ça, parce que même dans des situations pareils tous mes petites bêtes restent, toutes les facettes que mes meilleurs amis connaissent restent, aucune ne disparait, si bien qu'un l'instant même je me marre comme un gosse, et qu'à la fois, au plus profond de mon être, je ne souhaite que sortir pour aller me déchainer sur quelqu'un , mais ça, ma colocataire ne peut le voir ... Elle peut juste voir que mon regard ne va pas à se rire fout à lier, car la lueur que l'on y perçoit est une lueur de folie, et j'en suis conscient, mais je n'ai jamais compris. Je ris. Je ris. Je ris tel un vert de terre se tortillant. Elle riait aussi alors cette fois, Je n'aurais pas à faire genre je suis gêné de rire alors qu'elle ne rit aucunement, c'était déjà ça.

Je la vis me tendre la main. Ah oui, c'est vrai, nous ne nous étions aucunement présenté, enfin pas réellement. Je tendais ma main à mon tour pour serrer la sienne, et je l'écoutais se présenter. Elle s'appelait Marine. Elle était journaliste. J'appréciais énormément le petit détail qu'elle me sortit à la fin de sa courte présentation : Elle ne pétait pas autant d'habitude. J'eus un sourire totalement simple, dénué de pensée sadique ce qui m'étonna fortement, mais j'étais un étrange personnage après tout, mes amis le disaient souvent, et c'était dans ce genre de moment que je le comprenais, et que je savais que je ne pouvais aucunement le donner tord quand il me disait que j'étais malade, mais qu'ils aimaient cela. Je la regardais de nouveau et me présentais à mon tour ;

- Je m'appelle Aedàn, je suis Auror au ministère de la magie ... & si tu veux tout savoir, moi non plus, je ne pète pas autant ...



Je ne pus m’empêcher de rire à nouveau. Je repris mon sérieux. J'avais un peu honte de ne pas la connaitre alors que je connaissais pas mal de monde, que je m'intéressais à la plupart des journalistes, mais là, de suite, je ne savais pas, je ne voyais pas ce qu'elle faisait réellement. Je préférais alors me taire, ne voulant pas montrer mon incapacité à me souvenir d'où j'avais vu son nom, car oui, j'avais déjà vu une marine dans les dossiers du ministère journaliste, et il faut dire que je ne connaissais pas d'autres Marine, Journaliste à Londres, donc je supposais que c'était bien elle. Je connaissais beaucoup de monde, et beaucoup de journaliste alors forcément, j'avais du déjà entendre parler d'elle, et même la rencontrer, alors j'étais un peu énervé de ne pas réussir à savoir ça alors que c'était vraiment mon truc de connaitre le plus de monde avec mon statut d'Auror, et potentiellement, dans l'ombre, de Mafieux. En me regardant, elle devait penser que j'avais une absence, alors malgré tout, je tentais de parler :

- hummmm oui, je sais qui tu es en fait ...


Hésitation de longues haleines. Et là, sauver ... En allant voir Niels, je me rappelais avoir entendu le nom de Marine Baumont ... Journaliste et Photographe ... Oh oui, ça devait être elle, et puis tant pis après tout, je pouvais me tromper parfois ...

- Tu es Marine Baumont, Journaliste et potentiellement Photographe à la Gazette, non ?

Je la regardais avec un sourire fier à la façon de Monsieur je suis super populaire, je connais tout, et je sais tout. Je pensais ensuite à Niels par ricochet. Je m'asseyais mieux dans mon lit. Je commençais a en avoir marre d’être là. Je ne savais pas trop quoi dire a cette fille, en fait. Je n'avais pas de sujet de conversation a part des trucs cons qu'elle avait l'air de ne pas apprécié ou des trucs sadiques, morbides qui étaient loin d’être approprié. Je me disais alors que parler de Niels, et de savoir si elle le connaissait pouvait constituer un sujet enfin bon, parfois un sujet polémique vu le personnage.

- Tu connais certaienement Niels Werner, non ?


Soudain, on frappait à la porte de notre chambre. Une infirmière rentrait, et avec ma colocataire de chambre, on échangeait des regards ? Je ne pensais qu'à une chose : Qu'on me dise enfin qu'il avait une potion qui allait nous guérir et que nous pouvions enfin partir.

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